mardi 21 octobre 2008

Dressage par petites annonces

par Sandra, 23 ans, secrétaire

J’en crevais d’envie depuis longtemps mais, du fond de ma province, je ne voyais pas très bien comment je pourrais rencontrer le maître de mes rêves. Alors j’ai pris l’habitude de lire votre revue et je me suis branlée en fantasmant sur les pires traitements.
Le plus souvent, j’imaginais que j’étais reçue par un inconnu, aimable et très poli. Au début en tout cas, car très rapidement, le ton changeait et l’homme me soumettait aux pires sévices avant de me baiser comme une chienne...
Ce fantasme, je le faisais tellement souvent que j’ai décidé de passer à l’acte. Et comme j’ignorais où trouver mon bourreau, je me suis décidée à passer l’annonce suivante: « Sandra, 23 ans, docile novice désire ardemment être initiée par Maître courtois mais sévère. Je peux me déplacer. Je suis prête à tout.»
Inutile de vous dire que les réponses furent nombreuses, ce qui me laissait un très large choix. J’ai fini par sélectionner cinq messieurs qui me semblaient dignes de cette difficile mission: m’initier à l’amour qui fait mal.
Les trois premières rencontres furent hélas décevantes et ne débouchèrent sur rien. Je commençais à désespérer lorsque j’ai enfin rencontré Yves. Au premier regard, dès qu’il a ouvert sa porte, j’ai su qu’il était celui que je voulais, celui qui pourrait tout obtenir de moi. Avec une politesse un peu froide, il m’a invitée à entrer, m’a offert un verre. Sa conversation était courtoise et un peu mondaine, mais je savais, à son regard, qu’il me jugeait. Il avait déjà commencé son dressage, réfléchissant aux humiliations qu’il me ferait subir.
Au bout d’un instant, il a posé son verre sur la table basse et m’a dit d’une voix sans réplique:
Bon passons à autre chose voulez﷓vous. Placez﷓vous à quatre pattes, en levrette. Ecartez bien les cuisses, cambrez les reins. Il s’est levé avant d’ajouter: Surtout je ne veux aucune protestation. Plus vous vous plaindrez et plus vous serez maltraitée, c’est clair ?
C’était clair en effet.
J’étais bien décidée à garder bouche close. Je ne savais pas encore à quel point j’allais dérouiller. Yves a remonté ma robe sur mes fesses. Il a déchiré ma culotte. Avec la froideur d’un gynécologue, il a commencé à me tripoter le sexe, l’anus. J’étais humide et Yves s’en est rendu compte.
· Vous mouillez petite salope. Vous aimez ? J’ai fait oui de la tête. c’est à ce moment qu’Yves a commencé à me fesser. Il y mettait toutes ses forces, tout son sadisme, ce n’était pas la fessée que l’on donne à une petite fille indocile mais la vraie correction qu’on applique à une chienne. Je me mordais la langue et les lèvres pour ne pas hurler, mais malgré moi, de sourds gémissements m’échappaient. Et lorsque Yves a remplacé sa main par une badine, je me suis mise à pleurer, le suppliant d’arrêter mon supplice. Plus je protestais et plus il tapait fort, comme il me l’avait promis. Ce n’est que lorsque j’ai cessé de me plaindre, brisée par la douleur, qu’Yves a cessé ses coups.

Comme j’ai pu le constater plus tard, mes fesses étaient zébrées de traces rouges. Mais Yves ne voulait pas seulement me brûler la peau des fesses, il désirait également m’enflammer l’intérieur du cul. Je l’ai compris dès que je l’ai vu sortir son gros membre. Il a d’ailleurs confirmé mon intuition et mon désir.
· Je vais vous sodomiser Sandra.

Je vais enfiler mon sexe dans votre charmant petit trou du cul. Je ne veux pas savoir si vous aimez cela ou non, ni même si vous avez l’habitude. Une seule chose m’importe: que vous subissiez les assauts de ma queue, même les plus violents. Compris ?
Oui j’avais compris, c’était si simple d’obéir. Comme il l’avait dit, Yves m’a pris les reins. Il l’a fait en force, cherchant visiblement à me faire souffrir. Chaque pénétration était plus intolérable que la précédente. J’avais les intestins en feu et j’allais ruer pour me dégager lorsqu’enfin il m’a déchargé son foutre bienfaisant entre les fesses, Immédiatement après il s’est retiré. Puis il a délicatement remis ma robe en place sur mes fesses avant de venir se placer devant moi.
Nettoyez﷓moi la verge ! a﷓t﷓il ordonné. Entre deux sanglots j’ai câliné son membre gluant jusqu’à ce qu’il soit propre.
· Dégage maintenant. Vas te faire foutre ailleurs et ne reviens que si tu as aimé ma manière de te traiter. Alors je suis partie comme l’avait ordonné Yves. Mais dès le lendemain, j’étais à nouveau chez lui.

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