mardi 21 octobre 2008

Veuve et très sévère

par Nadine, 20 ans


Ma tante est une maîtresse femme. 1,75 m, 115 de tour de poitrine, de fortes hanches, d’énormes fesses. Elle en impose à tout le monde.
Il y a peu, elle a perdu son mari et c’est toute vêtue de noire qu’elle est venue passer quelques jours chez nous. Le chagrin avait encore durci ses traits. Elle avait l’air terrible. A﷓t﷓elle noté mon émoi ? Ou avait﷓elle déjà décidé de faire de moi son esclave ? Ou bien est ce moi qui ai tout fait pour la provoquer et réveiller son sadisme latent ?
Je ne le saurais jamais, sauf si ma tante me le confie, ce qui est peu probable.
Moi je suis Nadine, j’ai 20 ans. Mon éducation dans une institution religieuse a fait de moi une jeune fille réservée et parfaitement salope, un pur produit de ce genre d’institution. Lorsque je me masturbe, ce qui arrive tous les jours, de drôles de trucs me passent par la tête. J’ai des fantasmes torrides et très vicieux. J’imagine que l’on me dresse avec sévérité. Ma tante a comblé ce fantasme.
· Tu as un mec ? m’a﷓t﷓elle demandé le lendemain de son arrivée.

J’ai fait non de la tête. A vrai dire je ne suis pas très attirée par les garçons. La sensualité agressive de ma tante me faisait beaucoup plus d’effet.
Elle avait dû s’en rendre compte. Elle m’a enfilé sa langue dans la bouche, l’a entortillée à la mienne, puis, tout aussi brusquement, elle m’a rejetée contre le mur.
· Dis donc petite salope. Où veux tu en venir ?
· Fais de moi ce que tu veux, ai je répondu en me jetant dans ses bras.

J’ai vu qu’un restant de morale la retenait mais elle finit par céder. Son envie était trop forte, plus puissante qu’aucun scrupule moral. Pour se venger de la tentation que je représentais pour elle, elle a commencé à torturer mes seins que j’aime beaucoup et que je caresse souvent. En me tordant les bouts, elle m’a obligée à tomber à ses pieds. J’ai enlevé sa culotte avant de plonger mon visage entre ses cuisses. Ma tante me tenait la tête d’une main ferme. J’avais des poils plein la bouche et des larmes plein les yeux. Des frissons convulsifs me parcouraient les reins. Et ce n’était qu’un début. Après avoir joui ma tante se retourna. Elle écarta son cul somptueux à deux mains, dévoilant un anus gras de mouille odorante.
· Lèche ! ordonna﷓t﷓elle vas﷓y bouffe moi le cul sale petite pute. C’était dit sur un ton sans réplique. Je n’avais pas le choix. De toute manière, je n’avais aucune envie de désobéir. Sa raie était grasse, aussi suintante que sa chatte mais encore plus odorante. J’y passai la langue, recueillant les coulées sirupeuses avant de les avaler. Je n’avais rien bu d’aussi bon. Ma tante poussait de petites plaintes de chienne; elle était animalement heureuse. J’étais très fière d’avoir brisé le chagrin de son veuvage et de lui apporter de la joie. Je voulais qu’elle me fasse payer ça, qu’elle me rende heureuse moi aussi. Les fesses saillantes, cambrées au maximum, je réclamais la juste punition de ma mauvaise conduite.

Ma tante fut impitoyable. Elle commença par me caresser la chatte à rebrousse poil puis me pinça les grandes lèvres, torturant mon clito au passage. D’une voix rauque de femme excitée, elle me hurlait des obscénités. Personne n’aurait cru ma tante capable d’une telle vulgarité. Et pourtant! Remarquez, à moi aussi on donnerait le bon Dieu sans confession.
La caresse de ma tante est devenue encore plus brutale. J’étais en sueur. mes cheveux collaient en mèche sur ma figure.
Notre étreinte avait une violence passionnelle que seule peut atteindre le SM. A côté de ça, n’importe quelle partie de baise c’est de la limonade. Essayez et vous verrez que j’ai raison. Car depuis ce jour, je suis la maîtresse régulière de ma sévère tante. Notre relation est de plus en plus cruelle, de plus en plus sadique. Elle pourrait me tuer si elle le désirait, je me laisserais faire. Hélas, ma mère semble se douter de quelque chose. I1 faut dire que ma tante ne me ménage vraiment pas. A présent, si elle se fringue toujours en noir, elle se maquille comme une pute, avec un rouge très violent. Moi ça dépend; parfois je suis vêtue comme une petite fille en jupe plissée et chemisier blanc, d’autres fois, c’est en minijupe en cuir et cuissardes luisantes que je me trimbale au bras de ma tante selon les ordres qu’elle m’a donnés.
Voilà pourquoi les gens commencent à jaser. Mais moi je m’en fiche, je suis heureuse. Je veux vivre mon dressage jusqu’au bout. Je veux aimer ma tante jusqu’à ce qu’elle me brise.

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