par Damien, 41 ans, commercial
Depuis quelques jours, Sabine, mon épouse, rentre de plus en plus éprouvée de ses après-midi adultères.
Je sais qu’elle me trompe: ce n’est pas la première fois.
Comme bien des bourgeoises qui s’ennuient, ma femme prend régulièrement des amants pour tromper son oisiveté. Comme j’ai moimême une maîtresse, je ferme les yeux sur ses écarts de conduite. Cela m’arrange.
Au début donc, j’ai fait mine de ne pas m’apercevoir de ses yeux cernés, de son maquillage défait. Je pensais qu’elle avait rencontré un amant particulièrement viril, un vrai mâle. Lorsqu’elle rentrait, Sabine se précipitait dans la salle de bain. Elle y restait une heure au moins.
Intrigue, je l’ai observée un peu plus. J’avais remarqué les traces rouges qu’elle portait aux poignets et aux chevilles. En lui faisant l’amour, j’avais aussi note que son sexe et son anus étaient douloureux. Les larges marques qui lui barraient la peau, montraient bien qu’on lui avait torturé les seins, les fesses et le bas du dos. Alors pour en savoir plus je l’ai interrogée. Sabine a baissé les yeux, le visage rouge de honte. Je connais le caractère faible de mon épouse. Je l’ai bousculée un peu pour qu’elle me crache la vérité. Elle s’est mise à pleurer et m’a fait la confession suivante:
· Ho mon chéri, si tu savais ce qui m’arrive. Je suis perdue. J’ai rencontré un homme, terrible, terrible. Chaque fois que je le rencontre il me torture horriblement. I1 me fait de plus en plus mal.
Abasourdi par cette nouvelle que j’avais pourtant pressentie, j’ai insisté auprès de Sabine pour qu’elle me raconte en détails les punitions et humiliations que cet homme lui faisait subir. Elle me raconta alors qu’elle était régulièrement attachée et fouettée par cet homme ou par ses amis.
I1 l’installait sur une chaise spécialement destinée à cet effet. Ligotée par des cordes et des chaînes Sabine ne pouvait alors plus se défendre et devait tout subir, même les plus immondes traitements. Le plus souvent, on la fouettait jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse puis on lui infligeait un lavement très profond pour la ranimer. Ensuite, toutes les personnes présentes violentaient son anus propre et bien écarté. Après avoir violé et battu ma femme, on la détachait pour lui bander les yeux. Sous les plaisanteries obscènes de ses maîtres et maîtresses, on l’amenait dehors, en général sur un chantier, pour la prostituer avec des étrangers. Là, les yeux toujours bandés, les cuisses bien ouvertes, elle devait subir les assauts de dizaines d’hommes qui avaient payé quelques francs pour la baiser. En général, le chef de chantier refusait de baiser dans le même trou que ces hommes et c’est dans l’anus ou dans la bouche de ma femme qu’il envoyait son foutre. Après, souillée humiliée et pervertie, Sabine était jetée dans la rue, près d’une station de métro et elle devait se débrouiller pour rentrer seule.
A aucun moment durant sa confession Sabine n’éprouva du remords pour sa conduite. D’ailleurs cela s’était produit à plusieurs reprises, c est donc qu’elle v était retournée d’elle même. À la fin, elle a même fini par m’avouer:
· Le pire c’est que je ne peux pas m’en passer. J’aime ça tu comprends ? J’aime souffrir. J’aime être torturée. Je suis une chienne » hurlaitelle, au bord de l’hystérie.
Durant sa confession mon sexe s’était mis à durcir. Je bandais à la pensée de ce type qui torturait ma femme qui avait fait d’elle une esclave. Alors j’ai tordu les poignets de Sabine pour la jeter à terre. Je l’ai giflée pour qu’elle comprenne bien que je suis son maître. A moi aussi elle allait obéir !
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