par Philippe, 35 ans
J’avais fait du sport une bonne partie du dimanche et en me levant, le lundi, j’ai ressenti une douleur au niveau du pubis, entre la verge et les couilles, sur un cote. Mais il faut bien travailler! Je vais chez un client perdu en Picardie (je suis voyageur de commerce) et j’en profite pour demander s’il y a un bon toubib dans la région. On me dit d’aller voir la mère Durand: une dame d’une cinquantaine d’années, autoritaire et qui a son francparler.
Me voici donc chez la doctoresse ou je suis reçu par une jeune fille d’une vingtaine d’années, très maigre et qui a l’air timide. Mon tour arrive: je suis le dernier client de la matinée. La toubib est une grosse femme grisonnante pas très propre sur elle. J’explique que j’ai mal au niveau du pubis suite à une journée passée à faire du VTT.
· Oui, je vois ça vous êtes tordu les couilles! Répond elle le plus naturellement du monde. On va voir ça. Allez, déshabillez-vous du bas.
Je m’exécute: me voilà avec tout le matériel a l’air. Elle m’emmène sur la table d’auscultation. Elle commence a me tâter le pubis.
· I1 faut que je vérifie au niveau des couilles, mais contracte comme vous êtes, je ne vais rien sentir, il faudrait qu’elle soient bien pendantes.
Elle quitte la pièce et crie dans le couloir:
· • Isabelle venez vite!
J’entends la jeune fille qui rapplique en trottinant.
· Préparez un bain de siège très très chaud et venez me rejoindre, lui ordonnetelle.
J’attends deux a trois minutes, toujours allonge sur la table. La fille revient avec une espèce de chaise dont l’assise est remplacée par une bassine remplie d’eau fumante.
· Allez, venez vous asseoir là-dessus, m’ordonne la doctoresse.
Je me lève et je me dirige vers cette chaise. Je m’assieds tout doucement car c’est vraiment chaud. La jeune fille étant toujours la, la toubib lui dit:
· Vous allez lui masser les couilles dans l’eau en tirant légèrement dessus. I1 faut qu’elles soient bien pendantes, comme celles de votre frère l’autre jour!
La jeune fille s’exécute sans rien dire. Elle me prend les couilles dans une main et me relève la bite de l’autre. Elle frotte sa main et fait de temps en temps un anneau avec son pouce et l’index, et m’étire les couilles. Ca fait un peu mal, mais ca a l’air efficace. Au bout de trois a quatre minutes, la toubib dit:
· Bon ca devrait aller, je vais tâter moi même. Allez, retournez sur la table!
J’y retourne après avoir été éponge et je sens mes couilles battre entre mes cuisses.
· Isabelle, restez ici, je vais encore avoir besoin de vous! Vous, écartez bien les jambes que je palpe tout ca
Elle me prend les couilles une a une en me tirant la bite dans toutes les directions. Elle me demande ou ça fait mal, je réponds que ça dépend comment elle presse.
· Et quand vous déchargez, estce que ca va bien?
La, je rougis franchement ainsi que la jeune fille qui est la à cote, et qui regarde tout ça par endessous en baissant la tête.
· Vous comprenez, ca pourrait être aplati ou tordu dans les tuyauteries!
Cette situation m’excite et je bande un peu. Je lui réponds que je ne sais pas vraiment, car je jouis toujours dans mon épouse.
· Bon, on va voir ca directement, et en même temps je vais vous tâter la prostate!
La, je n’en peux plus et je bande un maximum. Elle demande a la fille d’aller chercher le pot de vaseline dans la pièce d’a côte. Je sais ce qui m’attend. Ce qui me gène, c’est qu’elle va se rendre compte que mon anus est élargi a cause de mes masturbations anales que je pratique en lisant votre revue, le soir quand je suis seul dans ma chambre d’hôtel.
Pendant que la fille est partie, je m’excuse d’être en érection. Elle me répond qu’a son âge et a la campagne, on en voit bien d’autres. Quant a la jeune fille, elle se destine à être infirmière, il faut qu’elle se rende compte de tous les aspects du métier.
Elle trempe son index dans la graisse sans même mettre un doigtier, me dit de lever les jambes en les tenant bien écartées, et hop, elle m’encule de son gros doigt boudine.
· Oh, mais il est apprivoise ce petit trou! Isabelle, regardez ca, ca rentre tout seul! ditelle en riant.
Je suis de plus en plus suffoque et bande a craquer. Elle décide de mettre un deuxième doigt et les tourne dans tous les sens en appuyant sur la prostate, ce qui fait perler ma bite. De l’autre main, elle palpe la base de la queue et tout le tour des couilles.
· Isabelle, branlezle! II faut qu’il décharge.
La fille, sans rien dire, se place en me tournant le dos.
· Mais pas comme ca! On croirait que je ne vous ai rien appris, venez a cote de moi! Ne prenez pas sa queue a pleine main, sinon ca va trop secouer. Branlez le gland seulement, entre le pouce et l’index. Moi je veux sentir les pulsations de la décharge. Dirigez la bite vers le ventre et retroussez sa chemise! Allez, dépêchez-vous!
La jeune fille branle de plus en plus vite, et bien sur je décharge. Ca gicle jusqu’à mon mentor. La jeune fille ralentit, elle est aussi essoufflée que moi, car j’ai toujours deux doigts dans le cul
· Bon, il n’y a rien d’anormal de ce cote. Vous vous êtes sûrement étire un ligament là-dedans. Je vais vous prescrire une pommade. Isabelle, continuez a masser toute la zone jusqu’à ce qu’il débande!
La fille agit, mais je suis si excite que je ne débande pas vise. Elle le dit a sa patronne qui est partie se laver les mains. Ah, il ne faut pas rester tendu! Appliquez une serviette trempée dans l’eau froide!
La, effectivement, ca dégonfle vite.
· Pour la pommade, je vous conseille de vous couper les poils. Si vous bandez pendant votre massage, branlezvous rapidement, il vaut mieux décharger rapidement pour ne pas être en tension dans cette région tant que la douleur n’est pas partie. Si vous pouvez, repassez dans quinze jours.
Vous vous doutez que j’ai trouve tous les prétextes pour retournez faire ma visite de contrôle! Ah, des toubibs comme ca, on n’en trouve pas dans nos grandes villes!
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