mardi 21 octobre 2008

JE DEBAUCHE LES JEUNOTS. Ils sont fous de mes gros nichons!

par Armelle, 56 ans.

Il y a deux ans, j’ai gagne gros au Loto.
Apres avoir change de maison, de meubles et de voiture, je me suis offerts un beau voyage en Grèce. A cinquante-quatre ans, divorcée sans enfant, je suis restée très belle femme : une grosse poitrine, une fine taille, un ventre plat, de belles jambes ; j’ai ce qu’il faut pour plaire aux hommes, d’autant plus que j’ai du tempérament et que, sans tabous, je n’ai rien a leur refuser. Donc, arrivée en Grèce, j’ai eu une aventure avec un Parisien, un homme charmant et courtois mais très vicieux. Je passai quinze jours très agréables avec lui. Avant de partir, il me dit ceci :
· Armelle, tu es une femme de tempérament. Avant de quitter la Grèce, il te faut goûter a une spécialité du pays. Voici l’adresse d’un bar ou tu te rendras le soir après vingt heures. Tu y rencontreras de beaux éphébes, cela te
coûtera quelques billets, mais tu ne seras pas déçue. Toi qui aimes bien le radada, tu vas être comblée!
Quelques jours après, je me suis rendue a ce fameux bar. J’avais le cœur qui battait la chamade. I1 y avait peu de monde, mais bien vite un homme vint a ma rencontre. I1 était jeune et beau. Il me fit un charmant sourire et m’invita a sa table. On but un verre, et rapidement il me propose ses services. La somme n’était pas exagérée, il me fit un prix car il me trouvait très belle et avait fort envie de moi. Bien vite je me retrouvai chez lui, dans un très bel appartement. C’est lui qui me déshabilla tout en me couvrant de baisers. J’étais déjà très excitée.
II était bien fait et surtout bien monte. Je n’avais jamais vu une verge aussi grosse, et cela me faisait un peu peur. Je lui dis que j’étais très étroite et il me promit de mettre une crème spéciale pour que cela entre mieux et que je net sois pas irritée. n commence par me caresser, surtout la poitrine. Mes seins lui plaisaient beaucoup. J’étais déjà toute mouillée quand il fit une descente a ma foufoune, et c’est une craquette bien baveuse qu’il trouva. Mon clito très sensible fut de la fête et je jouis rapidement sous sa langue. Ensuite il enduisit sa queue de pommade et me pénétra lentement. Cela me fit une impression bizarre, cette belle bite qui prenait possession de mon corps! Je me sentais remplie par cet engin puissant Un instant, je me cramponnai a lui afin de mieux savourer la pénétration. Que c’était bon! Puis je le relâchai et il s’activa en moi. Le plaisir irradiait tout mon corps et mon amant me fit jouir comme une dingue. Jamais de la vie je n’avais connu une émotion aussi forte. Je restai pantelante.
Apres cette cavalcade, il me propose une douche que l’on prit ensemble. II était très gentil et me propose de revenir quand je le voulais. C’est d’ailleurs ce que je fis. Un jour sur deux, j’allais le rejoindre. C’était un gigolo merveilleux. Mon séjour se termina en beauté et je retournais au Puy, bien décidée a trouver un amant jeune et puissant.
Ce ne fut pas facile bien que j’habite une grande ville. Enfin je dénichai l’oiseau rare dans une annonce « Olivier, vingt﷓deux ans, ingénieur, recherche femme généreuse pouvant le loger, âge indiffèrent. » Je compris vite que j’avais affaire a un vicieux et que je ne serai pas déçue. Pour mettre plus de poids a ma lettre, j’y joignis une photo de moi où ma poitrine était bien mise en valeur. Je lui dis aussi que j’étais coquette, que je portais des bas et des porte-jarretelles, et de la lingerie fine. Pour aller plus vite, je lui donnai mon numéro de téléphone. II ne tarda pas a m’appeler. II était presse de me rencontrer. Je lui dis de venir tout de suite avec ses affaires ; une heure après il était la. Beau garçon, bien bâti, très sportif. Je lui fis forte impression. J’avais mis une jupe fendue sur le cote et un pull moulant serre a la taille par une large ceinture, ce qui avait pour but de faire ressortir ma poitrine. II me trouva très sexy.
Je lui fis visiter la maison et sa chambre, puis je lui versis une coupe de champagne. Nous étions tous deux au salon. Mes jeux de jambes lui permettaient de voir le haut de mes cuisses, et quand il me dit que je n’étais pas le genre de femme a mettre des collants, je sentis que cela allait être ma fête. Ce fut vite fait : je fus retroussée, pelotée, caressée et déculottée. n enfouit son visage entre mes fesses et je sentis sa langue sur ma foufoune. C’était super! Ses mains me caressaient les cuisses, et quand il me caressa le cul et qu’un doigt me pénétra le troufignon, je me mis a jouir comme une folle. Je lui tins le visage contre moi et je jouis longtemps. I1 avait emprisonne mon clito entre ses dents et aspirait très fort, et en même temps sa langue titillait le bout. Quel pied je pris!
Quand ce fut fini, il se releva et me sortit son engin. Quel beau morceau qui grossissait a vue d’œil! Je me mis a le caresser et, m’approchant, je le suçais tout en caressant ses couilles qui étaient très velues. Cela devait lui faire du bien car il me serra fort contre lui et jouit, me crachant un paquet de sperme bien crémeux dans le fond du gosier. J’aspirai tout et appuyai sur sa verge pour en extraire la dernière goutte. Que c’était bon! J’adore cela!
I1 voulut s’attaquer a mon corsage, mais pour cela il fallait que je me déshabille. Je lui proposai d’aller ranger ses affaires pendant que je préparais le repas du soir. C’est en amoureux que l’on prit notre repas: il m’embrassait, me pelotait, me caressait les fesses. J’étais un jouet pour lui. Jamais un homme ne s’était autant intéressé a moi. J’étais comblée et heureuse. Le soir dans ma chambre, c’est lui qui me déshabilla lentement comme pour mieux me savourer, et quand il enleva mon soutien﷓gorge, il devint comme fou. Je fus pelotée, caressée, sucée, baisée de partout. Nous nous sommes endormis tous les deux dans les bras l’un de l’autre, et depuis Olivier ne me quitte plus. n est très amoureux de ma personne, et moi j’en ai autant a son service. Je ne peux rien lui refuser!

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