mardi 21 octobre 2008

Version maître

Ferdinand, 42 ans

Si je devais tout vous raconter, je mobiliserais tout un numéro de votre revue. Je vais donc résumer.
Il y a quelques mois, j’ai acheté un commerce dans une petite ville de province. Je vis maritalement, une vie normale et sexuellement heureuse. J’ai une maîtresse beaucoup plus jeune que moi qui s’accroche et que je n’ai pas envie de lâcher, elle est géniale au pieu. D’autre part, je suis un incorrigible charmeur et je ne peux m empêcher de séduire.
J’avais vaguement remarqué cette femme, très élégante, pas une merveille, mais pas mal pour ces 30 ans. Elle s’attardait dans le magasin, régulièrement. Après quatre mois de ce manège, il arriva que nous nous retrouvions seuls dans la boutique. je lui proposai au cours de notre conversation, d’aller dans la réserve. je l’ai rejointe, prise dans mes bras et embrassée.
Elle s’est complètement liquéfiée, tremblant de partout. elle me confia qu’elle était mariée mais que son mari ne l’avait pas touchée depuis un an. Elle me dit être tombée amoureuse de moi dès le premier jour. Je me rendis compte sur le champ que je venais de faire une connerie, que j’aurais du mal à m’en débarrasser
Je décidai immédiatement d’être odieux pour ne pas me fourrer dans une histoire compliquée. Loin d’être dégoûtée par mon attitude, c’est l’inverse qui se produisit.
Je le lui fis au chantage: si elle voulait continuer, elle devait être mon esclave, prête a tous mes caprices; supplices, fouet, pinces, suspension, violences etc. Je lui ai interdit le port du slip. Je lui ai ordonné lorsqu’elle vient au magasin d’aller dans la réserve se mettre en position pour m’offrir son sexe.
Mais cette chienne prétend éprouver le besoin de m’embrasser avant. Je la retourne brutalement, relève sa jupe sur ses reins et la force à se courber, buste sur mon bureau, j’ouvre un tiroir, lui demande de mettre un pied dedans, afin de pouvoir la fouiller à ma guise, la lécher, mais ceci après l’avoir bien fessée.
Je lui interdis de se plaindre, sous peine de la mettre dehors. je la masturbe, la pénètre de mes doigts, elle mouille en glapissant. Je baisse alors mon pantalon et la bourre comme une chienne, c’est ce qui lui plaît le plus, se prendre pour une chienne.
Si je suis interrompu par un client, je me rajuste je vais le servir mais elle doit rester offerte sans bouger Elle doit porter des boucles d’oreilles aux tétons et je lui interdis de venir lorsqu’elle est en période menstruel le. Elle repart après m’avoir sucé et avalé.
Je dispose d’une chambre au dessus du magasin que j’ai transformée en chambre de torture et dans laquelle je reçois aussi ma jeune maîtresse. Je la suspends à une poutre de bois, bras et jambes en croix, je lui bande les yeux. Elle me supplie de l’épargner, mais jure qu’elle m’appartient.
Je la pistonne. Je la fouette et elle doit compter les coups, mais je prétends qu’elle ne sait pas compter alors j’en rajoute sur son sexe ouvert et sur ses seins torturés par des centaines d’épingles.
Je l’empale ensuite sur un manchon de bois, la laissant des heures dans cette position, corps arqué hérissé d’épingles. Elle implore ma pitié
Elle me dit qu’elle n’en peut plus, puis je la prends pantelante jusqu’à l’éjaculation. Elle est toute mouillée, gluante, mon sperme s’écoule de son sexe jusqu’à terre, alors je la somme de partir.
Impossible de m’en débarrasser, un vrai pot de colle !

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