par Jean-Claude, 43 ans, Directeur Commercial
LAURA, une des secrétaires de la boîte, a couché avec le patron et avec tous ceux qui pouvaient servir pour son avancement.
Dès que j’ai eu ma promotion, elle s’est beaucoup plus intéressée à moi. Cette petite chienne ne se doutait pas de ce qui l’attendait lorsqu’elle a commencé à m’allumer. Un soir, elle est venu m’inviter à aller boire un verre en sa compagnie. J’ai accepté de la suivre chez elle. Elle portait une robe très courte, des escarpins à talons hauts qui cambraient ses admirablement reins.
C’est une belle femme et elle le sait, mais moi, ce qui me fait surtout bander chez une femme, c’est sa capacité à aimer la souffrance et l’humiliation. Et je n’étais pas certain que la fière Laura apprécie le traitement que je lui réservais...
Chez elle, tout s’est déroulé comme elle le souhaitait. Laura s’est retrouvée entre mes bras, ses seins s’écrasant sur mon torse tandis que sa langue s’enroulait à la mienne et que sa cuisse se frottait à mon sexe. J’aurais pu la baiser normalement et j’y aurais certainement pris beaucoup de plaisir, mais j’avais surtout envie de donner une leçon à cette petite chienne. Lorsque j’ai commencé à lui broyer les seins entre mes paumes, elle a commencé par se pâmer, m’incitant même à me montrer plus viril encore. Quand je lui ai tiré les cheveux pour la forcer à me pomper la queue, elle n’a pas protesté. Son beau visage de garce exprimait même de l’excitation. Jouaitelle la comédie ? Je n’en sais rien. Toujours estil qu’elle n’a commencé à protester lorsque je l’ai jetée sur le ventre avec la ferme intention de lui prendre le cul en force.
Elle a hurlé lorsque mon gland lui a cassé le rond. Elle s’est mise à s’agiter en tous sens, ce qui m’a facilité la tâche et m’a permis de tout lui enfoncer.
Cette petite conne s’était mise à pleurer, pensant peutêtre m’émouvoir. Elle ignorait qu’une femme qui pleure, moi, ça m’excite.
Après cette première sodomie, elle a voulu me i jeter dehors. Mais j’avais envie de jouer encore un apportées tout spécialement pour elle. La petite secrétaire a vite compris que je suis sadique. Elle en a été tellement effrayée qu’elle n’a pas osé protester. Je trouvais très excitant de lui faire peur. J’aimais la voir trembler, elle d’habitude si méprisante. C’est alors que j’ai eu envie de lui infliger un truc spécial que je trouve hyper jouissif: j’ai fait un lavement à la petite secrétaire ambitieuse.
Si vous aviez vu gigoter dans tous les sens pour tenter d’échapper a mon traitement. Il y avait de quoi rire. De plus c’était parfaitement inutile et elle a eu droit au lavement promis.
Elle avait encore la poire à lavement dans le cul lorsque je lui ai dit de me pomper encore. Obéissante et enfin soumise, Laura s’est allongée devant moi et m’a cajoler la pine avec ses lèvres. En me penchant sur ses reins, je pouvais poursuivre le lavement.
Lorsque j’en ai eu assez de sa pipe, je suis repassé derrière elle pour pénétrer son petit cul tout propre; elle n’a même pas protesté. Elle gémissait comme une chienne qui souffre mais pas plus. Sa raie était beaucoup plus facile à enfiler à présent. Pour lui procurer quelques frissons, j’ai un peu torturer ses bouts de seins. Cette conne semblait aimer ça. Ho bien sûr elle avait honte et elle me haïssait mais, malgré elle, la chienne qui est en elle appréciait le traitement. Je sentais même son orgasme monter; je la voyais lutter contre, mais plus elle se défendait et plus le plaisir prenait de la force.
A la fin, lorsqu’elle a explosé, Laura était complètement hors d’elle Oubliée la petite pimbêche méprisante: j’avais devant moi une femelle en rut une femme heureuse...
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