par Agnès - 22 ans - coiffeuse
C’est lorsque je suis entièrement à la merci de mon partenaire que je jouis le plus intensément, c’est pour I ça que j’aime qu’on me ligote. Xavier le sait bien, et il en profite.
Lorsque je lui ai avoué mes fantasmes de soumission et de bondage, il s’est précipité vers son armoire pour en sortir une chaîne et des liens en cuir. Visiblement, j’étais tombée sur un amateur qui partageait mes goûts. Et surtout qui les avaient déjà pratiqués.
C’est ainsi que, pour la première fois de ma vie, je me suis retrouvée entravée par des liens, attachées sur le lit de mon amant. J’étais pendue par les mains et je cambrais mon petit cul en direction de sa queue. Il s’est approché. Ses mains ont écartés mes fesses. Son doigt a fait pression sur mon petit anneau, bientôt remplacé par son gland. D’habitude quand on me sodomise, j’aime tenir le membre de mon partenaire dans la main. Cela m’évite des pénétrations trop « brûlantes » mais là, je n’avais aucun contrôle sur ce qui allait se passer. J’allais me faire enculer et je pressentais que Xavier serait particulièrement sauvage. J’avais bien jugé
Cette ordure m’a fait exploser le cul d’une seule poussée, s’enfonçant pesamment entre mes fesses défoncées. Un hurlement m’a échappé. Par réflexe, j’ai voulu porter les mains derrière moi pour interrompre cette intolérable pénétration. Mais il n’y avait rien à faire, j’étais ligotée, j’étais à sa merci.
Il en profité le salaud, abusé même, devrais je dire. Xavier me limait comme un cinglé, ses mains tordant les globes de mes seins en tous sens, son sexe forçant mon anneau avec la plus grande violence. J’avais les reins en feu lorsqu’il a enfin craché son sperme. Ca n’a pas suffi à calmer ma brûlure, mais cela m’a fait un bien fou.
J’étais brisée intérieurement et je pleurais malgré moi. Je n’étais plus une femme mais un objet dont l’amant peut disposer à sa guise. Mes liens me faisaient mal aux poignets et mes bras étaient tout engourdis au dessus de ma tête. Le plus incroyable, c’est que j’étais heureuse d’être dans cette humiliante situation.
Xavier, qui connaît bien le processus de la domination, m’enfonça encore plus profond dans les méandres de mon vice masochiste. Il retira brutalement sa queue d’entre mes fesses. Elle était encore à moitié enflée et luisante de la liqueur visqueuse qui huilait mes intestins. Xavier l’a prise en main. Il est venu se placer face à moi, sa bite puait et j’avais envie de vomir. Il a posé son gland sur mon visage, le passant sur mes joues, dans mes cheveux. Puis il l’a posé sur mes lèvres, le pressant avec insistance pour que je l’avale. De grosses larmes se sont mises à couler sur les joues. Ma bouche s’est ouverte, sa verge au goût épicée s’est frottée contre ma langue avant de s’enfoncer tout au fond de ma gorge.
Avec beaucoup de lenteur, il a commencé à me limer la bouche.
Les mains liées, je ne pouvais pas branler cette belle hampe ni toucher ses grosses couilles velues qui venaient me frapper le menton à chaque enfoncement. J’étais juste le réceptacle passif de cette belle queue qui avait repris toute sa dureté. Je n’étais qu’une femelle dotée de trois orifices à plaisir, trois trous soyeux destinés à recevoir le plaisir spermatique de mon maître et amant.
Et ne croyez surtout pas que je regrette cette douloureuse expérience. Bien au contraire, c’est la plus bouleversante de ma vie d’esclave.
bilan sexuel de 4 mois d'hormonothérapie
Il y a 3 mois
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire