mardi 21 octobre 2008

Dressage d’une vielle fille récalcitrante

par Rolande, Deuil la Barre

A 65 ans mon père a pris en mariage une très jeune femme de 23 ans.
Il était fou d’elle, à l’époque j’avais 42 ans, vieille fille devenue opulente et ne songeant plus à me marier. J’étais la désolation de mon père. De caractère capricieux, je me laissais vivre, et tapais du pied comme une gamine. J’étais devenue une femme insupportable, et difficile à vivre.
Ma nouvelle belle﷓mère était très autoritaire, quand elle se fâchait, ça me faisait frissonner‘ de crainte.
A la suite d’une grosse dispute, mon père me dit: J’en ai soupé de tes comédies, aussi j’ai donné l’autorisation à Anne de te corriger sur les fesses, si cela te déplaît tu fais tes valises, de toute façon j’ai refait mon testament en sa faveur, tu n’as plus rien à foutre ici, si ce n’est d’obéir.
J’avais un peu peur de la suite, mais je décidai de me défendre dès le lendemain en traitant Anne de salope et de voleuse de biens.
Ce fut le début de mon calvaire. Je reçus une violente paire de claques qui me fit trébucher. Me relevant aussitôt je plongeais sous la table, d’où elle me fit sortir en me tirant par les cheveux.
Puis elle me donna l’ordre de baisser ma culotte, prise de panique je m’exécutais, et la culotte aux mollets, je fus courbée sur une table basse. La robe relevée, mes grosses fesses à l’air, je reçus pour la première fois une magistrale fessée qui me fit honte, surtout vu l’âge de celle qui me l’administrait, et le pire, devant notre petite bonne, une noire que mon père avait engagée pour servir sa précieuse petite femme.
Quand ses mains lui firent autant mal que mes fesses, elle demanda à la noire de me mettre au cachot, à poil et dans le noir, avec un morceau de pain et une gamelle d’eau. Je finis par m’endormir roulée dans une couverture.
Au petit jour, c’est ma belle﷓mère qui arriva avec un pot de chambre, ce fut très humiliant pour moi d’être obligée de faire mes besoins devant elle. Avec la spatule elle frappait dans ses mains en me disant que mon dressage commençait. Elle me frappa plus de vingt fois sur les fesses je rampais devant elle en lui demandant pardon, je pleurais comme une enfant, mais elle souriait, triomphante. Puis elle me prit sur ses genoux, malgré mon poids et m’embrassa à pleine bouche. Pour moi, c’était la première fois que mes lèvres étaient en contact avec celle de quelqu’un d’autre, je n’avais jamais embrasse de cette façon, ni homme m femme.
Pendant dix jours je subis ce dressage le soir j’étais couchée comme un bébé, puis elle me donnait un biberon d’un lire de lait que j’étais obligée d’avaler bien chaud. Elle me prenait la bouche en me disant: « bonne nuit, et ne fais pas pipi au lit, sinon gare à la fessée ».
Bien sûr le matin j’étais trempée et comme le lait me dérangeait les intestins, je vous laisse imaginer le reste. La petite bonne arrivait la première, et découvrant toutes ses saletés, elle me frottait le visage avec mes couches, c’était une chose terrible pour moi.
Après mon petit déjeuner, il fallait que je lave mes couches, et ensuite que je fasse ma toilette en présence de la bonne qui était plus violente que ma jeune belle﷓mère. Elle me pinçait la poitrine, s’amusait follement à me prendre la température, ou à me mettre un doigt dans l’anus histoire de voir s’il était bien net, puis elle me faisait lécher son doigt.
Un jour belle-maman prit la suite. Elle me posa des questions sur mon éducation sexuelle en coulant une main dans ma culotte, et sans aucune gêne me fit écarter les jambes.
Je vais te faire découvrir ce qu’est la jouissance.
Elle me fit ma première branlette pendant que je lui tétais un sein. Je trouvais cela très agréable, tant la branlette que le bout du sein. Le soir même, mon père n’étant pas là, je me retrouvais dans son lit, j’appris à lui donner du plaisir avec ma langue
Puis Anna me laissa pendant une semaine aux bons soins de la noire qui en profita pour me mettre dans son lit. J’étais obligée de lui donner du plaisir, mais pour moi c’était avec dégoût, car elle est très grosse, et elle puait De mettre ma tête entre ses grosses cuisses qui sentaient fort, me donnait des nausées. Puis elle voulut faire de moi une parfaite femme d’intérieur, toutes les raisons étaient bonnes pour me donner une fessée. Souvent, mon père assistait à ma correction, ma belle﷓mère disait que ca le rendait amoureux, et qu’elle en profitait largement.
Un soir ils obligèrent la noire à me faire une minette devant eux, c’était très très bon, et c’était la première fois que l’on me faisait plaisir.
Puis, sans me prévenir, on me présenta un homme d’une cinquantaine d’années. Devant lui le soir même, je fus troussée et fessée. Deux mois plus tard je devenais sa femme et dans la même nuit je perdis mes trois pucelages, car ma bouche encore vierge de toute pénétration phallique, y passa aussi et je dus avaler le sperme.
Il me donnait souvent sa grosse queue à sucer, et il trouvait que j’étais douée. On taisait chambre à part, j’étais heureuse, mais pas comblée, il me manquait les fessées et j’en parlai à mon mari. Il accepta que je prenne une gouvernante.
Maintenant, tous les jours elle me donne une magistrale fessée, ensuite mon mari vient pour que je le suce, mais ce qui me déplaît depuis quelques jours c’est que je dors tous les soirs enfermée dans un cachot. Souvent après qu’il se soit fait sucer, ils emmène la noire. J’ai fini par comprendre qu’elle nasse ses nuits avec lui. Je suis cocue et battue mais je me console à 1’idée que très bientôt je vais en vacances chez ma jeune belle﷓mère devenue veuve depuis peu. Je suis prête à divorcer pour redevenir son esclave.

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