par Armelle, 26 ans, Pontoise
Il y avait une bonne heure que je me faisais baiser à l’abri d’une dune de sable quand mon regard se porta au sommet de la dune
Qu’elle ne fut pas ma surprise de voir une jeune femme en train de nous filmer. Elle avait les seins nus, le reste de sa personne ne se voyait pas. Elle continua à jouer de sa caméra bien qu’elle ait pu voir que je l’avais aperçue.
J’avais déjà eu un fantastique orgasme, mais j’étais entre les mains d’un gars charpenté comme un docker, doué d’une virilité de taureau, et sans s’être retiré quand il m’avait senti jouir, il avait continué de plus belle à me défoncer.
J’ai repoussé mon partenaire en lui disant de quoi D retournait et mon intention d’aller aborder l’intruse pour lui. confisquer la cassette qu’elle enregistrait.
Mais là, nouvelle surprise, il m’empêcha de me lever et sans cesser de m’empaler, m’avoua que c’était sa femme qui nous filmait.
· Nous agrémentons nos soirées d’hiver en visionnant ces souvenirs de vacances, conclutil entre deux coups de bélier à me défoncer le vagin.
Je comprenais évidemment, mais ce n’était pas une raison pour que j’accepte d’être actrice d’un film porno, ignorant à quel usage réel ces gens le destinaient.
Mon mari a une position sociale élevée et nous côtoyons un monde collet monté, ce qui nous oblige à éviter les scandales. Avec la vente de cassettes amateur, j’ai des amis qui ont été piégés et n’en sont pas revenus que n’importe qui puisse acheter dans une boutique vidéo. le film d’une de leur soirée échangiste.
Comme la deuxième jouissance commençait à me mettre en transes, j’ai attendu le final pour faire part à mon baiseur que je désirais impérativement que la cassette soit détruite en ma présence.
I1 acquiesça de bonne grâce et fit signe à sa femme de nous rejoindre. Je finissais d’enfiler ma robe quand elle arriva C’était une brune au gentil minois dont la poitrine opulente et ferme avait des mamelons gros et agressifs. Un string rouge ne dissimulait que peu son pubis renflé, les lèvres de son sexe l’avalaient aux troisquarts. Elle me dit bonjour avec un petit sourire, mais prit aussitôt un air contrit pour regarder son mari. La raison m’en fut donnée lorsqu’il l’interpella d’un ton peu amène :
· Une fois encore, tu ne t’es pas bien planquée. Combien de punitions te faudratil subir pour que tu restes au poste que je t’ai assigné ?
Je vis avec stupéfaction la jeune femme prendre un air craintif et il me sembla que son beau corps aux cuisses rondes et pleines, merveilleusement cambré par des escarpins à lanières, était parcouru d’un léger tremblement. La punition évoquée devait être terrible pour tant l’apeurer. Elle tomba à genoux et tête baissée, mains jointes, elle murmura
· Je t’en prie, mon amour. pardonnesmoi encore.
· Non, je ne le peux.
Me jouaientils le comédie ? Qu’importait. Le principal pour moi était de récupérer la cassette. J’ai renouvelé ma demande. Son regard mécontent quitta le visage de sa femme et ses yeux avaient retrouvé toute leur bonhomie quand il me proposa: Soyez chic de passer la soirée avec nous, notre villa est à deux pas d’ici. Ma femme et moi serons heureux de vous offrir le dîner avant de visionner la cassette que je détruirai ensuite en votre présence, parole d’honneur.
Le désir d’en savoir plus sur ce couple étrange me poussa à accepter.
Nous avions chacun notre voiture et la jeune femme monta avec moi pour rejoindre la villa Je n’ai pas eu le temps de la questionner sur quoi que ce soit, j’appris seulement qu’elle se prénommait Louise, et lui Jean.
Je ne raconterai pas en détails le :repas servi par Louise dénudée qui n’eut pas le droit de se mettre à table avec nous. Nous avons ensuite visionné le film, très suggestif d’ailleurs, et j’ai presque regretté de le voir partir en cendres dans la cheminée. Par contre, je ne regretterai jamais d’avoir assisté à la punition de Louise, très fautive, puisque la cassette était bien destinée à la commercialisation.
L’homme m’avoua sans la moindre gêne qu’ils tiraient leurs revenus de cette exploitation.
La punition avait débuté dans la bibliothèque avant la projection. Louise toujours nue, avait été liée, bras et jambes écartés contre une mur par des courroies aux poignets et aux chevilles, qui la plaquaient dessus. A deux mètres devant elle se trouvait un pilier duquel partaient douze Sandows, dont l’autre extrémité était munie d’une pince d’une cruelle efficacité ; plus on tire dessus, plus elle serre.
Le mari en utilisa six qu’il répartit judicieusement sur le pointe des seins, les lèvres du vagin, le clitoris et la langue. Les Sandows tiraient dur. Il suffisait de voir les yeux démesurément écarquillés de Louise pour se rendre compte de la souffrance qu’elle endurait.
· Je double parfois les Sandows si elle me met trop en colère, me dit l’homme d’un air tranquille; et si vous voulez passer le reste de la nuit ici, vous constaterez que je ne la libère qu’à l’heure du déjeuner.
Toute le durée de 1a projection, elle demeura suppliciée; seuls des râles de gorge et de la bave coulant de ses lèvres, montraient que sa position n’avait rien d’agréable. Elle y resta toute l’heure suivante au cours de laquelle son mari me fit l’amour, entrecoupé de quelques flûtes de champagne.
Puis j’ai pris congé malgré la tentation de coucher chez ce couple afin de voir l’état de Louise le lendemain, mais mes beauxparents chez qui je logeais, auraient vu d’un mauvais œil mon escapade nocturne.
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