mardi 21 octobre 2008

Mon ex-femme est une esclave

Alain, 39 ans, Toulon

Je me suis séparé d’Annick car elle était trop popote.
Elle ne voulait jamais sortir, et question sexe, c’était une vraie planche à pain. Impossible de lui faire prendre des positions érotiques. Aussi ai﷓je été étonné, le mois dernier, quand je l’ai revue à la terrasse d’un café avec un homme assez beau.
Ce qui était renversant, c’est qu’elle avait les cuisses écartées et que le type la caressait, là, au vu et au su de tout le monde.
Je me suis présenté, le type m’a fait asseoir. Il m’a serré la main avec celle qui branlait le con de mon ex-femme. Ca m’a fait tout drôle. Annick avait changé. Elle me souriait d’une drôle de façon et quand elle a dit à Jacques que j’étais son premier mari, celui﷓ci a été très intéressé. Il m’a appris qu’il la dressait « c’est une esclave qui apprend vite, dit﷓il, viens je vais te montrer »
On est descendu dans les toilettes de l’établissement. Dans celles des dames, Annick a dû relever sa jupe. Dessous, elle avait la chatte à l’air, rasée en forme de cœur. Ses poils étaient tout mouillés. Jacques l’a traitée de pute et lui a ordonné de lui sucer la queue, à quatre pattes. Elle a obéi docilement.
Quand j’ai vu ses lèvres charnues entourer le gland de son amant, j’ai bandé. Elle l’a avalé comme une pute. Jacques m’a proposé de l’enculer, là, sur place, mais j avais trop peur qu’on vienne nous déranger. Le type m’a alors proposé de venir avec eux dans leur appartement.
Là il est allé chercher un fouet à brins longs, qu’il a aussitôt utilisé sur mon ex-femme. Celle﷓ci a courbé l’échine en pleurant. J’étais très émoustillé. Les lanières ont rougi la chair d’Annick. Son amant l’a contrainte à se mettre à poil et à se coucher devant nous. Il a continué de la cingler, puis m’a tendu le fouet en me disant que je pouvais user d’Annick comme je voulais.
J’ai proposé qu’elle nous lèche les chaussures. Elle l’a fait, c’était bon de la voir complètement nue, le cul relevé comme je le lui avais demandé. J’avais une trique de tous les diables, je me penchais parfois pour lui flatter le cul. Je lui ai ordonné de se retourner, d’ouvrir les fesses, et quand j’ai vu son œillet bâillant d’impatience, je l’ai insultée. J’ai dit tout ce que j’avais sur le cœur, tout en la frappant juste assez fort pour qu’elle ait mal et qu’elle crie.
La queue à l’air, son mec nous regardait en se branlant. Soudain il a saisi Annick par les cheveux, l’a obligée à avaler son nœud. Cette fois il a été très dur, enfonçant sans précaution sa pine au fond de la gorge de mon ex-femme. J’ai eu pitié d’elle et je lui ai demandé d’arrêter. On a bu un coup, Annick nous servait, les yeux baissés, harnachée dans un body qui la serrait, comprimait ses fesses et ses seins. Elle en avait les larmes aux yeux, parfois Jacques glissait ses doigts entre ses cuisses. Il la traitait alors de salope car elle était bien graissée.
Après un moment, on a eu envie de remettre ça, Jacques m’a dit qu’il me réservait une surprise. Nous sommes allés dans la chambre, le lit était bizarre. Il avait quatre montants avec des cordes, il a ligoté Annick aux quatre coins. Elle était vraiment écartelée. On a passé notre colère et notre envie une nouvelle fois. Jacques m’a tendu une capote en me disant « vas y, enfonce﷓la, elle a le cul très souple maintenant »
J’ai sodomisé mon ex d’un seul coup, elle avait l’air d’aimer ça, cette pute, Jacques n’a pas arrêté de l’injurier et moi, je la limais comme un métronome. Quand j’ai senti que j’allais gicler, j’ai préféré me retirer. L’autre m’a remplacé et il n’a pas eu autant d’égard. Il a griffé tout le corps d’Annick.
Quand il l’a délivrée, elle avait des marques partout. Elle a levé les yeux vers moi. J’ai eu envie de lui fourrer ma queue dans la bouche, de la frapper à coups redoublés tellement elle avait un air pervers. Annick tournait autour de nous en nous suppliant de la toucher, elle s’est caressé les seins, puis s’est masturbée en gémissant.
Ca nous a remis en forme, et cette fois, on l’a enculée et enconnée d’un même élan. Prise en sandwich, les yeux exorbités, le corps tremblant, Annick était loin de la femme que j’avais quittée. Telle qu’elle était devenue, je l’aurais bien reprise avec moi. Nous avons déchargé au même moment, et exaspéré, je me suis rhabillé pour m’en aller.
J’ai jeté un dernier coup d’œil à mon ex﷓femme qui, à genoux devant son maître, lui léchait les couilles. Je suis parti, avec un gros poids sur le cœur...

1 commentaire:

Le Propriétaire de N a dit…

T'as été bien con de ne pas avoir su l'utiliser comme il le faut à l'époque !