par Marie, 23 ans Musicienne
J’ai reçu une éducation religieuse très sévère et très stricte qui m’a appris que l’amour est une chose sale et dégradante. C’est bien possible... mais cela ne m’a jamais dégoûté de le faire.
Et si aujourd’hui je suis si totalement obsédée par le sexe, si j’aime autant être humiliée par mes partenaires, c’est certainement à cause de cette éducation.
En effet, dès mon adolescence, j’ai eu des fantasmes de punition. Lorsque je me masturbais dans mon lit d’internat, j’imaginais que la sœur supérieure me flagellait en m’insultant de manière très obscène. Elle me traitait de «sale putain» et de « petite chienne en rut », mots que je ne comprenais pas vraiment mais que je trouvais excitants.
Puis elle m’allongeait sur un banc de bois et me ligotait poignets et chevilles avant de me maltraiter devant toutes mes petites camarades. Cellesci riaient de ma souffrance et venaient me frapper à leur tour. Plus j’avais mal et plus je me masturbais fort. Plus je me masturbais fort et plus je prenais de plaisir. Si j’avais pu, je me serais arraché le bouton...
Lorsque je suis devenue femme, j’ai cherché des partenaires de plus en plus virils, de plus en plus violents.
Un jour, j’ai fini par rencontrer l’homme capable de me satisfaire vraiment. I1 est devenue mon maître. Je suis sa chienne et son esclave. I1 peut tout exiger de moi, j’obéis. En ce moment, il aime me faire l’amour en me souillant d’ordures. C’est pour ça qu’il me fixe rendezvous la nuit, très tard, dans des rues sombres et souvent mal famées. Je dois l’attendre, parfois des heures, presque nue sous mon manteau, seulement vêtue d’une combinaison en latex noir fendue à la chatte et aux reins. Lorsqu’il arrive enfin, j’ai l’ordre d’ouvrir le couvercle d’une poubelle et d’en sortir le contenu pour me masturber avec. L’odeur est épouvantable et l’impression que me provoque cette souillure est véritablement immonde.
Au début, je ne pouvais pas me retenir de vomir, ce qui n empêchait pas mon maître de me baiser.
Lorsqu’il repère des restes particulièrement dégueulasses, il m’oblige à m’en couvrir les seins et l’entrecuisse . Le men ton tremblant de peur et des larmes plein les yeux, j’obéis car je sais qu’il est inutile d’implorer sa pitié. Plus je suis sale et plus mon maître me trouve bandante. Au bout d’un moment, il n’en peut plus et me jette sur le ventre en travers de la poubelle. La tête enfoncée dedans e l’entends qui sors sa queue. En général, avant de me baiser, il me vide une poubelle sur le dos et dans les cheveux. Puis il me lubrifie la raie avec les choses grasses qu’il peut trouver.
J’ai toujours un haut le cœur lorsqu’il me fait ca tellement c’est répugnant. Mais lui ça ne le calme pas. Je sais que son sexe est alors gonflé au maximum. S’il ne me prépare pas l’anus avec un goulot de bouteille, il m’encule directement et s’enfonce en moi en poussant comme un dément. En même temps, il me force à avaler des restes de nourritures qu’il me pousse directement dans la bouche. C’est vraiment ignoble.
Comment peuton être assez chienne pour aimer ça ? Car J’aime ça ! Vous comprenez ? J’aime ce traitement que l’on ne réserverait même pas a un animal. Lorsque mon homme me sodomise dans la fange, je sens le plaisir monter en moi en même temps que le dégoût. Souvent, dans un hoquet de plaisir, je verse ma bile dans la poubelle avant de partir pour un fabuleux orgasme. Lorsque mon maître comprend que je suis en plein orgasme de chienne, il me jette sur l’asphalte, me déchirant les genoux et continue à me baiser pour prendre son plaisir. Puis il se retire de moi et me laisse au milieu de la rue, sale, déchue, couverte de merde, mais heureuse !
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