par Jacques, 31 ans.
Corinne et moi, Jacques, sommes allés dans un camp naturiste ou nous avions, avec deux amis, loue un bungalow. Le matin de notre arrivée, nous nous retrouvâmes tous les quatre dans le salon pour un petit déjeuner. Pierre et Vivien firent leur entrée, très remarques par Corinne. Pierre avait une queue qui pendait a quart de cuisses et des muscles saillants que Corinne, qui avait pour seul habit un rose a lèvres électrique sur sa bouche épaisse, remarqua tout de suite. Son regard était fascine par l’engin. Quant a Vivien, il était beau, très beau même, imberbe et fin.
Tout en prenant le café, les garçons avaient les yeux fixes sur la poitrine de Corinne, ce qui ne manqua pas de faire bander légèrement leurs membres. La journée se passe super bien : bronzette, jeux d’eau ponctues d’attouchements légers et sensuels, ce qui énerva tout le monde dans la nuit qui tombait!
Un bal battait son plein sur la plage et Pierre invita Corinne a danser quelques slows. Puis ce fut mon tour. Corinne me confia que la queue de Pierre, dure et gonflée, s’était collée contre son ventre, ce qui les avait mis dans un état d’énervement certain.
Alors que je discutais avec Vivien, je remarquai que nos deux oiseaux qui dansaient très colles, se dirigeaient vers la pinède. Je pris l’excuse d’une envie pressante pour les suivre. Ils passèrent derrière un pin et la, Pierre prit la bouche de ma femme. Leurs têtes bougeaient dans tous les sens et j’avais le feu partout. Puis Corinne tomba a genoux et engouffra le canon de chair dans sa bouche. Elle suça, suça, le lécha tout le long. Je vis Pierre s’arc-bouter et lécher toute sa crème dans la bouche de Corinne qui avala la semence. Puis elle se redressa, embrassa Pierre et ils revinrent vite vers le. bal. Je restai un moment en attendant que ma bite se calme. Le temps passe, et tard dans la nuit, nous rejoignîmes notre bungalow.
Une fois dans notre chambre je demandai a Corinne de s’habiller en pute, et croyezmoi, elle ne se fit pas prier! Pendant qu’elle se maquillait, je la pris par derrière et je limais sa chatte, ce qui la fit haleter, gémir et pousser des petite cris. J’éjaculais comme un dingue, me retirais de Corinne et m’écroulais sur le lit.
Corinne se dirigea vers la salle de bains, en bas, porte-jarretelles, nuisette transparente ; avec ses gros nichons, c’était l’enfer! Je me servis un verre, mais au bout d’un quart d’heure, je compris vite au bruit provenant du salon, que mes deux copains étaient en train de baiser ma femme. J’ouvris discrètement la porte et matais le spectacle. Vivien était allonge sur le ventre de Corinne, et allait et venait nerveusement dans son trou gras et béant. Pierre, a genoux près du visage de Corinne, se faisait sucer la pine par elle.
Soudain, Vivien embrassa ma femme et leurs deux bouches se mirent a sucer Pierre. Je me doutais un peu que Vivien aimait les hommes, et d’un seul coup j’eus envie de Vivien!
Le lendemain soir, Pierre et Corinne allèrent boire un verre en ville et je restai avec Vivien. Je lui racontai que j’avais tout vu hier soir, et il me confia qu’il était l’amant de Pierre depuis longtemps et qu’il aimait se travestir. Je le provoquais en disant « Chiche! Fais voir! » II s’isola dans notre chambre et un quart d’heure après il m’appela. En rentrant dans la pièce j’eus un choc: Vivien était debout, maquillé, parfumé et vêtu comme une pute en dessous sexy, la queue raide en l’air. Je m’approchai de lui, nos queues se touchèrent, et je lui mis ma langue dans sa bouche. Son rouge a lèvres avait le goût de la fraise et moi je ne savais plus ou j’étais!
II glissa tout doucement sa bouche vers ma queue, et m’entreprit une pipe qui me fit fermer les yeux. Sa bouche était chaude et accueillante, et sa langue faisait des miracles. Je le relevais et le couchai sur le lit. I1 écarta ses longues jambes gainées de bas en soie et les releva en haut. Je vins sur lui, et présentai ma queue a son petit trou vaseliné qui l’aspira sans résistance. Un vaetvient lent et régulier arracha de petits gémissements à Vivien que je branlais en même temps. Puis mon rythme s’accéléra, je jouis en lui, et dans le même temps de longues saccades de jus sortirent de son membre dont j’aspirai les dernières gouttes, ce qui m’arracha un dernier cri. Quand Corinne et Pierre rentrèrent, nous étions encore en train de baiser.
· Bravo, me dit Corinne, on vous laisse! Je fis l’amour a Vivien toute la nuit, alors qu’a cote Corinne hurlait de plaisir jusqu’au matin.
Toutes les vacances nous baisâmes comme des dingues. Corinne m’avoua vingt partenaires et dit qu’elle voulait revenir l’année prochaine. Moi, de mon cote, je baise toujours Vivien dans un hôtel de Paris, et je conseille a tous les hommes d’essayer un petit minet travesti. Soyezen surs, vous ne pourrez plus vous en passer!
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