mardi 21 octobre 2008

LE SUIS LA SOUBRETTE, LA MAITRESSE ET LA PUTAIN DE MON PERE

Maryse, 25 ans.

Je suis Maryse, vingt﷓cinq ans, célibataire, et je vis toujours chez papa-maman Je suis second clerc de notaire dans une grosse étude de province. Profession on ne peut plus classique et rangée. Si je le suis également dans mes tailleurs de tous les jours, je le suis moins dans mes goûts car j’aime vivre nue. Depuis toujours, j’ai un penchant pour les sous-vêtements raffines, soyeux et même osés, et une partie de mes économies leur a toujours été consacrée Je les choisis toujours blancs, rouges ou noirs.
Je suis libre tous les samedis. Ma mère est infirmière a domicile et travaille ce jour-là Mon père est en préretraite, mais s’occupe d’associations et s’absente souvent pour des réunions Je fais un grand ménage a fond le samedi matin. II y aura deux ans en juin que s’est passe l’événement que je vais vous raconter.
Il faisait déjà chaud, aussi comme j’étais seule je décidai de joindre l’utile a l’agréable en faisant le ménage vêtue d’un porte-jarretelles rouge, de bas noirs et d’escarpins rouges a petits talons. Ce n’est pas une tenue de Cendrillon, mais que j’aime aller et venir en dessous peu sages, sentir et voir mes seins ballotter lors des gestes du ménage. M’apercevoir nue dans un miroir m’échauffe toujours et mon intimité se lubrifie.
Ce jour-là, le bruit de l’aspirateur m’a empêché d’entendre la porte d’entrée, et c’est une main sur ma fesse qui m’a fait pousser un cri et lâcher l’appareil en me retournant d’un bond. J’étais face a mon père. Sans être rigide, mon éducation avait été stricte et je n’avais jamais vu mes parents nus. Moi-même, je restais très pudique pour mes bronzettes dans le jardin.
Et j’étais habillée comme une fille de magazine en face de mon père. Depuis combien de temps m’observait﷓il? J’ai appris plus tard que, comme je passe l’aspirateur a reculons du fond du salon vers la porte, il était la depuis dix minutes a me détailler sans que je m’en doute.
· Continue, te gêne pas pour moi surtout Tu devrais être plus souvent comme ça!
Il tourna les talons et partit je ne sais ou dans la maison. J’hésitai mais je restai comme j’étais. Apres tout c’était mon père et il ne perdrait pas la vue de voir sa fille nue.
Quand j’arrivai dans la chambre de mes parents, elle était vide. Je commençai a faire le lit Je l’avais presque termine, et la encore je tournais le dos a la porte, quand une poussée aux épaules me fit m’affaler à plat ventre sur le lit. Je sentis aussitôt une main entre mes cuisses. Je serrai les jambes, mais trop tard! La voix de mon père au﷓dessus de moi tonnait :
· Ca t’excite de te balader comme ca à ce que je vois! Ta mère va être contente d’apprendre ca!
Ma mère est plutôt puritaine et mes dessous étaient depuis toujours un sujet de bagarre entre nous, tout comme mes bronzettes en string dans le jardin
· Non, mon petit papa, oublie de lui en parler!
· Alors viens ici, il y a aussi du ménage à faire par la!
Et je le vis ouvrir sa ceinture, descendre son pantalon et son slip.
· Non, tu ne veux pas que...
· Si justement!
· Mais je suis ta fille!
· Tu préfères que ta mère soit au courant?
Le chantage. . . je me suis dit: une pipe maintenant et ça en sera termine pour toujours!
Mon père bandait a demi. Je m’agenouillai et commençai a le faire durcir encore en le léchotant, pelotant ses bourses poilues. Puis après l’avoir décalotté, je pompais avec vigueur son sexe qui se raidit et releva la tête.
· Tu fais ca très bien, mieux que ta mère! Avec elle je sens toujours ses dents. Enfin, je sentais, car ca fait un bout de temps que j’ai pas eu droit a ce genre de gâterie! Tes petite copains ont bien de la chance!
C’est vrai que mes quelques amants avaient toujours aime mes caresses buccales. Mieux que ma mère. .. dire ça à une fille c’est lui faire un sacre compliment! Aussi, j’en rajoutai, je fignolai, je sortis tout mon savoir buccal et lingual jusqu’au moment ou deux mains m’ont solidement maintenu la fête.
· Ah, salope, tu me fais venir! Tiens, prends tout! Ah, c’est bon, j’éclate!
Bon an, mal an, je dus avaler pour ne pas étouffer. Ce n’est pas mon plat préféré mais j’y goûte quelquefois, et celui-là n’était pas mauvais.
· Je te laisse a tes occupations!
Et voile mon père sorti jusqu’à midi. I1 revint déjeuner comme d’habitude et se comporta toute la semaine comme si de rien n’était.
Le samedi suivant, il était là. Il faisait beau de nouveau, mais c’est en jean et chemisier que j’attaquai le ménage. Ce ne fut pas du goût de mon père qui, très en colère me dit
· Tu n’as rien d’autre a te mettre? Montre﷓moi ton armoire, je vais choisir.
I1 désigna une guêpière noire, des bas rouges et des mules a talons. I1 supervisa tout le ménage, en allant et venant sans cesse dans la maison. Quand j’arrivai a sa chambre, il était nu sur son lit sexe dressé et se branlait doucement
· Tiens, j’ai déjà fait une partie du travail, viens continuer sinon tu sais ce qui arrivera!
Le chantage continuait, j’étais prise. Je m’agenouillai près du lit et recommencai une fellation que je voulais être encore meilleure que la précédente. Comme j’étais a portée de main, mon père se mit a me caresser et a me branler le clito. Je ne pris pas mon pied sous ses doigts, mais lui ne résista pas mieux a mes caresses et m’octroya une nouvelle rasade de son sperme crémeux.
Depuis, il n’a plus jamais de réunion le samedi matin, et choisit mes tenues de femme de ménage. I1 se promène souvent ce matin﷓là, nu lui aussi, dans toute la maison.
Un jour ou il avait choisi un bustier noir et son string assorti, coup de sonnette. C’était le facteur.
· Ouvre, me dit mon père.
· Comme ça?
· Oui comme ca, ne discute pas! Je passe un peignoir et j’arrive tout de suite, je ne te laisse pas seule
Rouge de confusion, j’ouvre.
Le facteur reste sans voix, bouche ouverte. Mon père arrive effectivement immédiatement. Comme un automate, le facteur tend sa lettre, les yeux rives sur moi. Mon père lui rend le reçu et son stylo, et le pousse pour refermer la porte. C’est la qu’il a l’air de revenir a lui et fait demi﷓tour.
Mais ce hasard a donné des idées a mon père et une fois par mois environ, une lettre ou un colis arrive le samedi. Certaines doivent être vides car j’ai reconnu l’écriture de mon père qui s’envoie donc des lettres pour me faire ouvrir en tenue légère pas aussi « innocente » que la première.
A part pendant trois semaines en été et une semaine en hiver ou je suis partie seule, j’ai suce mon père chaque samedi pendant six mois environ. Puis un jour ou je grattais des taches récalcitrantes, a quatre pattes sur le carrelage de la cuisine, en guêpière et bas rouges, j’ai senti mon père s’agenouiller derrière moi, me saisir les hanches et d’un coup de reins me pénétrer.
Ma première réaction fut de pleurer. Je me suis aplatie sur le sol Je sentais le carrelage froid contre mes seins, a peine protégés par la dentelle, et la tête dans les bras je sanglotais. Cette position offrait un peu plus mon sexe, hélas! Mon père est reste immobile d’abord Je vous ai dit qu’aller et venir en vêtements sexy m’excitait, la situation au fil des mois aussi. Mon sexe était lubrifie et il est rentre en moi sans problème.
Cet accouplement, c’était la suite logique de notre aventure que j’attendais tout en la réprouvant. Quand je me suis un peu calmée, il a commence de lents mouvements de bassin. Incontestablement, cela me faisait du bien, mais je continuais a le refuser. II cherchait son plaisir sans s’occuper de moi, et progressivement ses mouvements prirent de l’ampleur, jusqu’à en arriver a me pistonner avec fougue, fureur même. Toujours accroche a mes hanches, il me balançait d’avant en arrière. Mes fesses claquaient contre son ventre. Je sentais ses bourses ballotter entre mes cuisses. Je finis par capituler et accepter le plaisir qui s’amplifiait ; je me mis a geindre. Ce fut radical sur mon père qui, presque aussitôt, se mit a jaillir en moi en grognant et en me laissant sur ma faim.
· Tu prends bien toujours la pilule?
· Oui, mais tu ne crois pas qu’il est un peu tard pour t’en inquiéter?
· Je le savais, je t’ai vu la prendre il n’y a pas longtemps. Allez, au boulot! Continue le carrelage!
Apres cette matinée, les fellations se firent plus rares. Mon père me prenait au cours de la matinée avec une préférence pour une position en levrette, ou debout, ou encore couchée, les fesses au bord d’une table, mes jambes sur ses épaules.
Les samedi passaient et il s’est mis a m’acheter ma lingerie, souvent par correspondance, chez des fournisseurs spéciaux, en demandant une livraison le samedi évidemment. J’ai maintenant des slips fendus, des soutiens﷓gorge a demi ou quart de bonnet, des guêpières et des bodys seins nus, et une chemise de nuit genre djellaba en voile noir qui ne cache rien. Des balconnets profonds et un string me semblaient le comble de l'érotisme, et je n’avais jamais pense que cela exista. Ce qui me semble le pire, c’est que j’y prends goût et je me mets a les porter de temps en temps en semaine, pour mon plaisir, SQUS un pull ou un chemisier opaque.
Pour sa fête, la Saint-Gérard qui, en 92, tombait un samedi, il a voulu m’enculer. Je l’ai laisse faire une fois de plus. Cette fois encore en levrette, dans la cuisine, après m’avoir vice une rasade d’huile d’olive sur les fesses et s’en être badigeonne le sexe, il m’a dépucelé l’anus. A ma grande surprise, il fut très doux : un doigt, puis deux, puis trois puis son sexe, m’ont pénétrée sans que jamais je ne ressente la moindre douleur. n m’a avoue ensuite que ma mère s’y était toujours refusée.
Maintenant, c’est le sort qui désigne le trou qu’occupera son sexe. II me tend trots papiers l’un avec un O car c’est la forme que va prendre ma bouche, l’un avec un Q. sans commentaire, l’autre vierge (!!) pour la voie naturelle. Je le tire au sort et je dois m’exécuter.
Mon père vous lit mais il ne sait pas que j’envoie cette lettre. Il y découvrira le goût que je prends a porter tous les jours les vêtements très coquins qu’il m’offre, mais s’il sait le plaisir que je prends avec lui, a﷓t﷓il su vraiment ma révolte au moment de chacune des étapes qu’il m’a fait franchir, puis mon abandon systématique?
Voilà mon histoire. Je suis la soubrette, la maîtresse et même quelque part la putain de mon père, puisque j’accepte des cadeaux qu’il ne me faisait pas avant que je m’occupe de lui sexuellement.
J’espère que ces dix pages de confidences ne seront pas un handicap a la publication.

1 commentaire:

hommedemenagebi a dit…

Bonjour, je suis Daniel, un homme de 53 ans, j'ai lu et apprécié ton histoire car malgré que je sois un homme j'ai subi (enfin pour moi je ne subissais pas puisque je prenais du plaisirs) un peu la même chose que toi durant six ans. Un jour mon père m'a surpris alors que je venais de mettre bas, culotte et talons de ma mère ! depuis ce jour il m'a fait chantage pour que je lui fasse fellation et qu'il me sodomise peu à peu. Il m'obligeait à me travestir quand nous étions seul, et depuis je me travesti encore a 53 ans de temps en temps.