mardi 21 octobre 2008

UNE BOUGIE TORSADEE DANS LE CUL. Une idée-plaisir a retenir!

par Laurence, 31 ans.

Je voudrais faire part a vos lecteurs d’une trouvaille que j’ai faite avec Eric, le garçon avec qui je vis depuis huit ans.
Nous formons un vrai couple et nous aimons beaucoup l’amour physique. Pour éviter la lassitude, il nous arrive de regarder tous les deux des films X. Je dois dire que les scènes ou la femme se fait mettre une queue simultanément dans le vagin et dans l’anus (une dans chaque trou, bien sur), m’excitent tellement que je finis par dire a Eric que je souhaite me faire prendre en sandwich.
Quelques jours plus tard, alors que j’étais en position dominante en faisant l’amour, je me suis allongée sur Eric pour mêler nos langues et nos lèvres. Mes jambes écartées permettaient a Eric de toucher mon anus avec ses doigts, tandis que nos douces ondulations remuaient sa bite en moi. Assez vise, j’ai eu un doigt dans le trou du cul qui appuyait a travers les parois de mon rectum et de mon vagin sur la bite d’Eric. C’était bon, j’encourageais Eric a continuer. C’est alors qu’il se saisit d’une belle bougie torsadée décorant le chevet, il l’enduisit de vaseline, puis m’enfonça le tube dans l’anus pour y déposer une noix de vaseline, comme il fait avant de me sodomiser.
Saisissant la bougie par le cote de la mèche, il pose le culot contre l’anus et lentement me l’enfourna dans le derrière. C’était encore mieux que son doigt. D’un mouvement vigoureux mais lent, il commença a me tringler l’anus. C’était divin! D’abord aucune douleur, alors que dans la sodomie la grosse bite d’Eric m’écarte trop le sphincter. En plus, sans doute a cause des torsades, la stimulation était si intense et si variée que j’eus très vite un orgasme bizarre et si violent que je pense avoir perdu connaissance. Ensuite Eric a joui dans mon vagin en frottant sa bite contre la bougie qu’il avait maintenue au fond de mon anus.
Souvent nous avons recommence cette double pénétration confortable et facile, et toujours avec le même bonheur. Bien sur nous avons essaye un gode a la place de la bougie, mais ce n’est pas pareil. Rien ne remplace une bougie torsadée d’environ trois a trois centimètres et demi de diamètre que l’on vous agite dans le cul Rien que d’y penser, j’ai comme de l’électricité dans la colonne vertébrale.
Cet accessoire est indispensable a notre vie sexuelle.
Dernièrement, je l’ai essaye sur lui. Il était a quatre pattes et j’ai glisse mon visage sous lui, de manière a lui faire une fellation en même temps. I1 a bien aime et il m’a inonde la bouche de sa semence. Depuis, il réclame de temps a autre sa fellation / sodomie a la bougie torsadée. C’est un truc merveilleux (et économique!) pour toutes celles qui rêvent de sandwich, ou simplement qui ont besoin d’une variante a la sodomie (et pourquoi pas pour s’y initier?).
Si vous essayez, écrivez a notre revue pour me dire vos impressions. Merci a l’avance.

LE SUIS LA SOUBRETTE, LA MAITRESSE ET LA PUTAIN DE MON PERE

Maryse, 25 ans.

Je suis Maryse, vingt﷓cinq ans, célibataire, et je vis toujours chez papa-maman Je suis second clerc de notaire dans une grosse étude de province. Profession on ne peut plus classique et rangée. Si je le suis également dans mes tailleurs de tous les jours, je le suis moins dans mes goûts car j’aime vivre nue. Depuis toujours, j’ai un penchant pour les sous-vêtements raffines, soyeux et même osés, et une partie de mes économies leur a toujours été consacrée Je les choisis toujours blancs, rouges ou noirs.
Je suis libre tous les samedis. Ma mère est infirmière a domicile et travaille ce jour-là Mon père est en préretraite, mais s’occupe d’associations et s’absente souvent pour des réunions Je fais un grand ménage a fond le samedi matin. II y aura deux ans en juin que s’est passe l’événement que je vais vous raconter.
Il faisait déjà chaud, aussi comme j’étais seule je décidai de joindre l’utile a l’agréable en faisant le ménage vêtue d’un porte-jarretelles rouge, de bas noirs et d’escarpins rouges a petits talons. Ce n’est pas une tenue de Cendrillon, mais que j’aime aller et venir en dessous peu sages, sentir et voir mes seins ballotter lors des gestes du ménage. M’apercevoir nue dans un miroir m’échauffe toujours et mon intimité se lubrifie.
Ce jour-là, le bruit de l’aspirateur m’a empêché d’entendre la porte d’entrée, et c’est une main sur ma fesse qui m’a fait pousser un cri et lâcher l’appareil en me retournant d’un bond. J’étais face a mon père. Sans être rigide, mon éducation avait été stricte et je n’avais jamais vu mes parents nus. Moi-même, je restais très pudique pour mes bronzettes dans le jardin.
Et j’étais habillée comme une fille de magazine en face de mon père. Depuis combien de temps m’observait﷓il? J’ai appris plus tard que, comme je passe l’aspirateur a reculons du fond du salon vers la porte, il était la depuis dix minutes a me détailler sans que je m’en doute.
· Continue, te gêne pas pour moi surtout Tu devrais être plus souvent comme ça!
Il tourna les talons et partit je ne sais ou dans la maison. J’hésitai mais je restai comme j’étais. Apres tout c’était mon père et il ne perdrait pas la vue de voir sa fille nue.
Quand j’arrivai dans la chambre de mes parents, elle était vide. Je commençai a faire le lit Je l’avais presque termine, et la encore je tournais le dos a la porte, quand une poussée aux épaules me fit m’affaler à plat ventre sur le lit. Je sentis aussitôt une main entre mes cuisses. Je serrai les jambes, mais trop tard! La voix de mon père au﷓dessus de moi tonnait :
· Ca t’excite de te balader comme ca à ce que je vois! Ta mère va être contente d’apprendre ca!
Ma mère est plutôt puritaine et mes dessous étaient depuis toujours un sujet de bagarre entre nous, tout comme mes bronzettes en string dans le jardin
· Non, mon petit papa, oublie de lui en parler!
· Alors viens ici, il y a aussi du ménage à faire par la!
Et je le vis ouvrir sa ceinture, descendre son pantalon et son slip.
· Non, tu ne veux pas que...
· Si justement!
· Mais je suis ta fille!
· Tu préfères que ta mère soit au courant?
Le chantage. . . je me suis dit: une pipe maintenant et ça en sera termine pour toujours!
Mon père bandait a demi. Je m’agenouillai et commençai a le faire durcir encore en le léchotant, pelotant ses bourses poilues. Puis après l’avoir décalotté, je pompais avec vigueur son sexe qui se raidit et releva la tête.
· Tu fais ca très bien, mieux que ta mère! Avec elle je sens toujours ses dents. Enfin, je sentais, car ca fait un bout de temps que j’ai pas eu droit a ce genre de gâterie! Tes petite copains ont bien de la chance!
C’est vrai que mes quelques amants avaient toujours aime mes caresses buccales. Mieux que ma mère. .. dire ça à une fille c’est lui faire un sacre compliment! Aussi, j’en rajoutai, je fignolai, je sortis tout mon savoir buccal et lingual jusqu’au moment ou deux mains m’ont solidement maintenu la fête.
· Ah, salope, tu me fais venir! Tiens, prends tout! Ah, c’est bon, j’éclate!
Bon an, mal an, je dus avaler pour ne pas étouffer. Ce n’est pas mon plat préféré mais j’y goûte quelquefois, et celui-là n’était pas mauvais.
· Je te laisse a tes occupations!
Et voile mon père sorti jusqu’à midi. I1 revint déjeuner comme d’habitude et se comporta toute la semaine comme si de rien n’était.
Le samedi suivant, il était là. Il faisait beau de nouveau, mais c’est en jean et chemisier que j’attaquai le ménage. Ce ne fut pas du goût de mon père qui, très en colère me dit
· Tu n’as rien d’autre a te mettre? Montre﷓moi ton armoire, je vais choisir.
I1 désigna une guêpière noire, des bas rouges et des mules a talons. I1 supervisa tout le ménage, en allant et venant sans cesse dans la maison. Quand j’arrivai a sa chambre, il était nu sur son lit sexe dressé et se branlait doucement
· Tiens, j’ai déjà fait une partie du travail, viens continuer sinon tu sais ce qui arrivera!
Le chantage continuait, j’étais prise. Je m’agenouillai près du lit et recommencai une fellation que je voulais être encore meilleure que la précédente. Comme j’étais a portée de main, mon père se mit a me caresser et a me branler le clito. Je ne pris pas mon pied sous ses doigts, mais lui ne résista pas mieux a mes caresses et m’octroya une nouvelle rasade de son sperme crémeux.
Depuis, il n’a plus jamais de réunion le samedi matin, et choisit mes tenues de femme de ménage. I1 se promène souvent ce matin﷓là, nu lui aussi, dans toute la maison.
Un jour ou il avait choisi un bustier noir et son string assorti, coup de sonnette. C’était le facteur.
· Ouvre, me dit mon père.
· Comme ça?
· Oui comme ca, ne discute pas! Je passe un peignoir et j’arrive tout de suite, je ne te laisse pas seule
Rouge de confusion, j’ouvre.
Le facteur reste sans voix, bouche ouverte. Mon père arrive effectivement immédiatement. Comme un automate, le facteur tend sa lettre, les yeux rives sur moi. Mon père lui rend le reçu et son stylo, et le pousse pour refermer la porte. C’est la qu’il a l’air de revenir a lui et fait demi﷓tour.
Mais ce hasard a donné des idées a mon père et une fois par mois environ, une lettre ou un colis arrive le samedi. Certaines doivent être vides car j’ai reconnu l’écriture de mon père qui s’envoie donc des lettres pour me faire ouvrir en tenue légère pas aussi « innocente » que la première.
A part pendant trois semaines en été et une semaine en hiver ou je suis partie seule, j’ai suce mon père chaque samedi pendant six mois environ. Puis un jour ou je grattais des taches récalcitrantes, a quatre pattes sur le carrelage de la cuisine, en guêpière et bas rouges, j’ai senti mon père s’agenouiller derrière moi, me saisir les hanches et d’un coup de reins me pénétrer.
Ma première réaction fut de pleurer. Je me suis aplatie sur le sol Je sentais le carrelage froid contre mes seins, a peine protégés par la dentelle, et la tête dans les bras je sanglotais. Cette position offrait un peu plus mon sexe, hélas! Mon père est reste immobile d’abord Je vous ai dit qu’aller et venir en vêtements sexy m’excitait, la situation au fil des mois aussi. Mon sexe était lubrifie et il est rentre en moi sans problème.
Cet accouplement, c’était la suite logique de notre aventure que j’attendais tout en la réprouvant. Quand je me suis un peu calmée, il a commence de lents mouvements de bassin. Incontestablement, cela me faisait du bien, mais je continuais a le refuser. II cherchait son plaisir sans s’occuper de moi, et progressivement ses mouvements prirent de l’ampleur, jusqu’à en arriver a me pistonner avec fougue, fureur même. Toujours accroche a mes hanches, il me balançait d’avant en arrière. Mes fesses claquaient contre son ventre. Je sentais ses bourses ballotter entre mes cuisses. Je finis par capituler et accepter le plaisir qui s’amplifiait ; je me mis a geindre. Ce fut radical sur mon père qui, presque aussitôt, se mit a jaillir en moi en grognant et en me laissant sur ma faim.
· Tu prends bien toujours la pilule?
· Oui, mais tu ne crois pas qu’il est un peu tard pour t’en inquiéter?
· Je le savais, je t’ai vu la prendre il n’y a pas longtemps. Allez, au boulot! Continue le carrelage!
Apres cette matinée, les fellations se firent plus rares. Mon père me prenait au cours de la matinée avec une préférence pour une position en levrette, ou debout, ou encore couchée, les fesses au bord d’une table, mes jambes sur ses épaules.
Les samedi passaient et il s’est mis a m’acheter ma lingerie, souvent par correspondance, chez des fournisseurs spéciaux, en demandant une livraison le samedi évidemment. J’ai maintenant des slips fendus, des soutiens﷓gorge a demi ou quart de bonnet, des guêpières et des bodys seins nus, et une chemise de nuit genre djellaba en voile noir qui ne cache rien. Des balconnets profonds et un string me semblaient le comble de l'érotisme, et je n’avais jamais pense que cela exista. Ce qui me semble le pire, c’est que j’y prends goût et je me mets a les porter de temps en temps en semaine, pour mon plaisir, SQUS un pull ou un chemisier opaque.
Pour sa fête, la Saint-Gérard qui, en 92, tombait un samedi, il a voulu m’enculer. Je l’ai laisse faire une fois de plus. Cette fois encore en levrette, dans la cuisine, après m’avoir vice une rasade d’huile d’olive sur les fesses et s’en être badigeonne le sexe, il m’a dépucelé l’anus. A ma grande surprise, il fut très doux : un doigt, puis deux, puis trois puis son sexe, m’ont pénétrée sans que jamais je ne ressente la moindre douleur. n m’a avoue ensuite que ma mère s’y était toujours refusée.
Maintenant, c’est le sort qui désigne le trou qu’occupera son sexe. II me tend trots papiers l’un avec un O car c’est la forme que va prendre ma bouche, l’un avec un Q. sans commentaire, l’autre vierge (!!) pour la voie naturelle. Je le tire au sort et je dois m’exécuter.
Mon père vous lit mais il ne sait pas que j’envoie cette lettre. Il y découvrira le goût que je prends a porter tous les jours les vêtements très coquins qu’il m’offre, mais s’il sait le plaisir que je prends avec lui, a﷓t﷓il su vraiment ma révolte au moment de chacune des étapes qu’il m’a fait franchir, puis mon abandon systématique?
Voilà mon histoire. Je suis la soubrette, la maîtresse et même quelque part la putain de mon père, puisque j’accepte des cadeaux qu’il ne me faisait pas avant que je m’occupe de lui sexuellement.
J’espère que ces dix pages de confidences ne seront pas un handicap a la publication.

JE DEBAUCHE LES JEUNOTS. Ils sont fous de mes gros nichons!

par Armelle, 56 ans.

Il y a deux ans, j’ai gagne gros au Loto.
Apres avoir change de maison, de meubles et de voiture, je me suis offerts un beau voyage en Grèce. A cinquante-quatre ans, divorcée sans enfant, je suis restée très belle femme : une grosse poitrine, une fine taille, un ventre plat, de belles jambes ; j’ai ce qu’il faut pour plaire aux hommes, d’autant plus que j’ai du tempérament et que, sans tabous, je n’ai rien a leur refuser. Donc, arrivée en Grèce, j’ai eu une aventure avec un Parisien, un homme charmant et courtois mais très vicieux. Je passai quinze jours très agréables avec lui. Avant de partir, il me dit ceci :
· Armelle, tu es une femme de tempérament. Avant de quitter la Grèce, il te faut goûter a une spécialité du pays. Voici l’adresse d’un bar ou tu te rendras le soir après vingt heures. Tu y rencontreras de beaux éphébes, cela te
coûtera quelques billets, mais tu ne seras pas déçue. Toi qui aimes bien le radada, tu vas être comblée!
Quelques jours après, je me suis rendue a ce fameux bar. J’avais le cœur qui battait la chamade. I1 y avait peu de monde, mais bien vite un homme vint a ma rencontre. I1 était jeune et beau. Il me fit un charmant sourire et m’invita a sa table. On but un verre, et rapidement il me propose ses services. La somme n’était pas exagérée, il me fit un prix car il me trouvait très belle et avait fort envie de moi. Bien vite je me retrouvai chez lui, dans un très bel appartement. C’est lui qui me déshabilla tout en me couvrant de baisers. J’étais déjà très excitée.
II était bien fait et surtout bien monte. Je n’avais jamais vu une verge aussi grosse, et cela me faisait un peu peur. Je lui dis que j’étais très étroite et il me promit de mettre une crème spéciale pour que cela entre mieux et que je net sois pas irritée. n commence par me caresser, surtout la poitrine. Mes seins lui plaisaient beaucoup. J’étais déjà toute mouillée quand il fit une descente a ma foufoune, et c’est une craquette bien baveuse qu’il trouva. Mon clito très sensible fut de la fête et je jouis rapidement sous sa langue. Ensuite il enduisit sa queue de pommade et me pénétra lentement. Cela me fit une impression bizarre, cette belle bite qui prenait possession de mon corps! Je me sentais remplie par cet engin puissant Un instant, je me cramponnai a lui afin de mieux savourer la pénétration. Que c’était bon! Puis je le relâchai et il s’activa en moi. Le plaisir irradiait tout mon corps et mon amant me fit jouir comme une dingue. Jamais de la vie je n’avais connu une émotion aussi forte. Je restai pantelante.
Apres cette cavalcade, il me propose une douche que l’on prit ensemble. II était très gentil et me propose de revenir quand je le voulais. C’est d’ailleurs ce que je fis. Un jour sur deux, j’allais le rejoindre. C’était un gigolo merveilleux. Mon séjour se termina en beauté et je retournais au Puy, bien décidée a trouver un amant jeune et puissant.
Ce ne fut pas facile bien que j’habite une grande ville. Enfin je dénichai l’oiseau rare dans une annonce « Olivier, vingt﷓deux ans, ingénieur, recherche femme généreuse pouvant le loger, âge indiffèrent. » Je compris vite que j’avais affaire a un vicieux et que je ne serai pas déçue. Pour mettre plus de poids a ma lettre, j’y joignis une photo de moi où ma poitrine était bien mise en valeur. Je lui dis aussi que j’étais coquette, que je portais des bas et des porte-jarretelles, et de la lingerie fine. Pour aller plus vite, je lui donnai mon numéro de téléphone. II ne tarda pas a m’appeler. II était presse de me rencontrer. Je lui dis de venir tout de suite avec ses affaires ; une heure après il était la. Beau garçon, bien bâti, très sportif. Je lui fis forte impression. J’avais mis une jupe fendue sur le cote et un pull moulant serre a la taille par une large ceinture, ce qui avait pour but de faire ressortir ma poitrine. II me trouva très sexy.
Je lui fis visiter la maison et sa chambre, puis je lui versis une coupe de champagne. Nous étions tous deux au salon. Mes jeux de jambes lui permettaient de voir le haut de mes cuisses, et quand il me dit que je n’étais pas le genre de femme a mettre des collants, je sentis que cela allait être ma fête. Ce fut vite fait : je fus retroussée, pelotée, caressée et déculottée. n enfouit son visage entre mes fesses et je sentis sa langue sur ma foufoune. C’était super! Ses mains me caressaient les cuisses, et quand il me caressa le cul et qu’un doigt me pénétra le troufignon, je me mis a jouir comme une folle. Je lui tins le visage contre moi et je jouis longtemps. I1 avait emprisonne mon clito entre ses dents et aspirait très fort, et en même temps sa langue titillait le bout. Quel pied je pris!
Quand ce fut fini, il se releva et me sortit son engin. Quel beau morceau qui grossissait a vue d’œil! Je me mis a le caresser et, m’approchant, je le suçais tout en caressant ses couilles qui étaient très velues. Cela devait lui faire du bien car il me serra fort contre lui et jouit, me crachant un paquet de sperme bien crémeux dans le fond du gosier. J’aspirai tout et appuyai sur sa verge pour en extraire la dernière goutte. Que c’était bon! J’adore cela!
I1 voulut s’attaquer a mon corsage, mais pour cela il fallait que je me déshabille. Je lui proposai d’aller ranger ses affaires pendant que je préparais le repas du soir. C’est en amoureux que l’on prit notre repas: il m’embrassait, me pelotait, me caressait les fesses. J’étais un jouet pour lui. Jamais un homme ne s’était autant intéressé a moi. J’étais comblée et heureuse. Le soir dans ma chambre, c’est lui qui me déshabilla lentement comme pour mieux me savourer, et quand il enleva mon soutien﷓gorge, il devint comme fou. Je fus pelotée, caressée, sucée, baisée de partout. Nous nous sommes endormis tous les deux dans les bras l’un de l’autre, et depuis Olivier ne me quitte plus. n est très amoureux de ma personne, et moi j’en ai autant a son service. Je ne peux rien lui refuser!

SOUMISE UNE BANDE DE VICIEUX. Les fâcheuses conséquences d’un pari.

par Marie, 38 ans

Je vous remercie d’avoir publie ma lettre sous le titre « A la merci de quatre libertins ». Comme je m’y étais engagée, je vais vous raconter la suite de mon aventure.
Je vous rappelle qu’a la suite d’une partie de poker perdue face a mes deux collègues de travail, Gérard et Jean﷓Pierre, et a leurs femmes, Evelyne et Louise, je dois accomplir quatre épreuves pour récupérer quatre photos ou je suis entièrement nue, qui ont été prises le soir de ma défaite.
Apres le deuxième gage réalisé mi﷓octobre, qui m’a conduite a m’exhiber nue dans un night﷓club, j’étais complètement déboussolée. J’ai d’ailleurs passe aussitôt après un week﷓end épouvantable a essayer d’analyser ma conduite, et a comprendre comment j’avais pu en arriver la. J’étais décidée a tout abandonner, quoique puissent faire mes amis des deux photos restantes.
La semaine suivante, mes collègues de travail ne firent aucune allusion a ce qui s’était passe et se comportèrent très normalement a mon égard, et même, dois je dire, avec beaucoup de gentillesse. Cela continua d’ailleurs pendant trois semaines, et j’en vins a penser qu’ils estimaient avoir été trop loin avec moi et oubliaient » donc les deux dernières épreuves.
Mais, fin novembre, Jean﷓Pierre et Louise m’invitèrent a dîner en compagnie de Gérard et Evelyne. Je redoutais cette rencontre a cinq. Le repas se déroula dans une ambiance chaleureuse malgré ma tension, et je commençais a être rassurée. J’avais tort; après le café, Evelyne sortit une enveloppe kraft d’ou elle extirpa deux agrandissements 30 X 40 de mes photos. L’effet était saisissant: mon visage était bien visible et mes postures obscènes.
Evelyne dit alors d’un ton autoritaire:
· Tu n’oublies pas, ma vieille, que tu nous dois deux « petites gâteries »? Je t’avoue qu’on a bien aime te voir dandiner ton gros cul a la boîte de nuit, l’autre jour. II faudra faire aussi bien les prochaines fois si tu ne veux pas nous décevoir!
Je m’empourprai, réalisant toute la honte de la situation accentuée par les propos égrillards sur mes formes rebondies. Comme il y a un mois et demi, je tentais de discuter, de supplier que l’on arrête ce jeu pervers. Evelyne qui semblait mener la danse dit:
· Pas question! Tu as perdu, tu payes! Nous on veut vivre nos fantasmes avec toi jusqu’au bout de la dette. Tu montreras ton cul, ton sexe et tes seins là où on voudra et à qui on voudra!
· On va te laisser une chance, dit cependant Gérard. Comme tu aimes bien les cartes, on va étaler devant toi toutes les cartes de pique, du sept a l’as, plus le joker. Chaque carte correspond a un gage. Tu tireras tes deux épreuves et si tu sors le joker, tu es dispensée des deux dernières étapes.
Gérard dispose les neuf cartes face contre table, et Louise me tendit une liste des épreuves imaginées par ces vicieux. J’en restai pantoise, jugez﷓en vous-même:
7 Disputer un match du tournoi de tennis de mon club sans slip sous ma jupette.
8 Passer cinq minutes nue dans une cabine téléphonique devant la gare entre vingt et vingt﷓deux heures.
9 Me faire raser le sexe et l’anus.
10 Montrer mon sexe et mes fesses a cinq personnes inconnues dans la même journée.
Valet Aller dîner dans une brasserie d’une ville voisine avec mes quatre compères uniquement vêtue d’un pull court (et bien sur enlever mon imperméable).
Dame Sortir boire un pot en ville nue sous mon imper avec une carotte dans le sexe et une autre dans [’anus.
Roi Servir de soubrette « coquine » lors d’une réception le week﷓end prochain.
As Faire un jogging nue le dimanche matin (500 mètres) autour d’un man d’eau voisin très fréquenté.
Joker La libération.
Abasourdie et tremblante, je tirai une carte, ce fut le 10 de pique. La suivante fut le huit. Je leur demandai alors de m’épargner ce gage, me voyant difficilement passer cinq minutes nue dans un endroit aussi passager. Ils acceptèrent a condition que cette épreuve fut remplacée par deux autres, et je pris le neuf et le roi. Bien sur, pas de joker!
Louise dit alors:
· On te fait une fleur, on va coupler le dix et le neuf : demain après-midi on ira faire des courses entre femmes, et après que tu te sois bien montrée, on t’emmènera te faire raser chez l’esthéticienne. Ne mets pas de culotte, ca te simplifiera la tache. Pour ta mission de soubrette, ca se passera samedi dans notre maison de campagne, on t’expliquera.
Le lendemain a quatorze heures, je rejoignis Evelyne et Louise chez cette dernière. Evelyne vérifia immédiatement que j’étais bien cul nu en me faisant soulever ma jupe ample et assez courte. Je rougis violemment et Louise me dit :
· I1 va falloir t’habituer car tout ça faudra l’exhiber a d’autres!
Ce jour-là, elles me firent soulever ma jupe jusqu’à la taille dans un ascenseur ou se trouvait un jeune couple, puis elles me firent passer trois fois jambes bien écartées au﷓dessus d’une bouche d’égout ou travaillait un ouvrier qui n’en croyait pas ses yeux. Ensuite, dans un magasin de chaussures, elles m’obligèrent a m’asseoir jupe troussée, fesses sur le siège, jambes écartées bien haut pour essayer cinq paires de chaussures. Mon sexe était a moins d’un mètre du visage empourpre du vendeur.
Le plus dur, et sans doute le plus spectaculaire, fut la quatrième phase. Dans le « C&A » de la ville voisine ou j’étais censée essayer une jupe, elles me confisquèrent jupe et imperméable et me firent traverser, le bas du corps entièrement dévoilé, les vingt mètres séparant la cabine de la caisse. II y avait au moins trente clients, et je crois bien que nous avons frôlé l’émeute.
L’après-midi se termina chez l’esthéticienne qui, avec un air lubrique, me rasa complètement l’entrejambes, a l’exception d’un petit toupet de poils blonds au dessus du clitoris, ce qui rendait encore plus impudique la nudité du reste. J’étais épuisée. Evelyne et Louise me raccompagnèrent et me dirent :
· C’est bien, ma poule! Voilà une photo et a samedi!
Je crois que c’est a partir de ce jour﷓là que mon sentiment commença à évoluer. J’étais soumise, et sous la honte et la peur, commençait a apparaître de l’excitation.
Le samedi après-midi, les quatre passèrent me chercher vers seize heures. Je m’installai a l’arrière, entre les deux femmes. On m’expliqua qu’il s’agirait de servir a table un repas de traiteur a huit convives: les quatre, plus des voisins amis. Je devais être obéissante; j’imaginais déjà ce que cela voulait dire!
A l’arrière, on me procure mon uniforme : des sous-vêtements rouges, des « Dim Up » noirs, un chemisier blanc et une jupe plissée grise et très courte, plus des chaussures a talons très hauts.
L’arrivée des invites fut ma première surprise. Je m’attendais a voir quatre adultes d’une quarantaine d’années. En fait, il y avait un couple d’une cinquantaine d’années accompagne de leur fils de dix﷓huit ans et de sa petite amie. Cela me paniqua, car je m’attendais a ce que mes maîtres m’obligent a m’exhiber d’une façon ou d’une autre, et devoir le faire devant de si Jeunes gens, moi qui ai trente huit ans, me semblait être le comble de l’humiliation. Pour expliquer ma présence, Louise dit que je faisais un « extra » en leur servant ce soir d’employée de maison, a la suite d’un pari.
Je servis l’apéritif en me penchant largement pour montrer mon décolleté et faire remonter ma jupe a la limite des bas, comme on me l’avait demande. Cette attitude intrigue puis amuse nos hôtes qui commencèrent, je crois, a se douter que la soirée pourrait être étonnante. Les convives passèrent a table, je servis les entrées. Gérard, feignant une maladresse, me fit sciemment une tache de mayonnaise sur mon chemisier. Louise me dit alors:
· Voyons, Marie, tu ne peux pas nous servir en souillon! Va changer de chemisier!
· Mais je n’en ai pas d’autre, repiquais-je timidement.
· Eh bien, ôte-le! Tu peux bien officier en soutien﷓gorge.
C’est ce que je fis en baissant les yeux. je sentais que le processus était commence. Je continuai la soirée en soutien﷓gorge sous les regards allumes des invites. Un peu plus tard, Jean﷓Pierre me donna un coup de coude pendant que je servais le voisin et la sauce tomba sur son pantalon.
· Quelle maladroite! cria Evelyne. Ca suffit, tu mérites une punition. Monte sur la table du salon!
Les dîneurs s’arrêtèrent de manger et me fixèrent. Evelyne reprit alors la parole :
· Regarde﷓moi dans les yeux, dégrafe ton soutien﷓gorge!
J’obéis en libérant ma grosse poitrine et l’offrant aux regards, alors que des larmes me montaient aux yeux. Le garçon et la jeune fille se poussaient du coude et pouffaient, ce qui accroissait ma gène. Gérard prit le relais et dit a Evelyne:
· Tu es trop bonne, cette maladresse mérite une punition plus cuisante. C’est a poil que Marie doit continuer le service. Du moins si Monsieur Gerrhault est d’accord, dit﷓il en se tournant vers le voisin. ﷓ Oui, oui, répondirent en chœur les invites, a poil ce sera très bien!
· Tu as compris? reprit Jean﷓Pierre. Fais tomber ta jupe!
Je passai mes mains dans le dos pour dégrafer le bouton et faire glisser la fermeture Eclair. La jupe tomba sur mes chaussures. Je m’arrêtai la, mais la jeune fille s’écria:
· I1 me semble qu’on a dit « toute nue »!
· Bien sur, renchérit Evelyne, d’ailleurs « toute nue » est mieux adapte comme terme qu’a poil, car vous allez voir que Marie est si exhibitionniste qu’elle a déjà enlevé les poils. Allez, exécution!
Je me retrouvai donc debout sur la table, seulement couverte de mes « Dim up ». Les invites furent surpris de voir mon sexe lisse et se levèrent pour contempler de plus près et même toucher. Je dus tourner plusieurs fois sur moi même et être largement tripotée, ce qui d’ailleurs, je dois l’avouer, m’excita, avant de reprendre mon service. Je pensais en avoir fini, mais Louise me demanda de rajouter deux couverts, car deux nouveaux convives devaient venir pour le dessert. Au point ou j’en étais, cela ne m’ennuie guère, et pourtant!
Au bout de dix minutes, alors que je continuais a vaquer nue au milieu de ces gens habilles, on sonna. Louise m’ordonna d’aller ouvrir dans la tenue ou j’étais. A la porte se tenait une dame d’une quarantaine d’années vêtue d’un manteau de fourrure. Mais horreur, juste derrière elle, j’aperçut mon patron! Le piège total et infernal! ! !
Mon patron et son épouse entrèrent et me saluèrent:
· Marie, quelle bonne surprise, je vois que vous occupez bien vos week﷓ends!
J’étais pétrifiée. Plus morte que vive, j’ai continue a évoluer sous le regard goguenard de mon patron. Evelyne me dit un peu plus tard:
· Bien sur, on a un peu triche en ne respectant pas nos conventions, mais comment se priver d’une bonne petite esclave comme toi?
· Vous avez bien fait, renchérit mon patron. Je découvre une facette fascinante de la délicieuse Marie. Je pense que cela devait faire évoluer nos relations et pour fêter ça, je vous offre le champagne au café du village!
Et c’est ainsi qu’encouragé par toute l’assemblée, ils m’ont emmenée nue au bar du village ou, compte tenu de l’heure tardive (minuit et demi) il n’y avait, dieu merci, que deux consommateur. Mais je pense que mon aventure sera largement commentée dans ce bourg. Pour finir, ils m’ont fait jouer au flipper dans cette tenue avant de m’autoriser a aller me coucher.
Voilà comment je suis devenue entièrement soumise a une bande de vicieux. Depuis cette date, il. m’est arrive d’autres aventures que je vous raconterai si cela vous intéresse.

"LETTRE A MA CHERIE ET SON MARI Une longue histoire d’amour."

par Jean, 40 ans.


Depuis maintenant plus de vingt ans que nous faisons l’amour ﷓ tous les trois, il. y a des nuits ou je me repasse certaines soirées dont voici le récit.
Nous sommes au lit tous les trois, nus. Je commence a passer mes lèvres sur tes seins, doucement, tout doucement. Je descends vers ton ventre. J’insinue ma langue dans ton nombril, et je continue a descendre jusqu’à ta chatte déjà humide de plaisir. Je titille ton clitoris avec ma langue. II est déjà dur et tu lances ton ventre a la rencontre de ma langue pour te faire baiser par elle. Tu écartes doucement les cuisses et ma langue rentre dans ta chatte, la fouille au plus profond. Je te rentre un doigt doucement, puis deux, et je te branle de plus en plus vite. Tu commences a jouir. Pendant ce temps, ton mari s’occupe de tes seins, il les tire, les suce, pince les bouts, les malaxe. Je rentre ma main dans ta chatte déjà ouverte et prête a l’accueillir.
Profond, bien profond jusqu’au poignet, je fais aller et venir ma main, en poussant pour la mettre au maximum. Ca y est. je suis au fond et ne bouge plus. Toi, tu jouis, tu jouis a fond. Tes lèvres sont gonflées de désir, tes yeux pleins d’amour. Tu demandes grâce. Ton mari et moi, nous bandons comme des cerfs et nous réclamons notre du. Doucement, tu descends vers la queue de ton homme, m’entraînant avec toi. Tu le suces doucement et tu l’embouches a moitié en remuant ta langue.
Si tu savais comme tu es belle quand tu suces! Tu y mets tout ton amour. Tu fais coulisser sa queue dans ta bouche et tu fermes les yeux. C’est un spectacle magnifique. Tu attires ma tête vers toi et m’offres son sexe afin de me faire partager ton amour. Je le prends dans ma bouche. Je crois qu’à mon contact, il bande encore plus. Nous le suçons tous les deux. Que sa bite est grosse dans ma bouche! J’exécute un va﷓et﷓vient, mais ne veux pas le faire jouir trop vise. Pendant ce temps, il a pose une main sur ma queue et commence a me branler, tout en me caressant les couilles. Je lui caresse les couilles aussi, et soudain tu l’embouches.
I1 jouit dans ta bouche. Tu avales tout et me fais goûter un peu du sperme qui reste sur sa bite. Puis tu m’embrasses, mélangeant nos salives et son sperme. C’est génial!
Légèrement épuisés, vous me faites coucher entre vous deux, et recommencez a m’exciter pincement des seins (ce dont je raffole!), caresses sous mes couilles. Vous me branlez doucement et de plus en plus vite. Ton mari me suce les seins, les mord, et moi j’en veux encore. Je ne sais plus ou j’en suis, je vais jouir, oui, ca y est. je jouis! Oh, putain, que c’est bon! C’est l’extase! C’est merveilleux!
Ce n’est pas un fantasme, ma lettre est véridique. Le travail nous a un peu séparés, mais quand on se retrouve, c’est vraiment quelque chose de fantastique. Et c’est toujours avec autant de passion et d’amour que l’on s’envoie en l’air tous les trois.
Je pense que vous me reconnaîtrez.

COMMENT JE SUIS DEVENU BI Un beau travesti, ça vaut bien une gonzesse!

par Jacques, 31 ans.

Corinne et moi, Jacques, sommes allés dans un camp naturiste ou nous avions, avec deux amis, loue un bungalow. Le matin de notre arrivée, nous nous retrouvâmes tous les quatre dans le salon pour un petit déjeuner. Pierre et Vivien firent leur entrée, très remarques par Corinne. Pierre avait une queue qui pendait a quart de cuisses et des muscles saillants que Corinne, qui avait pour seul habit un rose a lèvres électrique sur sa bouche épaisse, remarqua tout de suite. Son regard était fascine par l’engin. Quant a Vivien, il était beau, très beau même, imberbe et fin.
Tout en prenant le café, les garçons avaient les yeux fixes sur la poitrine de Corinne, ce qui ne manqua pas de faire bander légèrement leurs membres. La journée se passe super bien : bronzette, jeux d’eau ponctues d’attouchements légers et sensuels, ce qui énerva tout le monde dans la nuit qui tombait!
Un bal battait son plein sur la plage et Pierre invita Corinne a danser quelques slows. Puis ce fut mon tour. Corinne me confia que la queue de Pierre, dure et gonflée, s’était collée contre son ventre, ce qui les avait mis dans un état d’énervement certain.
Alors que je discutais avec Vivien, je remarquai que nos deux oiseaux qui dansaient très colles, se dirigeaient vers la pinède. Je pris l’excuse d’une envie pressante pour les suivre. Ils passèrent derrière un pin et la, Pierre prit la bouche de ma femme. Leurs têtes bougeaient dans tous les sens et j’avais le feu partout. Puis Corinne tomba a genoux et engouffra le canon de chair dans sa bouche. Elle suça, suça, le lécha tout le long. Je vis Pierre s’arc-bouter et lécher toute sa crème dans la bouche de Corinne qui avala la semence. Puis elle se redressa, embrassa Pierre et ils revinrent vite vers le. bal. Je restai un moment en attendant que ma bite se calme. Le temps passe, et tard dans la nuit, nous rejoignîmes notre bungalow.
Une fois dans notre chambre je demandai a Corinne de s’habiller en pute, et croyez﷓moi, elle ne se fit pas prier! Pendant qu’elle se maquillait, je la pris par derrière et je limais sa chatte, ce qui la fit haleter, gémir et pousser des petite cris. J’éjaculais comme un dingue, me retirais de Corinne et m’écroulais sur le lit.
Corinne se dirigea vers la salle de bains, en bas, porte-jarretelles, nuisette transparente ; avec ses gros nichons, c’était l’enfer! Je me servis un verre, mais au bout d’un quart d’heure, je compris vite au bruit provenant du salon, que mes deux copains étaient en train de baiser ma femme. J’ouvris discrètement la porte et matais le spectacle. Vivien était allonge sur le ventre de Corinne, et allait et venait nerveusement dans son trou gras et béant. Pierre, a genoux près du visage de Corinne, se faisait sucer la pine par elle.
Soudain, Vivien embrassa ma femme et leurs deux bouches se mirent a sucer Pierre. Je me doutais un peu que Vivien aimait les hommes, et d’un seul coup j’eus envie de Vivien!
Le lendemain soir, Pierre et Corinne allèrent boire un verre en ville et je restai avec Vivien. Je lui racontai que j’avais tout vu hier soir, et il me confia qu’il était l’amant de Pierre depuis longtemps et qu’il aimait se travestir. Je le provoquais en disant « Chiche! Fais voir! » II s’isola dans notre chambre et un quart d’heure après il m’appela. En rentrant dans la pièce j’eus un choc: Vivien était debout, maquillé, parfumé et vêtu comme une pute en dessous sexy, la queue raide en l’air. Je m’approchai de lui, nos queues se touchèrent, et je lui mis ma langue dans sa bouche. Son rouge a lèvres avait le goût de la fraise et moi je ne savais plus ou j’étais!
II glissa tout doucement sa bouche vers ma queue, et m’entreprit une pipe qui me fit fermer les yeux. Sa bouche était chaude et accueillante, et sa langue faisait des miracles. Je le relevais et le couchai sur le lit. I1 écarta ses longues jambes gainées de bas en soie et les releva en haut. Je vins sur lui, et présentai ma queue a son petit trou vaseliné qui l’aspira sans résistance. Un va﷓et﷓vient lent et régulier arracha de petits gémissements à Vivien que je branlais en même temps. Puis mon rythme s’accéléra, je jouis en lui, et dans le même temps de longues saccades de jus sortirent de son membre dont j’aspirai les dernières gouttes, ce qui m’arracha un dernier cri. Quand Corinne et Pierre rentrèrent, nous étions encore en train de baiser.
· Bravo, me dit Corinne, on vous laisse! Je fis l’amour a Vivien toute la nuit, alors qu’a cote Corinne hurlait de plaisir jusqu’au matin.
Toutes les vacances nous baisâmes comme des dingues. Corinne m’avoua vingt partenaires et dit qu’elle voulait revenir l’année prochaine. Moi, de mon cote, je baise toujours Vivien dans un hôtel de Paris, et je conseille a tous les hommes d’essayer un petit minet travesti. Soyez﷓en surs, vous ne pourrez plus vous en passer!

MA FEMME REMPLIE PAR TOUS LES TROUS. Trois amants pour Marie-Hélène.

par Jacky et Marie-Hélène, 30 ans.

Depuis longtemps nous lisons tes magazines avec plaisir. Nous sommes un couple de trente ans. Je voudrais te raconter ce qui nous est arrive il y a quelques années. Si nous nous en rappelons aussi bien, c’est que tout est note dans un cahier. D’abord, je me présente; je mesure lm65 environ, je ne suis ni beau, ni laid, mais en général je plais aux femmes et quelquefois aux hommes. Ma femme mesure lm60, elle est entièrement rasée et aime aussi bien les femmes que les hommes. Voilà donc l’histoire, je ne mettrais que les initiales pour ne pas gêner nos compagnons.
Nous étions tous réunis, ma femme, trois de nos amis hommes: C, E, F et moi au café pour prendre l’apéritif. C. nous invite tous a aller manger chez lui. Apres un bon repas, tout est allé très vite: E. et C. sont montes dans la chambre en demandant a ma femme, Marie, de bien vouloir les rejoindre. Lorsqu’elle arrive en haut, elle les trouva tous les deux en slip. Je la suivis discrètement, et je vis qu’elle hésitait a faire le premier pas. Aussi je m’approchai d’elle et je me suis mis a lui caresser les seins tout en la déshabillant.
Une fois qu’elle fut nue, nos deux amis se sont approches d’elle et ils l’ont caressée en l’embrassant. Seul F. était en bas, car Marie ne voulait pas de lui, et pour le faire rager un peu, C. et Marie sont descendus a poil pour aller chercher a boire. Ils se sont roule des patins et caresses devant lui, puis ils sont remontes. Nous étions tous nus et nous avons allonge Marie sur le lit. Elle avait trois hommes autour d’elle qui lui caressaient les seins et la chatte. Elle nous prit chacun notre tour dans sa bouche en branlant les autres avec ses mains. Je voyais sa chatte complètement trempée. Puis, pendant qu’elle nous suçait C. et moi, E. la balsa. Je la voyais écarter les cuisses le plus possible pour prendre son pied, puis ce fut au tour de C. de la baiser pendant qu’elle nous suçait, et c’est moi qui l’ai pénétrée pendant qu’elle suçait C. et E. E jouit le premier dans sa bouche, et je la vis avaler son sperme visiblement avec plaisir. Elle avait a peine finit de tout avaler qu’elle reçut le sperme de C. dans sa bouche. Je sentis qu’elle jouissait en avalant cette deuxième rasade.
Nous avons repris un verre en la caressant. Elle recommença a jouir quand elle nous a enlevé nos mains pour se faire jouir elle-même. Elle a rentre deux de ses doigts dans sa chaste et un dans son anus. C’est la que j’ai compris qu’elle voulait réaliser un de ses vieux fantasmes. Ca n’a pas traîné. Une fois bien excitée, elle nous a dit qu’elle nous voulait tous les trois ensemble en elle. Nous avons organise un tirage au sort pour savoir qui la prendrait par la chatte, la bouche et l’anus. Apres le tirage, je me suis allonge sur le dos et Marie est venue s’empaler sur moi. A genoux, en appuyant sur ses épaules pour la faire se coucher sur moi, E. lui prit la bouche en s’en servant comme d’un sexe. J’écartais ses fesses pour que C. puisse lui lécher l’anus. Pour ce genre de position, il faut que l’anus soit bien ouvert. Je guidai la queue de C. dans l’anus de mon épouse qui se mit a jouir comme une folle. Je la sentais couler sur ma queue comme lorsqu’elle a des orgasmes très forts. Nous l’avons baisée comme ça pendant de longues minutes ou je la sentais trembler de tout son corps. Nous avons joui chacun dans son trou respectif. Elle a mis longtemps a récupérer.
Tout ce que je viens de raconter est absolument véridique, et si quelqu’un en doute, nous sommes prêts, ma femme et moi, a le prouver avec eux. Merci de bien vouloir nous publier. Si tu peux nous donner quelques conseils pour rencontrer des couples libérés. Nous t’en remercions par avance.

"DEUX SŒURS SE PARTAGENT MON SPERME J’ai initié Laurence a la sodomie."

par Denis, 37 ans.

Ma femme, Elisabeth, trente sept ans comme moi, a une sœur, Laurence un peu plus âgée qu’elle et célibataire. Un peu avant l’anniversaire de ses quarante ans, elle nous a parle de sa sexualité, quasi inexistante vu son âge et le milieu ou elle vit. Elle nous a également avoue qu’elle ne s’était jamais fait sodomiser. Alors, Elisabeth lui a fait une vraie pub pour cette pratique.
Laurence est très gentille et toujours gaie et enjouée. Elle est plus mince qu’Elisabeth, et durant la promenade qui suivit cette conversation, j’essayai de deviner les formes du cul de ma belle sœur sous le tissu de sa robe; avoir l’anus encore vierge a quarante ans! je ne croyais pas cela possible! Décidément, dans une même famille, les filles ne se ressemblent pas. Elisabeth raffole de sodomie et des nos premiers rapports (il y a presque vingt ans), j’ai explore son petit trou
Ce soir﷓là, il fut de nouveau question de sodomie et quand je me retrouvais seul avec Elisabeth, je lui fis remarquer l’attrait de Laurence pour ce sujet de conversation. Avec un air malicieux, Elisabeth suggéra que nous pouvions initier Laurence.
Comme l’anniversaire de Laurence était proche, quand elle nous parla a nouveau de sodomie, nous lui annonçâmes le cadeau un peu particulier que nous lui destinions. Elle parut ravie et vint s’asseoir sur mes genoux en me prenant par le cou. Evidemment, cela me fit bander! Elle nous le fit remarquer, et Elisabeth décide qu’il était temps que Laurence fasse connaissance avec ma bite.
Le soir de son anniversaire donc, après un bon repas, Laurence vint me câliner. C’est Elisabeth qui menait la danse, présentant mon sexe a sa sœur. Puis elle lui fit mettre un suppositoire a la glycérine. Laurence s’isola un moment dans la salle de bains et en sortit nue. J’admirai le petit cul vierge de ma belle-sœur. Vraiment ses fesses hautes et bien fermes étaient toutes menues! Elisabeth chuchota des choses a Laurence qui se plaça en levrette pour que je lui lèche l’anus. Le cul de Laurence sentait bon car elle s’était parfumée. Je devinais pourtant le goût poivre de sa rosette toute serrée et plissée, propre comme un sou neuf.
Dépuceler le cul d’une femme de quarante ans, quelle responsabilité! I1 fallait que Laurence aime, que je sois doux.. Elisabeth masturbait sa sœur tandis que j’amadouais l’anus de Laurence avec un doigt enduit de vaseline. Puis Elisabeth enfila l’embout du tube de vaseline dans [’anus de Laurence et en vida un bon tiers dans son rectum. je graissais mon sexe raide comme une barre de fer
· Creuse les reins! conseilla Elisabeth.
J’appuyai mon gland sur le petit anus vierge et je me mis à pousser lentement, mais de façon continue.
· Pousse comme pour faire caca, ordonna Elisabeth a sa sœur.
Je sentis Elisabeth gonfler son anus. Une fois, deux fois et... d’un seul coup mon gland franchit la barrière. J’arrêtai net, car Laurence avait crie, et moi j’avais senti comme un élastique qui se déchire. Nous restâmes ainsi de longues minutes, puis je continuai ma progression en avançant d’un centimètre et reculant d’un demi et ainsi de suite. L’anus de Laurence suivait ma hampe comme un doigt de gant en plastique retourné. Quand mes couilles touchèrent ses petites fesses, je commençai a la pistonner, mais j’éjaculais aussitôt tant j’étais serre et tant la scène était érotique.
Elisabeth félicita sa sœur en lui affirmant que le plus dur était fait. Comme je rebandais, Elisabeth se fit sodomiser en me chevauchant, pour montrer a Laurence comment procéder. Ensuite nous allâmes faire un brin de toilette et Elisabeth expliqua a Laurence comment entretenir son anus pour rendre la sodomie agréable. En chahutant, les deux sœurs s’enduisirent l’anus de crème “Mytosyl”.
Laurence a eu un peu mal au derrière quarante﷓huit heures, mais le dimanche suivant, elle se déclare prête a recommencer. J’enculais donc ma belle-sœur qui changea de position pour me chevaucher comme Elisabeth le lui avait montré.
Depuis ce jour-là, j’ai les couilles toujours vides, car les deux sœurs se partagent mon sperme. Evidemment, Laurence ne se contente pas de sodomie, et nous faisons tout ensemble. C’est super de se faire sucer par les deux sœurs en même temps et de les voir se battre pour partager mon sperme!

"J’AI LECHE MA PROF D’HISTOIRE La meilleure branlette de ma vie."

par Silvio, 24 ans.

J’avais dix﷓huit ans quand cette aventure m’est tombée dessus. J’avais l’habitude d’arriver le premier en classe d’histoire, bien avant la prof dont j’étais fou amoureux. J’allais m’asseoir a son bureau pour me branler, et au moment de jouir je me levais pour éjaculer sur la chaise, la ou la prof posait ses belles grosses fesses. J’étale bien le sperme, sachant que la prof va y poser son cul dans dix minutes, maximum quinze. Je ne vous dis pas le pied que je prends quand elle arrive sans le savoir, pose son beau cul sur mon foutre! Apres les deux heures de cours, je descends vite fait aux toilettes pour me branler une deuxième fois, en pensant que je suis en train de baiser ma prof chérie, allongée sur son bureau, les jambes écartées. Ma queue entre dans sa belle chatte de brune, elle crie, me demandant de lui défoncer la minette, je me donne comme un fou, et elle crie de jouissance. C’est la que j’éjacule dans les chiottes.
La semaine suivante, j’arrive dans la classe a la même heure que d’habitude. Je prends place derrière le bureau, et le pantalon baisse jusqu’aux genoux, je commence a me branler, les yeux fermes pour que mon petit film défile dans ma tête. A un certain moment, j’ouvre les yeux et surprise, la prof est la, devant moi ; alors que j’ai la main sur ma queue bien raide, au bord du plaisir. Je rougis d’un coup, je me lève, je remonte mon pantalon. La prof me prend par le bras et m’ordonne de baisser mon pantalon. Je ne bouge pas. Elle renouvelle son ordre, je ne bouge toujours pas. C’est elle qui baisse mon pantalon. D’un coup brusque, elle se saisit de ma queue, la serrant très fort, et elle commence a me branler rapidement. Je suis tellement excite et gêné que je jouis tout de suite, inondant la main du prof. J’essaye de m’excuser, mais rien ne sort. Elle me dit d’aller m’asseoir au premier rang, juste devant son bureau. C’est a ce moment que le spectacle commence. La prof est assise. Elle écarte les jambes, puis retrousse sa jupe lentement. Je vois qu’elle a des bas et un porte-jarretelles sous sa jupe. Elle remonte encore sa jupe et je peux enfin voir sa petite culotte.
Ma queue est en feu, prête a exploser. J’ai envie de me branler. La prof se lève de sa chaise et fait glisser sa jupe a ses pieds. Je me rends compte que sa culotte est un peu transparente, ce qui me permet de voir se dessiner sa touffe brune abondante:
· Branle﷓toi, petit vicieux, je me caresse pour toi, regarde comme ma chatte est belle, regarde petit salaud!
Elle glisse une main dans sa culotte et commence a se frotter la chatte tout en serrant les cuisses. Ma queue est prête a exploser, je l’astique rageusement. La prof me tourne le dos, penchée en avant, jambes bien écartées, ses doigts fouillent ses chairs intimes. Deux doigts disparaissent dans son vagin. Elle respire très fort, de plus en plus vite:
· Viens, petit salaud, viens me lécher les nichons!
En deux secondes, je suis sur l’estrade. La prof défait son chemisier, dégrafe son soutien﷓gorge. Ses bons gros nichons me sautent aux yeux. Je me retrouve la tête entre ses deux belles poires bien mures. Elle me saisit par les cheveux pour me coller contre elle. Je lui lèche les mamelons comme un fou, je les mordille tout en lui malaxant énergiquement les seins. Elle continue de se masturber. Elle pousse des petite cris et tortille du cul Sa main libre s’empare de ma queue, et c’est parti pour une autre petite branlette!
· Viens me lécher la chatte, petit vicieux! Fais﷓moi jouir avec ta langue, je sais que tu es capable de faire des merveilles avec ta petite langue de puceau!
La prof me dit de m’allonger sur le dos, ce que je fais sans poser de questions. Elle se débarrasse de sa petite culotte toute trempée, puis elle vient se place juste au﷓dessus de ma tête, jambes écartées, et descend lentement. Je vois sa chatte qui s’approche de moi, et je me retrouve avec sa touffe plein la bouche. Je donne de petite coups de langue sur sa fente, ses petites lèvres roses. Sa chaste est trempée, toute chaude. Quel Pied!, Elle fait onduler ses hanches pendant que ma langue fouille son intimité. Elle se penche sur ma queue, remplace sa main par sa bouche. C’est chaud, terriblement bon! Ma première pipe est faite par une vraie femme mure!
Je ne peux pas me retenir longtemps et elle le sait. J’explose pour la troisième fois en poussant un long rare, a moitié étouffé par la chaste béante que je continue a lécher de plus belle. Avec les mains, j’écarte bien ses fesses, pour voir son petit trou mignon que je taquine du bout du doigt. La prof me guide de sa main, me faisant comprendre de lui enfiler mon doigt dans son petit trou charmant. II entre facilement, je le fais aller et venir lentement, puis rapidement. La prof est aux anges et m’encourage:
· Oh! que c’est bon. Oui, ton doigt dans mon petit cul! Oh, continue, ne t’arrête pas, lèche ma chatte aussi! Je viens, j’arrive, petit salaud, oh oui!! Elle est au bord du plaisir. Encore quelques coups de langue, et la voile qui se laisse aller, sa chatte plaquée contre mon visage qu’elle inonde de sa mouille. L’orgasme est violent. Elle crie, gesticule dans tous les sens avant de se laisser aller contre moi, offerte. Le visage en sueur, elle est si belle!
En deux minutes, elle est habillée, superbe, prête a recevoir les élevés de ma classe qui n’arriveront que dans un petit quart d’heure. Nos ébats ont donc cure une petite demi﷓heure. La prof me demande si cela fait longtemps que je me branle dans sa classe, assis a son bureau. Tête baissée, honteux, je lui réponds que ce n’est que la deuxième fois (menteur!).
· Sache que la prochaine fois, tu recevras une fessée dont tu te souviendras longtemps! Ce n’est pas la peine que je te dise que ce qui s’est passe ce matin doit rester entre nous, c’est notre secret! De toutes façons, personne ne te croirait, alors tu as intérêt a garder le silence! Et a partir de maintenant, tu vas marcher droit avec moi!
C’est une phrase qui restera a jamais gravée dans ma mémoire. Ce matin-là, cela avait été si merveilleux, si délirant, si excitant, qu’aujourd’hui, presque dix ans après, j’ai un faible pour les enseignantes (mais les enseignantes bandantes, seulement!). Je dois vous avouer que j’aimerais bien revivre cette expérience. C’est grâce a cette belle prof d’histoire que j’ai pris goût a taquiner une chatte avec ma petite langue pointue et experte. Merci a vous, madame L., si vous lisez cette revue, et que ma lettre est publiée, vous vous reconnaîtrez des les premières lignes.

TU SOUFFRES, JE T’AIME!

par Pamplemousse, 25 ans.

Je reviens de l’hôpital.
Je suis entre sans bruit dans sa chambre après un très discret toc toc sur la porte, car elle aurait pu dormir. Non, elle est réveillée, me reconnaît et pousse un soupir de surprise et de plaisir. Son visage est détendu, et pourtant elle souffre, beaucoup même. Elle souffle car elle vient d’être opérée. C’est une intervention importante qui a dure presque de trois heures. I1 y a moins d’une heure, elle était en salle de réveil. Heureusement tout s’est bien passe! Un goutte a goutte immobilise sa main gauche; un drain pend du cote droit.
Je prends sa main libre, l’enveloppe dans la mienne. Pendant une heure, je la tiens, la presse avec le plus de douceur dont je suis capable, la couvre ainsi que son bras de mille baisers doux, tendres, chauds et aimants. Puis mes lèvres rejoignent les siennes, douces et magnifiquement ourlées, son front, son menton, ses joues, la partie accessible de son cou qu’elle m’offre en tournant lentement la fête. Une multitude de baisers, de frôlements plutôt, accompagnes de mots d’amour a peine audibles auxquels elle répond a voix basse
Je suis le plus léger possible. Je ne suis la que pour assister son réveil, le rendre un peu plus doux, lui dire que je suis avec elle, qu’elle est bien vivante, douloureuse sans doute mais pour un temps seulement. Mes paroles sont paroles de tendresse et d’amour. Elles prolongent mes baisers. Je suis debout, plie en deux au dessus d’elle, mais je ne sens aucune fatigue. Je suis tout a la joie d’être la et de la trouver dans cet état. Ca pourrait être une nuit d’amour, n’était-ce cette douleur permanente qui l’étreint. Elle se laisse faire, faible mais consentante, et son visage rayonne. Je soulève un coin de drap. J’aperçois le sein gauche qui dépasse de la chemise d’hôpital en toile blanche. Pauvre petit sein affaisse, dégonflé; je le dégage, lui dépose un baiser, puis parcours toute l’épaule.
A l’autre maintenant, pour qu’il ne soit pas jaloux! Les pointes s’émeuvent, se redressent. J’aperçois au bas du thorax entoure d’un large pansement, la tache noire de son sexe qu’on a à peine rase. Ses genoux sont relevés, joints, en une position qui doit être un peu moins inconfortable.
Assis a sa droite, je glisse ma main sous les draps non bordes, la pose sur sa cuisse que je caresse doucement, lentement. Mes doigts descendent atteignent sous les fesses les poils très fournis, largement exposes dans cette attitude. En douceur j’investis la fente, du haut en bas, que je trouve toute humide, toute chaude, toute onctueuse. J’atteins le bouton, le prends entre mes doigts, et pendant plusieurs minutes, nous restons ainsi sans bouger dans une communion très douce, déranges finalement par une infirmière qui entre sans frapper et sans bruit... Qu’a﷓t﷓elle vu ou devine?
Apres son départ, ma main se réinstalle, bien plus coquine cette fois, car elle se permet de fouiller, de pénétrer cette onctuosité. Un doigt d’abord, puis deux, puis trots s’enfoncent lentement, délicatement. Son ventre s’émeut, bouge, vient au﷓devant des intrus. Le plaisir monte, se superpose a la douleur et la dépasse un moment. Mais il faut être sage, s’arrêter, surtout ne pas jouir. Ce serait terrible avec cette large coupure fraîchement suturée.
D’ailleurs, je vais devoir partir Ma bouche revient aux jumeaux qu’elle baise, suce, excite ; les tétons se déploient, durcissent, gonflent, bandent; sa main se faufile sous mon pull, vient chercher mes seins et me rend tout le bien que je lui procure. Nos souffles s’unissent et s’accélèrent. Sa main descend, arrive au niveau de mon sexe qu’elle palpe, se saisit des couilles qu’elle pétrit. J’ouvre mon pantalon pour lui faciliter la tache, puis me relève et tends a sa bouche le gland pour qu’elle s’en empare et le baise.
Voilà, c’est assez; un dernier baiser emmêle nos langues dans une communion d’amour. Repose﷓toi mon amour, et guéris vite!

LE MAITRE NAGEUR APPRECIE MES FLOTTEURS A poil dans la piscine.

J'ai l'habitude chaque jeudi soir d'aller faire une petite heure de nage a la piscine de mon quartier. Je m’y rends vers 19 heures après le travail, et il faut préciser qu’il n’y a plus grand monde.
Ce jour-là, j’ai nage comme une reine et une petite demi heure avant la fermeture de la piscine, je me rends dans les douches publiques. Personne! Je saisis l’occasion pour ôter mon maillot. Je m’admire dans la grande glace murale qui me fait face. I1 faut dire que j’ai une jolie chute de reins, une taille fine, des seins fermes et tout ronds (90). Je reconnais que la nature m’a gâtée et j’en profite! Le fait de sentir cette eau bien chaude couler sur ma peau commence a m’exciter J’oublie le lieu dans lequel je me trouve et je commence a pétrir mes seins. Je titille les bouts un a un, de façon a ce qu’ils s’électrisent Je sens que ma minette commence a apprécier. Je ferme les yeux et laisse glisser une main sur mon bas﷓ventre. J’effleure ma toison touffue et bien brune pour sentir mon petit clito qui se redresse aussi sec. Je le pièce légèrement pour ensuite pénétrer juste a l’entrée de ma mouillette. C’est tout chaud et tout humide là-dedans! Comme je me regarde faire, je suis de plus en plus excitée. Je fléchis légèrement les jambes pour que mes doigts pénètrent le plus loin possible. Je me passe la langue sur les lèvres et là le maître nageur arrive. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il se faufile derrière moi. II fait tomber son maillot et frotte son sexe sur mes fesses en marquant un temps d’arrêt dans la raie de mes fesses, puis il me dit:
· Tiens, tiens, tout a l’heure j’admirais tes beaux flotteurs mais je ne pensais pas que j’allais y goûter En plus, t’as l’air d’avoir le feu au cul, petite cochonne!
I1 me tourne face a lui et m’embrasse a pleine bouche. II me pétrit les nichons a pleines mains. Je sens que sa queue grossit encore. Elle appuie sur mon bas-ventre et elle est toute chaude et palpitante. J’ai la chatte en eau et je n’en peux plus. Je nous regarde dans la glace et le spectacle est très érotique. II me prend dans ses bras et m’entraîne un peu plus loin sur un banc a cote. I1 me positionne en levrette et flanque sans délicatesse son braquemard bien dur dans ma moule en feu. I1 fait des va﷓et﷓vient rapides et je vois dans la glace son petit cul tout rond et bien muscle qui s’agite. Puis il se met a m’empoigner les fesses et a me les pétrir comme de la pâte a pain:
· Ouais! T’es bonne, petite salope, et j’ai bien envie de te farcir le fion!
· Oh oui, plonge ton dard dans mes boyaux! J’ai envie de sentir ma rondelle qui s’élargit sous tes assauts! Encore!
Ne se faisant pas prier, il sort sa tige encore toute raide de ma fente, y met une main pour étaler nos jus sur ma pastille. J’ai l’anus qui frétille de plaisir. Puis il pointe son gland a l’entrée de mon étau. Tout doucement il pénètre mes intestins. Je sens sa belle queue m’envahir. J’ai l’impression que mon cul va exploser tellement il me remplit bien. Ca y est. il est complètement rentre et il commence a agiter son petit cul avec des va﷓et﷓vient assez lents mais très profonds. Jamais j’ai été aussi bien enculée! Aucune douleur, que des suées de plaisir! Puis il saisit mes fesses et me plaque brutalement contre lui. J’ai sa trique qui est plantée loin dans mon cul et je sens délicieusement bien les giclées de foutre qui m’offre copieusement. Nous jouissons et nous restons plantes un moment l’un dans l’autre. Pendant ce temps il continue a caresser mes rondeurs, ou plutôt mes “flotteurs” comme il dit. Puis éclair de lucidité:
· Dis donc, petite salope, la piscine va fermer! Allez, vite, rhabillons﷓nous!
Avant de sortir des douches, il me roule un patin qui a le don de raviver ma moule en folie. Je ne vous dis pas la fête que je lui ai faite en rentrant chez moi!

TATA M'A FAIT RELUIRE

par Claude, 31 ans


J’ai la trentaine mais l’histoire que je vais vous décrire date de mes seize ans. Je passais a l’époque vacances chez ma tante, la sœur de papa. Elle avait la quarantaine, c’était une femme très jolie, assez forte sans être grosse. Sans m’en rendre compte, progressivement, je devenais plus câlin avec elle. En chahutant serre contre elle, j’avais pu apprécier le volume et la fermeté de ses seins. A cet âge là, je n’avais pas encore eu de femmes. Seules des revues m’avaient donne un aperçu des formes féminines, et au fur et a mesure que le temps passait, une envie de plus en plus grande me poussait a me masturber en pensant a elle.
Un matin, elle me découvre entièrement nu, allonge sur le lit, machinant ma grosse verge. Mais au lieu de me disputer, elle me dit tranquillement:
· Ce n’est pas bien ce que tu fais la! Heureusement que tes cousins ne te ressemblent pas!
Je cherche a m’excuser, mais ma main continue malgré moi : excite comme je suis, je ne peux pas me retenir. Alors elle s’approche et d’un ton maternel me dit:
· Laisse﷓moi faire, je vais te soulager.
Elle me prend dans sa main et commence a me branler jusqu’à éjaculation. C’est la première fois qu’une main de femme me touche le sexe! Me sentant près a juter elle sort son mouchoir pour récupérer ma semence sans salir les draps. Pendant ce temps là, mes mains s’attardent sur ses gros seine, sur ses fesses, ses cuisses, mais sans oser pénétrer dans le slip qui commence a être humide.
Elle se ressaisit et dit:
· Nous ne sommes pas convenables, laisse﷓moi partir, ce que nous avons fait n’est pas bien! Je compte sur toi pour ne rien dire a personnel
Elle remet de l’ordre dans ses affaires et me quitte. C’est mon plus beau souvenir. Depuis, je pense toujours a elle quand je me branle.

"J’AI ABUSE D’UN VOYAGEUR J’ai réalise mon fantasme."

par Sylvie, 20 ans

Je m’appelle Sylvie, j’ai vingt ans. Je vis avec ma mère et une amie. Nous sommes toutes les trois lesbiennes. Malgré cela, les plaisirs solitaires me sont nécessaires. J’aime les femmes et uniquement les femmes. Pourtant depuis des mois un fantasme particulier s’est ancre en moi. . . avec un homme. Mais pas n’importe quel homme! Un homme dont le corps serait inerte, sauf pour le sexe. De jour en jour j’ai forge ce rêve. Ce fantasme me hantait l’esprit: Pour me libérer, il fallait que je le réalise, sachant qu’après cela, je deviendrais plus équilibrée. Des mois passèrent. Je suis hôtesse dans le transport ferroviaire. Je voyage beaucoup. Un jour, la semaine dernière.... voici le récit de mon aventure qui a failli se terminer tragiquement sur le plan professionnel.
Un matin vers 4h30 pour prendre mon service, j’emprunte un TGV Nice pour Paris. Installée au bar pour y préparer du café, je vois un homme monter; c’est un gars du service. Je l’évite en me cachant. L’éclairage est en veilleuse. Le TGV part. J’entreprends de visiter toutes les voitures en silence. Cet homme est déjà allonge sur la banquette d’un compartiment de première classe. Sa tête repose sur son blouson. Dans la rame, il n’y a que nous deux. Le déclic se déclenche. Je ne vais pas laisser passer pareille aubaine! Je prends deux gobelets de café et je m’installe dans le compartiment, face a lui. Pour tester son sommeil, je dis a haute voix: “Le café est prêt!”. Pas de réponse. Il ronfle légèrement. Je suis partagée par la crainte et une sorte d’impatience, d’autant plus que je vois une grosse bosse a travers sa braguette. I1 bande a cause de la fatigue. n m’apparaît sans défense, j’entreprends une caresse sur son pantalon. I1 ne bouge pas. Je déboutonne sa ceinture, glisse la fermeture Eclair de sa braguette. L’extrémité de son gland passe au﷓dessus de son petit slip sexy. Avec une adresse démoniaque, malgré les vibrations du train qui roule, je glisse son slip, découvrant entièrement son sexe. Quelle surprise! Cet homme poilu a le sexe complètement rase. Les yeux rives dessus, je sens en moi une sorte de honte a découvrir l’intimité de cet homme. Puis dans un sursaut, je panique lorsqu’il se met a bouger nerveusement. Je reste clouée. Non, il ne se réveille pas mais il ronfle un peu plus. Dans son mouvement le pantalon glisse davantage, découvrant ses fesses poilues. Le sexe rase m’attire encore plus avec ses boules lisses!
Quittant mon slip et mon soutien﷓gorge pour avoir l’impression d’être nue, je titille mon clito en feu comme une folle. Mes yeux fixent cette bite. Je voudrais coincer ce sexe entre mes seine, mais a cause de la tablette fixe, je n’y arrive pas. A genoux sur la moquette, ma tête s’approche de ce beau sexe. Il sent bon et est d’une propreté exemplaire! Je l’engloutis d’un coup, sans bouger dans un premier temps, puis petit a petit, je m’adonne a une fellation. Rapidement il jouit par saccades. J’avale son sperme délicieux jusqu’à la dernière goutte. Je crache juste la dernière giclée dans le creux de ma main pour en frotter ma petite chaste en feu. C’est sublime!
Rapidement il débande. De nouveau assise, je bois le café. L’homme dort encore, simplement il a bouge pour se mettre sur le cote. II reste encore plus d’une heure de trajet. De nouveau je palpe très doucement ses testicules, après avoir réchauffé mes mains sur mon corps. J’embrasse son sexe par de petite baisers puis je le remets dans ma bouche. Sa grosse bite est un peu molle, qu’importe! C’est absolument délicieux! De temps en temps, je le suce en espérant encore sa liqueur. De longues et interminables minutes s’écoulent. Je profite au maximum de ce beau jouet en me caressant. Je prends un énorme plaisir a le sucer très lentement Quand tout a coup je sens un liquide dans ma bouche, de toutes petites giclées puis un jet continu. Je ferme les yeux et j’avale tout C’est du pipi. II a urine dans ma bouche. J’ai du déclencher je ne sais quoi en lui. Tant pis, je fais face jusqu’à la derrière goutte. Remise de ces émotions inoubliables, j e remets mon slip et mon soutien﷓gorge. J’attends le moment propice pour remonter son pantalon, mais il commence a se réveiller. Je déguerpis vite fait au bar. II est temps, je le vois dans le couloir. n vient vers le bar, très surpris de me voir. Je lui offre le café II ne dit presque rien, juste quelques mots sur le travail. Donc il ne sait rien.
Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai raconte un peu de mon viol intime sur lui. Alors la, je n’aurais pas du. Pas d’insultes, mais en arrivant a Paris il a été
voir mon service J’ai failli être licenciée, mais grâce a mon jeune âge, tout s’est arrange. Malgré tout, ma tête va mieux. Je suis plus équilibrée après cette aventure, débarrassée de mon fantasme et heureuse de vous écrire. Encore pardon a vous, cher monsieur!

"JE LIGOTE MARINA AVEC BEAUCOUP DE TENDRESSE Notre bondage se passe dans la joie"

par Marc 30 ans

Quand j’ai vu Marina pour la première fois, je ne connaissais d’elle qu’une photo, car elle avait répondu a ma petite annonce et nous avions échange quelques lettres. Sur la photo je la trouvais pas mal, mais j’ai tout de suite été séduit par cette belle blonde aux formes généreuses. Elle portait des chaussures plates et une robe a fleurs qui la faisaient ressembler a une fille de la campagne; elle avait fait exprès de s’habiller comme ça et elle avait raison, elle était craquante!
Nous sommes allés au restaurant pour discuter un peu. Par mon annonce et par mes lettres, Marina savait ce que j’aime: le bondage et la soumission douce. Elle était tentée, mais n’avait jamais eu d’expérience de ce genre. Elle me posa plein de questions. Tout en répondant, je l’imaginais déjà toute ficelée et ça me provoquait des débuts d’érection.
Après nous être mis d’accord sur ce qui
se passerait dans cette première séance, nous sommes allés a l’hôtel ou j’avais réserve une chambre. Marina est passée dans la salle de bains pendant que je préparais les cordes. Elle est revenue, vêtue seulement de son collant. Quelle fille! Des formes pleines, une lourde poitrine, une belle chaste dont j’apercevais la fourrure a travers le collant, des hanches larges, un cul magnifique.
J’ai commence par la caresser. Sa peau était très douce. Puis je lui ai attache les mains dans le dos. Elle se laissait faire docilement. Je lui ai aussi lie les coudes. Ses bras tires en arrière la faisaient se cambrer et faisaient ressortir sa poitrine. Je lui ai mis des cordes a la taille et sur ses seins. En la liant, je la caressais et je l’embrassais. Les yeux fermes, elle gémissait doucement. Quand elle a eu le buste bien ficelé, j’ai glisse la main entre ses cuisses. Son collant était tout moite, signe qu’elle aimait ce que je lui faisais.
Je me sus assis et je l’ai prise sur mes genoux, je lui ai écarte les cuisses pour lui caresser la chatte. Elle s’est mise a haleter, je me suis arrêté. Elle me demanda de continuer. Je l’ai embrassée et encore caressée. Quand j’ai senti qu’elle était prête a jouir, j’arrêtai mes caresses. Je l’ai fait lever pour lui donner quelques claques sur les fesses, je l’ai embrassée, puis j’ai repris les caresses. Très excitée par ces préliminaires, elle gigotait et râlait, alors je l’ai finie. Elle a joui tellement fort qu’elle a laisse échapper un petit jet de pipi.
La séance n’était pas finie: elle avait pris son pied, pas moi. J’ai continue a m’amuser avec elle, lui liant les genoux et la faisant marcher comme ça dans la chambre. Elle avait une amusante démarche de canard. Puis je lui ai lie les chevilles et je lui ai ficelé les jambes, en profitant pour caresser ses petite pieds. Je l’avais allongée sur le lit, je lui ai donne ma queue a téter. Elle s’en sortait bien. J’étais très excite. Quand j’ai senti que ça venait, je suis sorti de sa bouche et j’ai gicle sur son corps ficelé.
Apres cette première jouissance, j’ai fait l’amour a Marina. Je lui avais détache les jambes et retire son collant que je lui avais mis sur la tête. Encore une fois nous avons eu beaucoup de plaisir.
Voilà comment s’est déroulée ma première séance avec Marina, il y a deux ans. Apres, il y en a eu beaucoup d’autres, toujours dans la douceur et la tendresse. C’est un régal de ficeler Marina, de l’immobiliser dans toutes sortes de positions, puis de la caresser et de l’enfiler. Ca marche tellement bien que, l’année dernière, nous nous sommes maries. Actuellement, nous ne faisons plus de bondage car Marina est enceinte. Elle en est a huit mois, avec un beau ventre rond. Elle avait déjà une belle poitrine, et avec la montée du lait ses seins ont encore grossis. Ils ont pris une forme “en obus”, et sont devenus très sensibles, avec du fait qui commence a suinter.
Je n’attache plus Marina, mais souvent elle se repose près de moi, vêtue d’un collant de grossesse, d’une nuisette tendue sur ses rondeurs, et menotté (pieds et mains). Le soir, je la masturbe et comme ca elle dort très bien. Je ne la pénètre plus, elle me suce et je gicle sur son ventre et ses seins gonfles. Apres l’accouchement nous reprendrons nos jeux de bondage. En attendant, la grossesse nous apporte aussi beaucoup de plaisir.

SOIREES LAVEMENT POUR DEUX COUPLES. C'est peut-être vicieux, mais nous aimons ça!

par Sonia, Elise, Bernard et Régis

Nous sommes deux couples qui nous adonnons a des plaisir assez particuliers. Une fois par semaine, nous nous réunissons pour administrer des lavements. Nous avons découvert ces plaisirs suite a ma grossesse, quand une constipation chronique a amené la prescription de lavements. L’infirmière qui me les administrait a vu notre intérêt pour cette pratique et nous a fourni conseils et matériel pour que nous puissions continuer. C’est tout naturellement que j’ai donne des lavements a Régis, et un jour, en discutant avec un couple d’amis, nous avons aborde ce sujet. Nous leur avons fait une démonstration qui les a enthousiasmes, et depuis nous avons pris l’habitude de nous amuser a quatre.
L’administration d’un lavement constitue
un spectacle amusant et excitant. I1 y a tout d’abord la préparation du patient. Quand c’est un
homme, il est complètement nu Nous, les femmes, gardons nos bas qui tiennent tout seuls.
Ensuite vient l’installation du patient ou de la patiente sur une grande feuille de plastique. Chacun adopte la position qui lui convient le mieux, a quatre pattes, a genoux, couche sur le cote. L’un d’entre nous, les mains gantées de latex, procède a la mise en place de la canule, après lubrification et assouplissement de l’anus concerne. Vient le moment le plus excitant, le remplissage. Nous faisons couler l’eau doucement pour assurer un remplissage complet et progressif, et aussi pour faire durer le plaisir.
Les encouragements sont important : pelotage des seins, baisers, caresses pour nous les femmes, masturbation, baisers, fellation pour nos maris. Nous utilisons aussi le martinet, très efficace, et nous obtenons les meilleurs résultats avec un mélange de douceur et de sévérité, baisers et caresses alternant avec les taloches et les cinglades au martinet En ce qui me concerne, je demande souvent a être giflée et insultée pendant qu’on me caresse la minette. J’aime aussi qu’on me tire les cheveux.
Comme nous avons des capacités différentes, nous y allons progressivement, sans jamais forcer. C’est d’ailleurs ce que nous conseillons a tous les amateurs de ce genre de pratique. Les jours ou nous sommes en forme, Elise et moi prenons jusqu’à deux litres. Nos maris Sont plus douillets, un litre seulement, et encore faut﷓il leur faire une fellation et leur donner du martinet pour qu’ils arrivent a ce résultat.
Le remplissage termine, la canule est maintenue en place, ce qui permet de conserver le lavement. Le ventre gonflé comme un ballon, le patient ou la patiente est soumis a différents exercices : marche a quatre pattes, gâterie a prodiguer aux autres, fessées, etc. La encore, l’alternance tendresse/sévérité donne d’excellents résultats et nous apporte beaucoup de plaisir. Nous voir avec des ventres de femme enceinte nous plaît
bien, a moi et a Elise. Nos petite chéris sont toujours un peu humilies de cet état, et nous en profitons pour nous moquer d’eux.
Enfin vient la restitution. Celui ou celle qui se vide est accroupi sur un seau, les autres se relaient pour se faire lécher la minette ou sucer le zizi.
Nous avons toujours des idées pour pimenter les séances. Depuis un moment nous faisons porter a nos hommes des bas qui tiennent tout seul, ils sont très mignons et ils aiment bien les sensations agréables que leur procurent les bas. Nous sommes a quatre dans la même tenue, nudité et bas. Des le début, nos maris nous ont demande, a Elise et moi, de nous tripoter devant eux. Nous le faisons avec plaisir, c’est très agréable. Nous avons du insister pour qu’ils fassent la même chose. Ils se sont décidés et maintenant ils s’embrassent sur la bouche, se masturbent mutuellement ou se font des fellations. Elise et moi aimons bien regarder ça.
La derrière fois, Elise, très en forme, a demande a recevoir le martinet sur son ventre gonfle. Je crois que la semaine prochaine je vais faire pareil. Ce jour﷓là, Régis a été en﷓dessous de tout: il a calé au bout de seulement un demi﷓litre. Nous l’avons coiffe d’un bonnet de femme en plastique, en guise de bonnet d’âne. Il était a genoux et nous avons dansé autour de lui. I1 a eu plusieurs fessées, entrecoupées de masturbations.
Voilà ce que nous faisons a quatre. Vous trouverez peut-être que nous sommes des vicieux, mais nous nous amusons bien a faire tout ça

"UNE BOUTEILLE D'OBAO DANS LE CUL Cinq couples Jouent a touche-pipi. "

Mon mari Christian et moi venons de passer quinze jours a la montagne. Nous étions invites chez des amis qui possèdent un beau chalet. Nous retrouvions là-bas des amis communs, en tout cinq couples autour de la quarantaine, sans les enfants. Des le premier repas, le ton fut donne.
Une de nos amies, Florence, fit une remarque lorsqu’au dessert on amena des fraises au sucre. Elle dit qu’elle les préférait a la crème. Son mari chuchota quelque chose a l’oreille des autres hommes, et il disparut avec l’assiette de fraises de sa femme, suivi de ses compagnons. Une dizaine de minutes plus tard ils réapparurent portent fièrement l’assiette de Florence:
· Le dessert de Madame!
Sur les fraises il y avait un nappage blanchâtre, presque nacre. Aussitôt je sentis ma chatte dégouliner de mouille et une chaleur me monta aux oreilles: ils avaient éjacule tous les cinq sur les fraises de Florence, et celle﷓ci se délectait de ces fraises au foutre. Elle mangeait avec raffinement. Quelques filaments de sperme restaient accroches a ses lèvres et a la cuiller
Décidément, le séjour partait fort! Une partie de la nuit, on entendit l’eau couler dans les cabinets de toilette, preuve que les couples s’étaient déchaînés. Le lendemain matin, les femmes se trouvèrent ensemble et notre hôte vint me voir alors que je faisais ma toilette. Elle me vanta les mérites du bain moussant Obao et m’expliqua tout ce que l’on pouvait tirer de la forme particulière de son flacon. Je vous passe les détails, mais je ressortis de la salle de bains avec un flacon de 250 ml bien enfile dans mon anus. En fait, c’est génial, car suffisamment gros pour bien dilater l’anus, pas trop long pour ne pas
faire mal, et avec sa forme, même vaseline, on ne peut ni le perdre a l’intérieur du rectum, ni l’expulser.
Une demi﷓heure plus tard, aidant notre hôte a préparer le repas, je me rendis compte que nous avions toutes les cinq un flacon dans le cul Nous asseyant a cheval sur une chaise, Annick (notre hôte) nous propose un exercice d’assouplissement anal: en poussant il fallait expulser le flacon puis s’empaler dessus de nouveau.
C’était vraiment bon de sentir cette grosse forme douce me dilater l’anus, puis le sentir se refermer, puis se dilater de nouveau pour revenir a son ouverture de départ. J’étais au bord de l’orgasme et je n’étais pas la seule. Annick nous dit qu’il fallait nous préparer, car ce soir nous allions jouer au jeu des culs. Un peu surprise car c’était la première fois que nous allions partouzer, je demandai de quoi il retournait. A tour de rôle, chaque homme pouvait palper, tâter, lécher, goûter et pénétrer nos culs, et ensuite ils éliraient l’anus le plus agréable de tous.
· Tu comprends pourquoi il faut s’assouplir [’anus!
Le soir a l’apéritif, nous nous déshabillâmes pour le jeu des culs. Les femmes se passaient un tube de gel lubrifiant pour s’en enduire le petit trou et s’installaient a quatre pattes un peu partout. C’était plutôt agréable: chaque homme voyant un derrière libre le massait, le léchait, y plongeait un ou deux doigts, l’explorait de son pénis puis passait a la voisine. Négligeant ce qui se passait dans mon derrière, je demandai a ma voisine ce que gagnait l’heureuse élue:
· Cette bonne blague! Ils vont tous y jouir, dans le cul gagnant, puisque c’est le meilleur!
A ce moment, je sentis une curieuse tiédeur dans mes entrailles et la bite qui déformait mon anus fut prise de saccades. ,Ca y était, quelqu’un venait de jouir au fond de mon anus. L’homme s’excusa et fut remplace par un autre qui, sans douce a cause de mon anus souille du sperme de l’autre, ne put se retenir davantage et y éjacula aussi. Le même scénario se renouvela avec les deux autres et finalement, quand ce fut le tour de mon mari, il n’eut qu’a remuer la bite dans le mélange de foutre qui dégoulinait de mon anus. Comme tous venaient d’éjaculer dans mon petit trou, mon anus fut élu le plus agréable de la soirée.
Tous les jours, on a joue au jeu des culs et, sauf une journée ou ce fut Florence qui fut élue, le même scénario se renouvela: les hommes éjaculaient spontanément dans mon anus. Ai je une propriété remarquable de ce cote﷓la? En tout cas, depuis que je suis rentrée chez nous, je suis une adepte de la bouteille Obao et je ne vais plus en courses qu’avec un flacon vice de 250 ml au fond de 1’anus. Je pense que, si Monsieur Obao lit ma lettre, j’aurai une prime car ses ventes vont monter: toutes les lectrices (et pourquoi pas lecteurs!) vont vouloir se mettre un flacon dans le cul!

J’AI POMPE LES GROSSES COUILLES DU PATRON, Tant pis pour le ménage!

J’ai quarante neuf ans, assez grande et bien garnie des deux côtes, mariée a un représentant de commerce qui me baise plutôt mal et pas souvent. J’ai l’impression d’être son trou a bite ou il se vide quand il en a envie.
Un mardi matin en arrivant, je trouve mon patron en pyjama dans l’appartement. Je suis étonnée qu’il soit la. Il me dit qu’il a pris quelques jours de congé. Je lui sers le petit déjeuner a la salle a manger; c’est bien la première fois que nous sommes ensemble depuis un bon moment. Nous bavardons pendant que je le sers. Au moment ou je me baisse pour prendre les restes du petit déjeuner, il m’entoure les fesses avec son bras en me disant:
· Simone, vous êtes une très belle femme très attirante, j’ai envie de vous.
Ces quelques mots me donnent le vertige et j’ai chaud partout Je lui prends la tête dans mes mains et je la presse contre mon ventre qui palpite. Mon sexe est inondé quand je sens qu’il passe sa main sous ma jupe, remonte le long de mes jambes jusqu’à ma peau nue. Mon sexe a mouille ma culotte sous laquelle il passe les doigts qui arrivent dans ma vulve.
Je me mets a gémir toute tremblante.
· Enlève ta culotte, dit﷓il en me troussant au plus haut, que je te branle a mon aise!
I1 m’enfile deux doigts dans le con tout en me malaxant les fesses de l’autre main. Je râle de plus en plus fort pendant qu’il s’active dans mon vagin. Quand son pouce écrase mon bouton bandé, je jouis en criant. Je lâche une vraie décharge qui lui remplit les doigts et coule sur mes cuisses.
n se relève pour me maintenir dessous. Son pyjama tombe a ses pieds et il plante sa bite raide entre mes cuisses gluantes.
· Allons dans mon lit, je vais te baiser! dit﷓il.
Nous basculons sur le lit défait. Je m’ouvre en grand. Quand il s’allonge sur moi, sa pine dure et longue entre dans mon ventre, au fond de mon con poisseux. n me pilonne a longues poussées. Chaque fois que son gland touche ma matrice, je crie et je me cabre malgré son poids. Je n’arrête pas de dire que c’est bon, que je veux qu’il me pénètre a fond. Quand il se soude a moi, bourrée a bloc, et qu’il grogne en déchargeant dans mon vagin, j’éclate en hurlant a pleine gorge.
Nous reprenons haleine sans qu’il sorte de moi, puis:
· Tourne-toi, Simone, que je te mette en levrette!
Je prends position, les reins creuses, la tête relevée et j’ajoute:
· Encule-moi si tu veux!
J’ai tellement rêvé qu’il m’enculait sur son lit! I1 me répond :
· Oui je vais t’enculer, Simone, mais comme il faut que tu sois bien vidée, je vais te donner un lavement.
On se met complètement a poil avant d’aller dans la salle de bains. Dans le tiroir de la table, il prend la poire a injections, la remplit d’eau:
· Donne ton cul, écarte tes fesses!
Je me baisse, les nichons dans le lavabo, j’ouvre ma raie du cul Je sens la canule entrer dans mon anus et un flot tiède gicle dans mon boyau. Je me soulage sur les WC a cote.
· Encore un coup, dit﷓il en m’enfilant la canule dans le trou
Cette opération m’excite énormément.
Je crois qu’il va me foutre sa bite dans le cul quand je reprends position. Non, il enfonce d’un seul coup la canule et me branle. Je râle et je gémis:
· Tu aimes ,ca, salope, te faire branler par le cul, dis﷓le moi!
Je le lui dis. n me pistonne avec. Je tremble tellement c’est jouissif d’être branlée du cul Je lâche la poire qui tombe sur le carrelage et d’un seul coup, il me défonce la pastille, ses couilles coincées dans ma raie. J’en jouis en miaulant. Tenue par les hanches, je suis pistonnée, ramonée a grands coups de bite durant un bon moment. Quand je sens son foutre bouillant gicler dans mon boyau, je jouis encore, le souffle coupé.
Nous attendons de reprendre nos esprits sans qu’il ne me lâche, car il bande encore dur comme fer Puis il se recule sans déculer, jusqu’à la cloison en me disant:
· A toi maintenant, Simone, branle﷓moi avec ton cul!
Accrochée aux mains a la bordure du lavabo, je vais et viens sur sa bite bien plantée dans mon trou n me traite de salope, de truie en rut, de pute en chaleur:
· Si tu te voyais! Ce que tu peux être cochonne a t’enculer sur ma pine!
J’accélère tant que je peux, ca monte, il va décharger dans mon cul D’un coup de ventre, il me bourre a bloc en giclant Ca me fait encore jouir. n débande tout de même. Quand je me redresse, mon con et mon cul dégorgent tout le foutre qu’il y a déverse. J’en ai plein les cuisses. Je me lave sur le bidet.
Debout dans la cuisine, nous nous remontons en buvant un café. Comme nous sommes toujours nus, il me malaxe les nichons, me tripote la fente. Moi je lui tiens la bite a pleines mains. n rebande ferme et moi j’en veux encore, alors on retourne au lit.
Quand je m’écarte, il me dit:
· Je vais te téter le bouton, salope!
I1 dégage mon clito durci et le lèche un peu avant d’y coller sa bouche pour l’aspirer, le mordiller en me branlant en plus avec ses doigts. Ca me fait orgasmer trop vite. J’aurais voulu que ca ne s’arrête pas. Lui me monte dessus, me relève le buste, calé avec les oreillers contre la tête du lit :
· Ouvre ta bouche, garce, que je te baise pour que tu avales mon foutre!
Je le laisse se branler dans ma bouche jusqu’à ce qu’il décharge, j’avale toutes ses giclées. Nous sommes vides tous les deux Je me rhabille après une toilette. Ce jour-là il me dit que je ferai le ménage une autre fois
Comme mon Jules est assez souvent absent, d’un coup de téléphone a son bureau je le préviens qu’a 18h30 je serai chez lui pour me le faire mettre de partout.

Branle la bite avec l’aide de sa jeune assistante.

par Philippe, 35 ans

J’avais fait du sport une bonne partie du dimanche et en me levant, le lundi, j’ai ressenti une douleur au niveau du pubis, entre la verge et les couilles, sur un cote. Mais il faut bien travailler! Je vais chez un client perdu en Picardie (je suis voyageur de commerce) et j’en profite pour demander s’il y a un bon toubib dans la région. On me dit d’aller voir la mère Durand: une dame d’une cinquantaine d’années, autoritaire et qui a son franc﷓parler.

Me voici donc chez la doctoresse ou je suis reçu par une jeune fille d’une vingtaine d’années, très maigre et qui a l’air timide. Mon tour arrive: je suis le dernier client de la matinée. La toubib est une grosse femme grisonnante pas très propre sur elle. J’explique que j’ai mal au niveau du pubis suite à une journée passée à faire du VTT.
· Oui, je vois ça vous êtes tordu les couilles! Répond elle le plus naturellement du monde. On va voir ça. Allez, déshabillez-vous du bas.
Je m’exécute: me voilà avec tout le matériel a l’air. Elle m’emmène sur la table d’auscultation. Elle commence a me tâter le pubis.
· I1 faut que je vérifie au niveau des couilles, mais contracte comme vous êtes, je ne vais rien sentir, il faudrait qu’elle soient bien pendantes.
Elle quitte la pièce et crie dans le couloir:
· • Isabelle venez vite!
J’entends la jeune fille qui rapplique en trottinant.
· Préparez un bain de siège très très chaud et venez me rejoindre, lui ordonne﷓t﷓elle.
J’attends deux a trois minutes, toujours allonge sur la table. La fille revient avec une espèce de chaise dont l’assise est remplacée par une bassine remplie d’eau fumante.
· Allez, venez vous asseoir là-dessus, m’ordonne la doctoresse.
Je me lève et je me dirige vers cette chaise. Je m’assieds tout doucement car c’est vraiment chaud. La jeune fille étant toujours la, la toubib lui dit:
· Vous allez lui masser les couilles dans l’eau en tirant légèrement dessus. I1 faut qu’elles soient bien pendantes, comme celles de votre frère l’autre jour!
La jeune fille s’exécute sans rien dire. Elle me prend les couilles dans une main et me relève la bite de l’autre. Elle frotte sa main et fait de temps en temps un anneau avec son pouce et l’index, et m’étire les couilles. Ca fait un peu mal, mais ca a l’air efficace. Au bout de trois a quatre minutes, la toubib dit:
· Bon ca devrait aller, je vais tâter moi même. Allez, retournez sur la table!
J’y retourne après avoir été éponge et je sens mes couilles battre entre mes cuisses.
· Isabelle, restez ici, je vais encore avoir besoin de vous! Vous, écartez bien les jambes que je palpe tout ca
Elle me prend les couilles une a une en me tirant la bite dans toutes les directions. Elle me demande ou ça fait mal, je réponds que ça dépend comment elle presse.
· Et quand vous déchargez, est﷓ce que ca va bien?
La, je rougis franchement ainsi que la jeune fille qui est la à cote, et qui regarde tout ça par en﷓dessous en baissant la tête.
· Vous comprenez, ca pourrait être aplati ou tordu dans les tuyauteries!
Cette situation m’excite et je bande un peu. Je lui réponds que je ne sais pas vraiment, car je jouis toujours dans mon épouse.
· Bon, on va voir ca directement, et en même temps je vais vous tâter la prostate!
La, je n’en peux plus et je bande un maximum. Elle demande a la fille d’aller chercher le pot de vaseline dans la pièce d’a côte. Je sais ce qui m’attend. Ce qui me gène, c’est qu’elle va se rendre compte que mon anus est élargi a cause de mes masturbations anales que je pratique en lisant votre revue, le soir quand je suis seul dans ma chambre d’hôtel.
Pendant que la fille est partie, je m’excuse d’être en érection. Elle me répond qu’a son âge et a la campagne, on en voit bien d’autres. Quant a la jeune fille, elle se destine à être infirmière, il faut qu’elle se rende compte de tous les aspects du métier.
Elle trempe son index dans la graisse sans même mettre un doigtier, me dit de lever les jambes en les tenant bien écartées, et hop, elle m’encule de son gros doigt boudine.
· Oh, mais il est apprivoise ce petit trou! Isabelle, regardez ca, ca rentre tout seul! dit﷓elle en riant.
Je suis de plus en plus suffoque et bande a craquer. Elle décide de mettre un deuxième doigt et les tourne dans tous les sens en appuyant sur la prostate, ce qui fait perler ma bite. De l’autre main, elle palpe la base de la queue et tout le tour des couilles.
· Isabelle, branlez﷓le! II faut qu’il décharge.
La fille, sans rien dire, se place en me tournant le dos.
· Mais pas comme ca! On croirait que je ne vous ai rien appris, venez a cote de moi! Ne prenez pas sa queue a pleine main, sinon ca va trop secouer. Branlez le gland seulement, entre le pouce et l’index. Moi je veux sentir les pulsations de la décharge. Dirigez la bite vers le ventre et retroussez sa chemise! Allez, dépêchez-vous!
La jeune fille branle de plus en plus vite, et bien sur je décharge. Ca gicle jusqu’à mon mentor. La jeune fille ralentit, elle est aussi essoufflée que moi, car j’ai toujours deux doigts dans le cul
· Bon, il n’y a rien d’anormal de ce cote. Vous vous êtes sûrement étire un ligament là-dedans. Je vais vous prescrire une pommade. Isabelle, continuez a masser toute la zone jusqu’à ce qu’il débande!
La fille agit, mais je suis si excite que je ne débande pas vise. Elle le dit a sa patronne qui est partie se laver les mains. ﷓ Ah, il ne faut pas rester tendu! Appliquez une serviette trempée dans l’eau froide!
La, effectivement, ca dégonfle vite.
· Pour la pommade, je vous conseille de vous couper les poils. Si vous bandez pendant votre massage, branlez﷓vous rapidement, il vaut mieux décharger rapidement pour ne pas être en tension dans cette région tant que la douleur n’est pas partie. Si vous pouvez, repassez dans quinze jours.
Vous vous doutez que j’ai trouve tous les prétextes pour retournez faire ma visite de contrôle! Ah, des toubibs comme ca, on n’en trouve pas dans nos grandes villes!

Mon mari a trouvé son esclave

par Gilberte, 26 ans, Brest

J’en suis encore à me demander comment avec un mari aimable et prévenant, j’ai pu aller m’enticher d’un autre homme.
Pour être franche, c’est qu’au contraire de mon mari, un gros balourd, mon amant est svelte avec de la prestance, possède une verge grosse et puissante et surtout me comble de cadeau, car a est fortuné. En contre partie il dispose de mon corps mince d bien tourné avec des seins fermes et pointés haut, et de mon joli visage de blonde aux yeux bleus; tout un ensemble qui fait se retourner les mâles sur mon passage.
Mon mari voyageur de commerce étant absent du lundi au vendredi et je pouvais facilement rencontrer Edmond mon amant, ces jours﷓là. Avec les deux j’étais bien servie question charnel; ils me pratiquaient sous toutes les formes.
Je n’avais pas à m’inquiéter pour mes toilettes, l’un et l’autre ayant les mêmes goûts, ils me demandaient de m’habiller très sexy avec bas à jarrets. soutien﷓gorge à fenêtres et slip assorti.
Je ne sais de quelle source il le tenait, mais mon mari certain jour, d’une voix fort décontractée, me fit part qu’il savait que j’avais un amant. Sans me laisser le temps de réagir, il a poursuivi:
· Ma chérie, je ne m’inquiète pas pour notre union et notre amour Cela ne les ébranlera pas. Tu te fais baiser par ce type uniquement pour avoir de l’argent et tu n’est pas la première épouse qui agit comme une putain.
· J’exige dorénavant; à moins que tu ne veuilles divorcer, que tu sois soumise à tous mes fantasmes, en un mot, d’être mon esclave sexuelle. D’accord, mon bel amour ?

Je ne voyais pas de raison de refuser son jeu. Ma position souffrirait d’une séparation ou d’un divorce. J’ai donné mon accord, heureuse de m’en tirer à bon compte. Du moins je le croyais.
Cela se passait un samedi et nous sommes allés au restaurant, vêtue comme mon mari me l’avait demandé: jupe très courte, échancrée sur le devant, bas à mi-cuisses et le pubis dénudé.
Le regard des autres convives s’attardait davantage sous ma jupe et sur mes seins visibles sous un corsage de tulle, que sur leur assiette.
Le soir, mon mari me caressa délicieusement et j’attendais son habituelle possession, lorsque se mettant à genoux prés de mon visage, nous étions allongés sur le lit, il présenta son sexe à mes lèvres et le poussa dans ma bouche. Ce n’était pas la première fois qu’il me faisait faire une fellation, mais ce soir là je compris que rien ne serait plus jamais pareil, rien qu’au regard qu’il posait sur moi.
Avec humilité j’ai donc sucé sa verge. Mais au moment de l’éjaculation, il l’a retenue et m’a faite mettre à quatre pattes pour me pénétrer alternativement le vagin et l’anus sans douceur, mais sans excessive brutalité. C’était agréable malgré ma figure écrasée sur la couverture parce qu’il appuyait fortement ses mains sur mes épaules.
Je levais haut la croupe pour mieux la présenter à l’introduction et mon mari m’abreuva de r6flexions vulgaires, ce qui n’était jamais arrivé:
· Tu vois salope, je te baise comme une bête, même pas comme une pute. J’espère que tu penses à ton amant et bientôt tu penseras à d’autre et à l’argent qui me feront gagner