par Evelyne, 28 ans
Mon mari prend un violent plaisir à m’humilier. J’avoue y trouver moi aussi une certaine excitation.
Pas sur le moment, non, car lorsque je subis les humiliations qu’il m’inflige, je souffre et j’ai honte.
Mais il vient toujours un moment où ma punition se transforme en récompense, ma souffrance se métamorphose en volupté. C’est incroyable ! Au début je ne voulais pas y croire. Puis un soir, mon dressage a débuté.
C’était à une soirée p}us ou moins mondaine. Un des invités commença à parler des sévices qu’il infligeait à sa femme qu’il appelait sa chienne. Celleci, les yeux baissés, écoutait sans rien dire son maître parler d’elle. Il racontait qu’elle adorait être insultée, souillée, humiliée... « Hein petite pute que c’est vrai ? » ditil en la prenant à témoin. La femme se mit à rougir et opina de la tête.
Choquée par cette scène, je faillis intervenir et prendre la défense de la « jolie chienne ». Surtout que l’homme insistait: «Toutes les femmes sont des putes», affirmaitil. «Pas moi !» lançais-je, impertinente et fière. «Toi comme les autres, petite connasse».
A ce moment j’ai voulu me lever pour gifler l’homme, mais mon mari m’en a empêchée en me tordant cruellement le poignet. Cette douleur provoqua en moi une étonnante volupté, bouleversant mes sens.
C’est de cette minute que date ma plongée dans le masochisme. Car je suis devenue une chienne moi aussi. Petit à petit, mon mari et l’homme de cette soirée m’ont dressée à obéir. Ils m’ont fait souffrir en me torturant, m’ont humiliée en me tramant dans la boue...
L’autre jour, mon mari est allé encore plus loin dans l’ignominie. C’était devant notre immeuble, un clochard faisait la manche, affalé contre le mur. J’ai vu avec surprise mon mari s’approcher de lui. J’ai d’abord pensé qu’il allait lui faire l’aumône, ce qui n’est pourtant pas dans ses habitudes. J’ai été encore plus surprise lorsque le clochard s’est levé pour emboîter le pas à mon mari et rentrer chez nous. Il était sale à vomir, couvert de vermine, la gueule avinée et défoncée par les coups. Une vraie loque. Et je ne vous parle pas de l’odeur qu’il dégageait.
La loque s’est approchée de moi, une étrange lueur dans le regard. « Voilà ton nouvel amant ma chérie, celui que tu mérites Tu vas lui faire l’aumône d’une petite pipe » a lancé mon mari. J’en eu le souffle coupé. Une énorme envie de pleurer me vint aux yeux. J’allais h laisser éclater lorsque mon mari me jeta entre les bras de l’affreux bonhomme. Cette fois mon mari allait vraiment trop loin. Je ne voulais pas me livrer à ce jeu ignoble, même pour une fellation.
Lorsque j’ai tenté de repousser l’homme, il m’a attrapé par les poignets pour me jeter à ses pieds. De mon mari, j’ai reçu une paire de gifles qui a failli me faire perdre connaissance. A ce moment là j’ai su que je ne couperais pas à ma terrible punition de chienne. J’avais envie de vomir, je trouvais ignoble et répugnant de sucer la verge puante de ce clochard. Cette ordure l’avait sortie de la loque tâchée qui lui servait de pantalon. Elle était violacée, puante et couverte de croûtes répugnantes. J’ai éclaté en sanglots, prise d’une violente nausée.
Mais mon mari n’a eu aucune pitié.
Il m’a écarté les lèvres de ses doigts puis poussé la tête en avant en me tirant par les cheveux. L’ignoble queue bandée s’est posée sur mon visage avant de s’engouffrer entre mes lèvres crispées. J’aurais pu mordre, je ne l’ai pas fait. Je suis une ignoble chienne qui prend son plaisir dans l’humiliation et la souffrance. La preuve ? Une immonde chaleur me montait du basventre et coulait de ma chatte: j’étais excitée par la pipe dégueulasse que je tirais à ce clochard. Je le pompais avec amour car j’aime sucer les hommes. Je n’avais qu’une envie: qu’il éjacule et me remplisse la bouche de son foutre pour que je puisse le boire et m’en régaler.
Et je n’ai pas tardée à recevoir la récompense de ma terrible punition.
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