mardi 21 octobre 2008

Demoiselle de compagnie

par Pierre 45 ans Directeur

SOIZIC est une artiste peintre assez connue dans les milieux de l’art. Ses tableaux, toujours noirs et très sanglants, se vendent très cher.
Dans le tout Paris, on sait qu’elle n’aime guère les hommes. Elle est par contre toujours flanquée de très jeunes filles qu’elle appelle ses « demoiselles de compagnie ». Tout le monde sait que ce sont en fait de petites salopes qu’elle dresse avec la plus extrême sévérité. L’autre soir, à un vernissage mondain, elle tenait le bras d’une petite blonde, une vraie gamine.
Très intéressé par cette relation perverse et charmé par la petite chienne, je suis allé présenter mes hommages à Soizic. Je sais qu’elle invite parfois des spectateurs à ses séances de dressage, corrigeant en public ses petites esclaves. Très vite, elle a percé à jour mes intentions. Avec un sourire ironique et plein de sous﷓entendus, elle m’a présenté sa malheureuse « protégée ».
· Voici Amandine, une vraie petite putain. Vous connaissez mon goût pour les salopes mais celle﷓là bat tous les records. Jamais je n’ai connu une fille qui aime autant les coups et les humiliations.

Très impressionné par cette déclaration, j’ai plongé mon regard dans celui de la jolie jeune fille. Avec ses cheveux blonds sagement attachés en chignon, on aurait juré qu’elle allait à la messe tous les dimanches. Mon sexe s’était mis à durcir. Amandine s’en était aperçu.
· Si je vous suce, me fouetterez﷓vous ? me demanda﷓t﷓elle d’une voix très douce.
· Laissez﷓vous tenter conseilla Soizic. Plus vous la traiterez mal et plus elle vous aimera. Puis elle ajouta, terriblement vulgaire: Allez vous faire pomper la queue dans les chiottes jouissez﷓lui dans la bouche puis revenez me voir. Après nous irons la punir chez moi.

Quel programme !
Amandine s’était déjà éclipsée aux toilettes. Je l’y rejoignit Sans un mot, elle s’agenouilla devant moi, les lèvres déjà arrondies, prêtes à recevoir mon sexe.
Cette petite chienne était aussi douée que Soizic l’avait dit. Mon Dieu comment peut﷓on sucer de la sorte ? Quelle frénésie pour avaler mon sexe ! Je crois que je n’avais jamais connu ça. C’était vraiment trop bon pour durer longtemps. J’ai lâché mon sperme. Amandine l’a conservé en bouche, sans le cracher ni le boire. Pendant que je refermais la braguette de mon smoking, elle s’est enfuie pour aller rejoindre sa maîtresse.
Après, nous sommes allés chez Soizic. Amandine conservait les joues gonflées, mon foutre au creux de la langue. Soizic m’a expliqué pourquoi :
· Cette petite pute n’a pas le droit de gémir ni de crier. Elle doit garder la bouche close malgré la douleur. Si tout à l’heure elle a conservé votre foutre, cela voudra dire qu’elle a obéi. Sinon...

Tout en disant cela, Soizic avait ligoté son esclave sur un chevalet très particulier. La petite Amandine était totalement prisonnière. Des liens divers ( qui lui sciaient la peau ) l’obligeaient à accentuer sa cambrure au maximum et à écarter grand les cuisses. Cela devait être terriblement inconfortable. Pourtant elle ne protestait pas, les lèvres toujours closes sur ma giclée. Avec une dextérité sans pitié Soizic ornait le bout des seins et les grandes lèvres d’Amandine avec de petites pinces dont on pouvait régler la pression.
· Si je serre au maximum, me prévint﷓elle, je lui sectionne les tétons.

Après ca, elle lui a enfilé un goder gonflable, capable d’écarter le vagin à des dimensions incroyables. Amandine se laissait faire, impassible. Elle ne réagit pas lus lors du lavement, ni lors de la brutale sodomie qui s’ensuivit. Son terrible châtiment dura plus d’une heure. Parfois Amandine craquait et se tortillait en tous sens, autant que le lui permettaient ses liens. Mais à aucun moment une plainte ne fusa de ses lèvres obstinément closes.﷓ Finalement, Soizic libéra sa « demoiselle de compagnie >>. Libérée de ses liens, Amandine s’écroula sur le sol, au bord de l’évanouissement. Soizic l’attrapa par la chevelure et la traîna jusqu’à moi. « Crache ! » hurla﷓t﷓elle d’une voix dure.
Docile, Amandine cracha mon foutre au creux de sa main.
- Tu es une bonne petite, dit Soizic en lui caressant la nuque comme on fait à un chien. Pour ta récompense, tu vas te faire enculer par Monsieur.

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