mardi 21 octobre 2008

Blouse blanche et cuir noir

Sandrine, 23 ans, infirmière

Amanda est médecin dans l’hôpital où je travaille comme infirmière.
Le matin, lorsqu’elle arrive, elle est presque toujours vêtue de cuir, le plus souvent noir, rouge parfois. Une fois, je l’ai vue porter des cuissardes. Pour ses consultations, elle enfile une blouse blanche sous laquelle elle ne porte pas grand chose. Ainsi elle se donne l’air d’un médecin et non plus d’une pute. Encore que son maquillage, rouge et sanguin, donne à son beau visage une inquiétante cruauté qui trahit son sadisme.
Fascinée par Amanda, j’ai réussi à me faire muter dans son service. J’étais bien décidée à devenir sa maîtresse dévouée et obéissante.
Amanda, qui sait reconnaître les chiennes, a vite remarqué l’intérêt que je lui portais. Elle me donnait des ordres assez durement, cherchant à m’humilier devant mes collègues. C’était une première épreuve, une sorte de test. J’ai dû le passer avec brio car un soir, elle m’a dit de l’attendre après le service. Je suis allée au vestiaire, ôter ma blouse et je l’ai attendue plus d’une heure. Finalement Amanda est venue me rejoindre.
Elle aussi avait quitté sa blouse et portait sa tenue de cuir, celle qui lui va si bien. Nous nous sommes retrouvées au parking souterrain, dans sa voiture. A l’intérieur, Amanda à porté une main à ma poitrine, dans la fente de mon chemisier. « Tu as de beaux seins » m’a﷓t﷓elle complimentée avant de se mettre à serrer de plus en plus fort. Moi qui suis très sensible de la poitrine, je n’ai pas pu me retenir de gémir, puis de pleurer. Elle accentua encore la pression, serrant surtout la pointe entre ses ongles effilés. C’était intolérable.
J’ai protesté, je me suis débattue. Amanda m’a giflée à toute volée puis elle a démarré sur les chapeaux de roue. Hors d’elle même, elle a grogné entre ses dents serrées: « Sale petite conne, on va aller chez moi et je t’attacherai. Comme ,ca tu ne pourras pas m’échapper ». A ce moment j’avoue que j’ai eu la tentation de fuir. Mais Amanda ne m’en a pas laissé loisir. Une fois chez elle, elle m’a jetée par terre avant de me bourrer de coups de bottes car elle était toujours aussi furieuse. Elle m’a ensuite tordu les bras dans le dos et m’a menotté les poignets.
Cette fois, j’étais coincée. J’ai dû subir alors la plus terrible correction de ma vie, la plus humiliante épreuve, mais aussi... la plus jouissive. Car Amanda est vraiment une maîtresse sans pitié. Après les coups de bottes, c’est avec une cravache qu’elle m’a corrigée. Lorsque je tournais vers elle mon visage noyé de larmes pour la supplier d’arrêter, elle me crachait dessus et m’enfonçait son talon pointu entre les lèvres pour que je le lèche.
Très vite, à travers mes vêtements déchirés, apparurent des zébrures sanglantes, sur mes fesses et sur mes seins. Lorsqu’elle a vu que je ne pourrais en supporter plus, Amanda, le médecin sadique, s’est arrêtée de frapper. Mon supplice ne prenait pas fin pour autant. A la place de la cravache, ma maîtresse a pris un gros gode en métal argenté. Elle l’a mis entre mes seins et le contact du métal froid m’a tiré un frisson. J’ai dû le caresser entre mes globes torturés qu’Amanda serrait à deux mains. Lorsqu’il a été suffisamment chaud, elle s’est branlée un instant avec, se l’enfonçant bien à fond dans la chatte. Puis j’ai dû le sucer pour le nettoyer. Après elle m’a giflée violemment, comme ça, sans raison, et elle m’a remise à quatre pattes. Cette fois, c’est mes fesses qui s’intéressaient. Elle a enfoncé le gode, avec toute la méchanceté dont elle est capable.
Elle m’a enculée sans douceur, agitant à deux mains la tige dans mon cul, l’enfonçant plus loin qu’aucun homme ne l’a jamais fait en moi. Mais j’avais épuisé ma capacité à souffrir. J’étais dans cet état de béatitude totale qu’apporte la douleur dépassée. J’ai ressentis une volupté immense avec cette sodomie sadique. Elle s’en est aperçue et y est allée encore plus fort. Après, je ne sais plus très bien ce qui est arrivé.
Lorsque j’ai retrouvé mes esprits, Amanda me soignait très tendrement, comme elle sait le faire avec ses malades. Elle a appelé un taxi qui m’a ramenée chez moi. Le lendemain, à l’hôpital, Amanda a fait celle qui ne me connaissait pas, reprenant son rôle de docteur. Cela à duré quelques jours, le temps que je cicatrise. Enfin, le soir où j’ai été à nouveau disponible, Amanda m’a donné rendez﷓vous chez elle.

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