Clara 24 ans, Amsterdam
Mon mari je l’adore, il le sait, et il en profite au point de me prostituer sans qu’il me vienne à l’esprit de protester, ne serait-ce que pour la forme.
Je l’ai connu à Paris où il était venu achever ses études de sociologue, et quand il est reparti dans son pays, je l’ai suivi.
Cela dure depuis quatre ans, c’est à dire depuis que nous vivons ensemble, car il y a seulement trois mois qu’il m’a épousée pour le meilleur et pour le pire.
Le meilleur, je le vis dans ses bras quand il me fait l’amour avec une passion délirante et une brutalité qui comble parfaitement mes fantasmes de fille soumise, qui a toujours rêvé d’être violentée.
Le pire, je ne l’avais pas connu jusqu’à tout récemment, mais cette fois j’ai donne, du moins c’est ce que l’on dit toujours en sachant très bien que l’on donnera encore si on nous le demande gentiment. Le gentiment se traduisant dans ma situation par une bonne dérouillée si je fais mine de refuser.
Mais je ne refuse jamais rien, ce qui ne m’empêche pas de récolter à l’occasion, depuis quelques semaines, une trempe sévère pour le moindre prétexte, par exemple lorsque je lui taille une plume et qu’il estime que je ne mets pas assez de cœur à l’ouvrage, ou bien lorsqu’il me défonce les reins, sans vaseline comme l’on dit, et que j’ai le toupet de solliciter un peu de ménagement pour ma rondelle traumatisée.
Le plus drôle, c’est que je me suis mise à aimer ça et que je m’arrange à m’attirer les foudres de mon seigneur et maître.
Cela a commencé début mai de cette année. Mon homme est rentré du bureau tout frétillant, le regard brillant, une bosse annonciatrice d’une partie de jambes en l’air déformant sa braguette. Annonciatrice d’une partie de baise, mais aussi de ma mise à la disposition d’un client pour le weekend suivant, car c’est toujours de cette manière que cela se passe.
Chaque fois qu’il a trouvé preneur pour mes miches, ça l’excite à un point que sitôt qu’il me rejoint il me saute dessus et en avant la musique, je passe au trapèze dans les minutes qui suivent. Et dieu merci, il trouve souvent preneur le coquin... Pensez donc, une petite française, ça n’a pas de prix, même en Hollande.
Mais ce soir là, il paraissait Plus égrillard, plus excité qu’à l’accoutumée j’en ai déduit que le client du weekend devait être un plein aux as et que mon mari avait dû empocher un chèque particulièrement important.
· Clara, c’est terrible, demain on participe à une vente aux enchères; tiremoi une pipe pendant que je t’explique; je m’agenouille et je m’exécute vous serez une dizaine de gonzesses à être mises en vente. Mais je t’avertis, c’est plus un marché aux esclaves qu’une vente de putes.
· Ca veut dire quoi ?
· Suce, je t’explique. Un marché aux esclaves, ça veut dire que le mec ou les mecs qui vont t acheter pourront disposer de toi à leur gré. Pendant trois jours tu ne t’appartiendras plus, et sauf te faire la peau, ils auront tous les droits sur toi.
Cette fois, quitte à désobliger mon homme, j ai interrompu ma fellation.
· Non mais !... ça va pas ? Faire la pute si cela t’amuse, je veux bien, mais je ne suis pas maso, et me livrer comme esclave pieds et mains liés, je ne suis pas partante. Trouve une autre conne pour ça, mais ne compte pas sur moi.
Seigneur ! qu’estce que j’ai pris... 11 a débouclé sa ceinture et ça a été ma fête durant une éternité. Le cuir sifflait et cinglait mes fesses, mon ventre et même ma poitrine. Je criais, je Pleurais j’implorais, mais la machine infernale était lancée et tant que je n’ai pas crié: « d’accord, j’accepte » mon mari a continué à me flageller.
Dès que j’ai eu donne mon accord, il a jeté sa ceinture, m’a saisie par les cheveux pour me redresser et s’est de nouveau enfoncé entre mes lèvres.
Cette nuit là il s’est déchaîné; même au début de notre liaison je ne l’avals pas connu aussi passionné, si bien que le matin lorsqu’il a fallu se lever et me préparer pour me conduire au marche, je n’étais pas fraîche. J’avais de larges cernes sous les yeux, je dormais encore debout et comme on dit, « je marchais au radar ».
Nous étions douze nanas à être mises aux enchères. Toutes autant que nous étions n’avions jamais connu le fouet, ni le moindre sévices. Ma première expérience datait de la veille et les autres n’étaient pas plus dressées que moi. Trois parmi nous, emmenées là par leurs parents, étaient même encore vierges et elles ignoraient tout du sort qui leur était réservé. Nous avons eu vite fait de les mettre au parfum et les pauvres chéries se sont mises à hurler de terreur.
Mais elles pouvaient toujours brailler, ce n’est pas ça qui changerait quoi que ce soit à leur destinée. Pour les faire se calmer, une femme vêtue de cuir noir est entrée dans la pièce et c’est à grands coups de chat à neuf queues qu’elle leur a donné un aperçu de leur proche avenir. C’était dément, horrible mais de voir ces trois gourdes se faire fouetter, cela m’a fait de l’effet et je me suis mise à mouiller comme une salope.
Nous avons été conduite sur une sorte d’immense ring sur les pourtours duquel on nous a demandé de nous asseoir en tailleur, nues bien entendu, et d’attendre que l’on nous appelle.
La première à être mise aux enchères a été une des pucelles. Elle pleurait, se débattait, mais son père l’a faite taire en lui administrant deux gifles puis la tenant par un bras, il a détaillé sa fille au public, comme un maquignon détaille une belle génisse à un éventuel acheteur. Il précisait ses mensurations, l’étroitesse du bassin le galbe des cuisses, la finesse dé la taille et la sensibilité de la peau qu’un moindre attouchement marquait pour de longues heures. I1 montrait d’ailleurs les traces laissés par le chat à neuf queues de notre geôlière. Mais il insistait surtout sur la virginité tant vaginale que rectale de sa fille. Puis il a énoncé la mise à prix. Une véritable fortune. Des mains se sont levées dans l’assistance et Gladys puisque tel était son nom, a été enlevée pour une somme effarante.
Son acquéreur l’a saisie par les cheveux et l’a traînée dehors tandis que la pauvre esclave hurlait proche de la crise de nerfs.
Ses deux sœurs ont suivi, pucelles également, mais un peu moins belles, elles ont quand même été adjugées pour de belles sommes. Elles aussi ont hurlé et pleuré, mais personne, même pas leur mère, n’a paru s’en soucier.
Je l’ai appris depuis, ces trois là étaient vendues à vie et elles étaient destinées, paraîtil, à un harem du MoyenOrient.
Mon tour est arrivé en huitième position. J’ai été louée pour une gentille somme qui représentait une année de salaire de mon mari qui gagne bien sa vie, je vous l’assure. Ma nationalité d’origine a à elle seule était pour beaucoup dans la montée des prix, et c’est d’ailleurs là dessus que mon mari mettait le plus d’accent tandis qu’il me présentait au public. Mon acquéreur représentait trois couples qui voulaient s’amuser un peu durant le weekend avec des femmes brunes, mariée, vendues par leur mari. Une autre, une nommée Lisa, italienne d’origine et comme moi mariée et offerte par son mari m’a suivie chez les mêmes acheteurs et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvées, deux latines à la merci de six sadiques nordiques.
Ce sont les femmes qui ont été les plus cruelles. Elles se sont surtout déchaînées lorsqu’après nous avoir baisées et enculées, les hommes leur ont jeté à la figure que les brunes, au moins, avaient le con et le cul serrés et qu’elles, grosses blondasses, étaient larges et peu musclées des orifices.
Pour être notre fête, ça l’a été. D’abord au martinet, ce qui m’a d’ailleurs fait jouir bien que je souffre, puis à la cravache, là j’ai moins apprécié, puis enfin, au piment qu’une de ces salopes nous a injecté dans le vagin. Cette fois j’ai cru mourir de douleur et Lisa, elle est tombée en syncope durant plus d’une heure.
I1 a du reste fallu l’intervention d’un médecin pour la ramenée sur terre, mais comme le toubib était aussi sadique que nos tortionnaires, au lieu de les engueuler, il s’est joint à eux pour le reste du weekend.
Trois jours de tortures, l’enfer ! J’ai souffert comme je ne pensais pas que l’on puisse souffrir; mais paradoxalement, alors que Lisa hurlait et versait toutes les larmes de son corps, moi je me surprenais à vibrer sous le martinet d’abord, puis vers la fin, sous le fouet.
Quand mon mari m’a récupérée le lundi matin, je n’étais qu’une loque, ma chair était zébrée de partout mon corps n’était plus qu’une plaie, et je suis restée au lit, soignée, baisée et enculée, devant mon mari, par le médecin sadique, jusqu’au jeudi.
Depuis, je suis maso; depuis, je fais tout pour vexer mon mari afin qu’il se saisisse du fouet qu’il a acheté spécialement pour me dresser. Et Il n’est pas rare que certains matins il parte au bureau après m’avoir passé un collier autour du cou relié a un anneau au mur par une longue laisse.
Très bientôt je dois être remise aux enchères, mais là un anneau d’or ornera ma chatte et deux autres traverseront mes bouts de seins. Enfin, mais je n’ose y croire, on doit me marquer au fer rouge aux initiales de mon seigneur et maître. Cela fera de moi l’esclave que je rêve de devenir.
Je suis certaine qu’une autre Clara, celle d’Aureilhan, m’envie. Si elle veut m’écrire, je lui répondrai
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