mardi 21 octobre 2008

J’AI POMPE LES GROSSES COUILLES DU PATRON, Tant pis pour le ménage!

J’ai quarante neuf ans, assez grande et bien garnie des deux côtes, mariée a un représentant de commerce qui me baise plutôt mal et pas souvent. J’ai l’impression d’être son trou a bite ou il se vide quand il en a envie.
Un mardi matin en arrivant, je trouve mon patron en pyjama dans l’appartement. Je suis étonnée qu’il soit la. Il me dit qu’il a pris quelques jours de congé. Je lui sers le petit déjeuner a la salle a manger; c’est bien la première fois que nous sommes ensemble depuis un bon moment. Nous bavardons pendant que je le sers. Au moment ou je me baisse pour prendre les restes du petit déjeuner, il m’entoure les fesses avec son bras en me disant:
· Simone, vous êtes une très belle femme très attirante, j’ai envie de vous.
Ces quelques mots me donnent le vertige et j’ai chaud partout Je lui prends la tête dans mes mains et je la presse contre mon ventre qui palpite. Mon sexe est inondé quand je sens qu’il passe sa main sous ma jupe, remonte le long de mes jambes jusqu’à ma peau nue. Mon sexe a mouille ma culotte sous laquelle il passe les doigts qui arrivent dans ma vulve.
Je me mets a gémir toute tremblante.
· Enlève ta culotte, dit﷓il en me troussant au plus haut, que je te branle a mon aise!
I1 m’enfile deux doigts dans le con tout en me malaxant les fesses de l’autre main. Je râle de plus en plus fort pendant qu’il s’active dans mon vagin. Quand son pouce écrase mon bouton bandé, je jouis en criant. Je lâche une vraie décharge qui lui remplit les doigts et coule sur mes cuisses.
n se relève pour me maintenir dessous. Son pyjama tombe a ses pieds et il plante sa bite raide entre mes cuisses gluantes.
· Allons dans mon lit, je vais te baiser! dit﷓il.
Nous basculons sur le lit défait. Je m’ouvre en grand. Quand il s’allonge sur moi, sa pine dure et longue entre dans mon ventre, au fond de mon con poisseux. n me pilonne a longues poussées. Chaque fois que son gland touche ma matrice, je crie et je me cabre malgré son poids. Je n’arrête pas de dire que c’est bon, que je veux qu’il me pénètre a fond. Quand il se soude a moi, bourrée a bloc, et qu’il grogne en déchargeant dans mon vagin, j’éclate en hurlant a pleine gorge.
Nous reprenons haleine sans qu’il sorte de moi, puis:
· Tourne-toi, Simone, que je te mette en levrette!
Je prends position, les reins creuses, la tête relevée et j’ajoute:
· Encule-moi si tu veux!
J’ai tellement rêvé qu’il m’enculait sur son lit! I1 me répond :
· Oui je vais t’enculer, Simone, mais comme il faut que tu sois bien vidée, je vais te donner un lavement.
On se met complètement a poil avant d’aller dans la salle de bains. Dans le tiroir de la table, il prend la poire a injections, la remplit d’eau:
· Donne ton cul, écarte tes fesses!
Je me baisse, les nichons dans le lavabo, j’ouvre ma raie du cul Je sens la canule entrer dans mon anus et un flot tiède gicle dans mon boyau. Je me soulage sur les WC a cote.
· Encore un coup, dit﷓il en m’enfilant la canule dans le trou
Cette opération m’excite énormément.
Je crois qu’il va me foutre sa bite dans le cul quand je reprends position. Non, il enfonce d’un seul coup la canule et me branle. Je râle et je gémis:
· Tu aimes ,ca, salope, te faire branler par le cul, dis﷓le moi!
Je le lui dis. n me pistonne avec. Je tremble tellement c’est jouissif d’être branlée du cul Je lâche la poire qui tombe sur le carrelage et d’un seul coup, il me défonce la pastille, ses couilles coincées dans ma raie. J’en jouis en miaulant. Tenue par les hanches, je suis pistonnée, ramonée a grands coups de bite durant un bon moment. Quand je sens son foutre bouillant gicler dans mon boyau, je jouis encore, le souffle coupé.
Nous attendons de reprendre nos esprits sans qu’il ne me lâche, car il bande encore dur comme fer Puis il se recule sans déculer, jusqu’à la cloison en me disant:
· A toi maintenant, Simone, branle﷓moi avec ton cul!
Accrochée aux mains a la bordure du lavabo, je vais et viens sur sa bite bien plantée dans mon trou n me traite de salope, de truie en rut, de pute en chaleur:
· Si tu te voyais! Ce que tu peux être cochonne a t’enculer sur ma pine!
J’accélère tant que je peux, ca monte, il va décharger dans mon cul D’un coup de ventre, il me bourre a bloc en giclant Ca me fait encore jouir. n débande tout de même. Quand je me redresse, mon con et mon cul dégorgent tout le foutre qu’il y a déverse. J’en ai plein les cuisses. Je me lave sur le bidet.
Debout dans la cuisine, nous nous remontons en buvant un café. Comme nous sommes toujours nus, il me malaxe les nichons, me tripote la fente. Moi je lui tiens la bite a pleines mains. n rebande ferme et moi j’en veux encore, alors on retourne au lit.
Quand je m’écarte, il me dit:
· Je vais te téter le bouton, salope!
I1 dégage mon clito durci et le lèche un peu avant d’y coller sa bouche pour l’aspirer, le mordiller en me branlant en plus avec ses doigts. Ca me fait orgasmer trop vite. J’aurais voulu que ca ne s’arrête pas. Lui me monte dessus, me relève le buste, calé avec les oreillers contre la tête du lit :
· Ouvre ta bouche, garce, que je te baise pour que tu avales mon foutre!
Je le laisse se branler dans ma bouche jusqu’à ce qu’il décharge, j’avale toutes ses giclées. Nous sommes vides tous les deux Je me rhabille après une toilette. Ce jour-là il me dit que je ferai le ménage une autre fois
Comme mon Jules est assez souvent absent, d’un coup de téléphone a son bureau je le préviens qu’a 18h30 je serai chez lui pour me le faire mettre de partout.

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