Manuel - 32 ans - Paris XVI
Ce récit est une confession, et croyez bien qu’il m ‘en coûte, car c’est la première fois que je me confie, mais la honte que je ressens décuple mon plaisir.
J’ai entrepris, il y a 2 ans et demi d’essayer le téléphone rose. Après quelques mauvaises expériences, (filles vulgaires), je tombais enfin sur une fille sympa et différente. Notre conversation dura plus d’une heure et je la sentis franchement intéressée par mes fantasmes d’humiliation et de manipulation de ma partenaire éventuelle. Nous n’avions parlé que de soumission féminine, car je ne pouvais imaginer un seul instant qu’il aurait pu s’agir de la mienne.
Il fut convenu de se rencontrer le surlendemain, pour une soirée « surprise », ajoutatelle.
Le lendemain elle me laissa un message sur le répondeur qui disait qu’elle viendrait avec deux amies. « Ca ne te dérange pas ? » Terminatelle, perfide, sachant pertinemment que je ne saurais refuser une telle aubaine.
Le lendemain soir, elle frappa à ma porte; j’étais pris d’une certaine frénésie à l’idée de connaître ces trois jeunes femmes. Et si c’était des boudins de 150 kg qui puent la frite, et boutonneuses à souhait ?
Christelle (celle que je connaissais téléphoniquement) avait une jolie frimousse, mais une nette tendance à l’embonpoint, dommage.
Brigitte, brune jais, avait une bonne présentation, mais donnait l’impression d’être une étudiante attardée. Comment imaginer une fille lubrique sous ce look bien rangé ?
Enfin, Corinne, pour sa part était réellement jolie, blonde aux cheveux courts, adorable.
Après de rapides présentations, Christelle proposa un strip-poker. I1 fut convenu que celui ou celle qui aurait perdu son dernier rempart jouerait à quitte ou double; s’il gagne, il reprend toutes ses affaires, s’il perd, il devient l’esclave des 3 autres.
Tout fut parfaitement orchestré. Corinne perdit tous ses vêtements hormis le slip, elle était acharnée à vouloir me faire perdre. Après une petite demiheure, je me retrouvais en slip sur la table basse et je dus subir l’humiliation de les voir faire glisser mon slip sur mes cuisses. J’essayais de considérer cela comme un aimable divertissement malgré quelques moqueries vexantes: « Tournetoi, écartelui les fesses, je veux voir son trou du cul ».
Puis, elles me bâillonnèrent, m’attachèrent les mains dans le dos « Maintenant, me dit Christelle, sur un ton beaucoup plus sévère, on va jouer à un autre jeu; je vais te pincer les seins, et plus je te pincerai, plus tu devras écarter les jambes, O K ? Allongetoi par terre sur le dos ». Je fus ensuite entièrement rasé et exposé. Mon œillet brillait à la convoitise de ces trois filles terriblement excitées à l’idée de me soumettre totalement, d’autant plus que l’homme en question ne s’attendait pas du tout à cela.
Brigitte est allée chercher les ustensiles les plus contondants et les plus ridicules pour me les introduire dans le rectum. (Débouche évier, bouteille, balayette, carotte, bougie).
Je dus juste avant, aller aux toilettes pour me vider les intestins, porte grande ouverte, devant elles, sans pouvoir éviter le bruit de mon étron qui déclencha une kyrielle de moqueries et de sarcasmes.
Je dus me faire laver le derrière comme un nourrisson, Christelle me pinçât cruellement les seins pour faciliter l’écartement des fesses.
Corinne sortit un caméscope de son sac et filma intégralement les introductions successives d’objets dans mon anus.
Lorsqu’il fut bien tard, elles décidèrent de coucher chez moi, et avant de me mettre au lit, je dus subir l’introduction d’un gros objet que je dus garder pendant mon sommeil pour me dilater définitivement le derrière.
A l’aide d’une ficelle partant des hanches et passant dans la raie des fesses, un concombre fut introduit et maintenu pendant 6 heures dans mon trou anal.
Au petit matin, Christelle alla chercher un gant de caoutchouc dans la cuisine, retira mon attirail, et, avec la main gantée et enduite de vaseline, testa l’efficacité du traitement que j’avais subi.
Elle introduit ses doigts un à un, puis la main entière, doucement mais sûrement, malgré mes gémissements implorants de ne pas m’infliger cette torture infamante. Tout son poing avait disparu dans mon trou fessier. Les autres regardaient. Je fus traiter de putain, sifflé, fessé. l’eus un orgasme tellement violent qu’il me fit réaliser que j’étais masochiste.
Suite à cette nuit mémorable, j’ai désiré continuer avec Corinne qui devint ma maîtresse durant 1 ans. Elle est ensuite partie vivre à Montpellier. J’ai très envie de recommencer la même expérience et de me faire encore dilater le cul (mon petit trou s’étant resserré ). Je suis un très bel homme élancé ( Im88 ) d’allure sportive et ayant bien réussi professionnellement. On me dit impressionnant et même intimidant. Qui pourrait imaginer, dans mon entourage, quel est mon talon d’Achille ?
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