Sévère Soubrette

Gaëlle, 35 ans, Artiste peintre

Lorsque j’étais gamine, nous avions une bonne I espagnole à la maison. A cette époque, le personnel de maison portait une tenue noire et sévère, à peine agrémentée d’un petit tablier blanc.
Bien qu’irréprochable en apparence, notre bonniche menait une double vie: soumise en public et devant ses patrons, elle se montrait d’une incroyable sévérité en privé, lorsqu’elle s’occupait des enfants. De mes frères et sœur j’étais sa préférée, c’est à dire que c’est moi qu’elle préférait punir. Et cette salope n’y allait pas de main morte. Au bas du dos, je porte encore les stigmates de ses coups de cravache. Elle était vraiment terrible.
Sa torture favorite consistait à m’attacher aux barreaux du lit pour me battre. Mes souffrances la faisait beaucoup rire et elle ne s’arrêtait jamais de frapper avant que je pleure. Ce n’est que lorsque je suppliais qu’on me délivre que les coups cessaient. Après, je devais lécher son entre jambe. Elle s’était rasé le sexe et sa fente coulait comme une fontaine, preuve que ça l’excitait beaucoup de me corriger. Lorsque je lui avais nettoyé la fente, il lui arrivait de me donner son anus à lécher. Ca la mettait dans un de ces état...
Ensuite, après m’avoir fait jurer obéissance, elle me détachait. Je devais alors la pénétrer avec un long godemichet rose qu’elle cachait sous mon lit (c’était pour pouvoir m’accuser si on le trouvait). Je tenais l’engin à deux mains et je l’enfonçais au fond de sa chatte en furie. Au bout d’un moment, lorsqu’elle avait joui plusieurs fois, elle m’ordonnait de me mettre à quatre pattes et m’enfonçait l’autre extrémité dans l’anus. Ainsi nous étions embrochées sur la même tige. Elle m’enculait tout en se pénétrant, son plaisir était immédiat et permanent
Moi je souffrais terriblement et c’est de cette souffrance que, parfois, venait le plaisir. Mais c’était si trouble que je n’oserais pas appeler cela de la jouissance. Ce n’est que plus tard que j’ai recherché de moi﷓même la souffrance. Bien entendu, c’est à cause de ma bonne que je suis devenue comme ça...
Aujourd’hui, j’ai 35 ans, et pour mon service j’ai engagé une bonne espagnole très spéciale. Comme celle qui m’éduquait lorsque j’étais gamine, celle﷓ci est très obéissante... en apparence, car si elle me sert impeccablement lorsque je reçois, elle devient beaucoup plus cruelle dès que la porte d’entrée s’est refermée sur mes invités. Pas plus tard que tout à l’heure, elle m’a obligée à lécher les pointes de ses cuissardes qu’elle avait salies exprès. Nous les avons achetées ensemble dans un sex﷓shop de Pigalle.
Devant le vendeur, ma bonne n’a pas caché que je devrais cirer ses bottes et qu’elle se montrerait très sévère si elles ne brillaient pas assez. Cela a beaucoup amusé le vendeur qui a vite compris la nature de nos relations.
Tant que nous étions dans le sexshop, elle en a profité pour acheter une paire de menottes ainsi qu’une nouvelle badine. Bien entendu, c’est moi qui ai payé. Les bras chargés de paquets, nous sommes retournés à Neuilly.
Ma bonne a voulu que nous prenions le métro et pendant tout le trajet, elle m’a masturbé méchamment, me pinçant les lèvres, me torturant le bouton. Pour arriver à cela, elle m’oblige à ne rien porter sous ma robe et la poche de mon imperméable est percée pour qu’elle puisse y passer ma main. Elle prend visiblement un violent plaisir à cette pratique car elle m’y force de plus en plus souvent.
Une fois à la maison, elle a voulu essayer ses nouveaux jouets, c’est à dire qu’elle m’a fouetté longuement après m’avoir attaché les poignets.
Comme à chaque fois lors de ses séances j’ai énormément souffert. Pourtant, malgré ma douleur je sais que jamais je ne pourrais me passer d’une sévère soubrette qui s’occupe de moi comme le faisait celle de mon enfance