mardi 21 octobre 2008

Mon Maître et ma Maîtresse

par Clara, 20 ans étudiante.

Mes parents et mes amis l'ignorent mais plusieurs fois par semaine, je me rends dans la maison de Michel et Francine pour me faire dresser.
Lorsque je sors avec eux et que je rencontre une connaissance, je dis qu’ils sont mon oncle et ma tante. En fait, ce sont mes amants.
J’ai fait leur connaissance par le plus grand des hasard, dans une grande surface où nous faisions nos courses. Sous un prétexte futile Francine a entamé la conversation. J’étais loin de me douter quelles étaient ses intentions ni jusqu’où me mènerait cette conversation.
Comme je les trouvaient très sympa, j’ai accepté leur invitation à aller boire un verre. Si Michel avait été seul, où Francine, j’aurais peut être été plus méfiante, mais un couple...
Leur maison était splendide, raffinée, meublée avec goût, exactement à leur image. Je me sentais à l’aise en leur compagnie et une étrange chaleur m’envahissait le ventre. Francine m’a offert un verre d’alcool, puis un autre. Elle s’était assise à coté de moi, sur le canapé. Michel était sur le fauteuil, face à nous. J’ai remarqué que Francine se rapprochait de plus en plus. J’ai senti sa longue main aux ongles peints se poser sur ma nuque et me caresser les cheveux. Je n’ai même pas songé à protester: tout cela me semblait tellement naturel. Comme s’il était normal qu’une femme d’une quarantaine d’années caresse une fille qui pourrait être la sienne, le tout sous les yeux de son mari.
Comme cela était prévisible, Francine m’a attirée à elle. Sa bouche s’est collée à la mienne. Ses lèvres étaient recouvertes d’un rouge épais et gras, parfumé. Sa langue s’est nouée à la mienne.
J’étais toute mouillée et j’avais les seins durs à en avoir mal. Michel s’est jeté sur moi. Il m’a giflée avec violence en hurlant:
· Dis donc salope, tu vas me piquer ma femme pour la baiser ? Et tu crois que je vais laisser faire ?.

Il m’a envoyé une autre gifle et je me suis mise à pleurer, trop étonnée pour avoir une autre réaction. Pendant ce temps, Francine m’avait attrapé les cheveux pour les tirer cruellement en arrière. Elle m’a craché au visage puis m’a propulsée en avant entre les jambes de son mari. Celui﷓ci avait sorti son sexe et le tendait avec insistance vers mon visage.
Sans bien savoir ce que je faisais, je me suis mise à sucer. La salive de Francine me coulait le long des ailes du nez. Je pleurais aussi et je bavais sur la queue de Michel. C’était la première fois de ma vie que je suçais un homme. Je devais être plutôt douée car Francine, qui me tordait un bras dans le dos, a dit tout fort: « Mais elle sait y faire la petite salope. Allez avale encore ».
J’ai fait comme elle me disait, heureuse de satisfaire Michel et d’impressionner Francine. Je devais être vraiment bonne car Michel n’a pu retenir sa jouissance. Sa verge s’est cabrée dans ma bouche. Une vraie cascade de foutre en sortit.
J’ouvrais grand la bouche, gourmande du nectar blanc qui m’éclaboussait le visage et me coulait sur la langue. Francine a aussi voulu sa part. Elle m’a fourré sa langue dans la bouche et nous nous sommes roulés une longue pelle.
Ce baiser, loin de l’amadouer, l’a rendue encore plus cruelle. C’est ainsi que je me suis retrouvée attachée, menottes aux poignets, les jambes au grand écart. Francine avait ouvert mon chemisier et me mordait douloureusement les tétons. Placé derrière sa femme, Michel lui enleva sa culotte et lui dit tout en me regardant dans les yeux:
· Je vais t’enculer chérie, pour faire voir à cette petite chienne à quel point tu aimes ça. Après, tu lui graisseras le cul avec ta mouille et ta salive et c’est elle que j’enculerai.

Comme il l’avait dit, Michel a commencé à sodomiser son épouse Francine devait avoir l’habitude car, à part une petite grimace à l’intromission, elle n’a opposé aucune résistance à la bite de son mari. Il l’a limée de plus en plus fort, de plus en plus vite. A quelques centimètres de moi, j’avais le visage de Francine en extase. Je reçue les soupirs de son plaisir entre mes lèvres. Je n’avais plus qu’un désir: me faire enculer à mon tour, prendre une bite au cul pour la première fois de ma vie.

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