Jérôme, 30 ans, Nice
Par annonce ma femme et moi avons trouvé ce que nous cherchions: un ou une sadique, expert, pervers et possédant tout le matériel nécessaire pour en faire bénéficier Marjolaine.
Ma femme est douce, jolie, elle a 28 ans. Vous pourriez me dire que pour pratiquer des jeux sur elle, la couvrir de pinces, la bonder ou la fouetter, je pouvais le faire moimême. Je répondrai non. Un ou plusieurs tiers expérimentés et raffinés pour faire souffrir et avilir une femme, sont indispensables.
Après avoir pris rendezvous, nous nous sommes rendus au domicile des époux Jean et Monique, respectivement âgés de 38 et 40 ans qui promettaient des sévices variés avec un zeste d’érotisme pour faire supporter la douleur. Un programme qui, quoique sans détail annoncé, avait eu 1e plein accord de Marjolaine, et, évidemment le mien. Nos hôtes nous ont reçus en entière nudité.
Après avoir fait traverser leur villa, nous avons pénétré dans un vaste jardin, clos d’une épaisse haie de tamaris. Nous étions en Juillet et le soleil dardait.
J’ai été invité à m’asseoir sous une fraîche tonnelle proche d’une piscine tandis que Monique intimait l’ordre à ma femme de se mettre nue.
Une minute plus tard des bracelets munis d’anneaux entouraient ses chevilles, ses poignets et son cou.
Les tourmenteurs l’enchaînèrent ensuite bras et jambes écartelés en plein soleil entre les poteaux d’un portique. Monique lui mit un bâillon boule dans la bouche avant de lui poser sur chaque mamelon et sur chaque lèvre de son sexe, une pince d’acier qui devait drôlement serrer, si je me fiais à la grimace de ma femme. Quand à Jean il s’occupait de lui introduire dans l’anus un godemichet conique maintenu en place par de puissants élastiques, et il mit ensuite en marche un moteur faisant doucement tourner la plate-forme sur laquelle était installé le portique.
Nos hôtes me rejoignirent sous la tonnelle et m’offrirent de me baigner, je répondis que je n’aimais pas l’eau. Nous dégustions des boissons glacées en regardant ma femme se dorer doucement au soleil. Je devrais dire cuire sous le soleil qui était à son zénith.
Marjolaine, quand son circuit la mettait face à moi, me lançait des regards tantôt furibonds, tantôt implorants. Je n’en avais cure et mes hôtes encore moins. Ceux-ci me proposèrent d’inviter leurs deux beaux frères à assister et participer aux supplices, en cours et à venir, de Marjolaine. Bien entendu je donnais mon assentiment.
Au bout d’une bonne heure à parler de choses et d’autres en attendant l’arrivée des beauxfrères, mes hôtes allèrent délivrer ma femme. Elle était aux troisquarts dans le cirage. Sa peau du front aux orteils était rouge comme une écrevisse, et ses yeux ruisselaient de larmes sous la douleur des pinces qui faisaient perler des gouttes de sang à ses mamelons.
Les deux beauxfrères arrivèrent. C’étaient des garçons d’une trentaine d’années, taillés en athlètes. Ils aidèrent à transporter ma femme au soussol de la villa qui était aménagé en salle de tortures. Les murs et le plafond étaient peints en noir, ce qui en faisait un lieu sinistre. Je ne décrirai pas les objets suspendus dans des armoires vitrées. Un inquisiteur du moyen âge ne les aurait pas dédaigner. Je n’ai pas ose demander à mes hôtes si leurs clients acceptaient de les subir, pour ma femme je m’en inquiétais encore moins.
Dans la cave il y avait un autre genre de portique, en forme de croix de Saint-André. Articulé en son centre, il pouvait prendre de multiples positions. Les trois hommes et Monique y enchaînèrent Marjolaine toujours bras et jambes écartés. Elle se débattait et ses yeux me foudroyaient, me disant qu’elle en avait assez d’être tourmentée. Sachant que sa souffrance n’était pas atroce, je me contentais de lui sourire. Jean accrocha des poids de cent grammes à chacune des pinces et la roue commença sa rotation dans une multitude de sens. Là, Marjolaine ne devait pas jouir de plaisir, surtout avec les poids qui virevoltaient suivant la position du portique. Ses gémissements de plus en plus intenses malgré la boule obstruant sa bouche, me faisaient de la peine, et en même temps me réjouissaient. Elle avait voulu du sadisme, eh bien elle était servie.
En effet la croix ayant été immobilisée à l’horizontale, chacun de ses tourmenteurs une grosse bougie allumée à la main, a arrosé ma femme de cire brûlante du visage aux orteils et tout son dos. Les bougies étant de différentes teintes, Je trouvais du plus bel effet cette carapace de bleu, de jaune, de rouge, de vert et de blanc mêlés.
J’aurais voulu faire des photos, mais mes hôtes n’acceptaient pas, ils m’en avaient averti au départ. Ensuite les trois hommes à tour de rôle, qui dans le sexe, qui dans l’anus après l’avoir débarrassé du cône agrandisseur, prirent possession de la chair mise à leur merci. Monique entre temps baisait et salivait à pleine bouche dans celle de ma femme dont elle avait, là aussi enlevé le bâillon. I1 m’aurait été agréable de défoncer sa croupe qui se présentait à deux pas de moi et ma verge tendue à faire craquer la braguette de mon pantalon m’y poussait. Mais là encore je respectais l’accord préalable pas de rapport sexuel de ma part avec l’un ou l’autre de mes hôtes.
La séance s’est poursuivie par le retour de ma femme dans le jardin, bouche bondée, pinces et poids restés en place et à nouveau enchaînée entre les bras du portique. Elle avait en plus une grosse bougie allumée et coincée dans son vagin, ce qui bientôt mettrait le feu aux poils de son pubis sur lequel Monique avec un sourire sadique avait vaporisé de bonnes giclées d’alcool à brûler;
Le soleil qui dardait encore des rayons très chauds faisait fondre peu à peu la cire sur le corps de Marjolaine et quand elle glissait dans son entre cuisse elle s’échauffait encore au contact de la flamme de la bougie.
Un spectacle attrayant qui préludait à une centaine d’autres que m’avaient promis Jean et Monique si nous revenions pour de prochaines séances.
Tandis que ma femme tournait sur le portique, je jouissais du spectacle en dégustant les boissons offertes par mes hôtes et je me disais que de gré ou de force je leur ramènerai ma femme pour d’autres tourments.
Mais je n’aurai pas à user de force. Quand après le souper mes hôtes ont détaché Marjolaine du portique et l’ont portée, anéantie et vidée de toute sensibilité dans notre voiture pour retourner chez nous, je n’en ai pas cru mes oreilles lorsque Marjolaine a murmure:
- Mon amour, prometsmoi de me ramener ici, je v eux goûter à d’autres sensations
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