mardi 21 octobre 2008

Punition sur ordonnance

Sandra - 24 ans

Mon maître est médecin. Il a 40 ans, une femme et des enfants
Parallèlement à cette vie « officielle », il pratique le sadisme et s’occupe de moi, sa petite chienne.
Moi j’ai 24 ans, je suis étudiante en droit. J’ai fais la connaissance de mon maître lors d’une visite médicale. Le coup de foudre fut immédiat et j’ai tout fait pour qu’il me dresse. En fait, c’est moi qui l’ai fait sombrer dans la débauche. Avant lui, j’avais déjà connu quelques expériences maso et je savais que j’étais faite pour ça. Lui ignorait le plaisir de maltraiter une petite putain dans mon genre. Il ne savait pas encore qu’il est délicieux d’humilier et de traîner dans la fange une jeune fille de bonne famille. C’est moi qui lui ai appris tout ça.
Au début, je suis classiquement devenue sa maîtresse. Nous faisions l’amour dans son cabinet, sur le bureau, à portée d’oreille de sa secrétaire. Lorsqu’il me baisait, je l’incitais toujours à me prendre plus fort, à me tordre les pointes des seins pour me faire mal. Un jour, folle d’amour, j’ai laissé échapper un cri: « 0h casse﷓moi le cul mon chéri, baise moi par derrière ». Interloqué, mon amant me demanda de répéter. « Qu’est ce que tu dis ? »
« Casse﷓moi le cul ! « ai je répété. « Encule moi à fond, j’ai envie d’avoir mal tu, comprends ? »
Mon message fut reçu S/5. Comme un dingue, mon maître me jeta le ventre sur le bureau. Les mains accrochées à mes seins, il pénétra en moi, m’enculant à mort jusqu’à ce que je jouisse à m’évanouir.
Ce premier pas franchi, nous avons gravi toutes les étapes du sadomasochisme. Comme il était novice, nous avons noué des contacts avec d’autres pratiquants. C’est ainsi que je suis devenue l’esclave de plusieurs hommes. Un des jeux préféré de mon maître est de prescrire des ordonnances que ses nouveaux amis se chargent d’exécuter.
Dans son cabinet, mon maître me remet une ordonnance soigneusement pliée. Elle contient les instructions sadiques et salopes qui vont me faire souffrir et me faire du bien. Je la glisse dans mon sac à main et je vais au rendez﷓vous qu’il a fixé pour moi.
Là, son correspondant ouvre la lettre et exécute la sentence.
Le sort qui m’est réservé est toujours très douloureux, de plus en plus cruel même. A présent, il est rare que je sorte indemne de ce petit jeu. L’autre jour, un des amis de mon maître m’a cruellement brûlé la pointe d’un sein. Il m’a ensuite fouettée jusqu’au sang tout en me sodomisant avec un gode énorme. Je souffrais à crever. Je jouissais à mourir. De toute manière, l’inconnu ne faisait qu’exécuter l’ordonnance de mon maître.
Après avoir subit mille sévices, je me suis traînée jusqu’à son cabinet pour me faire soigner car j’en avais bien besoin. Tout en me prodiguant ses soins, il m’a demandé de lui raconter en détail ce que je venais de subir, ce que j’avais ressenti en souffrant. Alors en sanglotant entre ses bras, j’ai dit combien l’homme avait été méchant avec moi, portant chacun de ses coups de fouet avec un maximum de violence, me forçant le cul et la chatte jusqu’à me déchirer.
De grosses larmes roulaient sur mes joues lorsque j’ai avoué à mon maître que j’avais adoré ce traitement. Car j’ai pris un plaisir incroyable à cet immonde traitement et je suis prête à recommencer très vite.
D’une voix dure, mon maître m’a dit que ça ne tarderait pas. Il m’a promis que la prochaine fois ce serait encore pire

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