par Geneviève 26 ans Serveuse
Mon mec est patron d’un bar de nuit. Lorsque je sers ses clients, il m’oblige à porter un petit tablier de soubrette en dentelle blanche. Dessous, je dois mettre une robe noire très courte. Des bas résille sur mes jambes.
En fait, j’ai plus l’air d’une pute que d’une serveuse fringuée comme ça. Bien entendu, c’est ce qu’il cherche. I1 sait que, les soirs où je suis là, il double son chiffre d’affaire. En effet, ses clients sont toujours à tourner après moi. Au début, comme j’étais la nana du patron, ils n’osaient pas aller trop loin. Juste quelques plaisanteries salaces. Parfois une main au cul. Mais ils ont vite remarqué que ses manières obscènes ne me laissaient pas indifférente et semblaient même m’exciter. Et comme mon mec laissait faire...
Un soir, ils ne se sont plus gênés Ils m’ont déchu de ma dignité de femme pour faire de moi une femelle, une chose sans volonté, juste bonne à assouvir le désir des mâles. Ca a commencé tout bêtement: lorsque je suis passée près du comptoir, l’un des clients m’a prise par le poignet et m’a collée contre lui. Sa jambe était passée entre les miennes et son genou se frottait avec insistance sur mon sexe. I1 m’a obligée a poser les doigts sur son sexe. Les autres consommateurs étaient venus m’entourer eux aussi et me palpaient les seins et les fesses sans se gêner. Derrière le bar, mon mec regardait sans réagir.
C’est à cause de ça que les autres se sont déchaînés.
On me jeta en avant, sur le ventre. En chutant, je me fis très mal aux seins, mais ce n’était rien comparé à ce qui allait suivre. Une cordelette de cuir, sortie de je ne sais où, me ligota les poignets dans le dos. Puis on me hissa sur le zinc froid Quelqu’un releva ma jupe sur mes fesses. Je dus me laisser faire. A ma grande honte, je haletais d’excitation. Je tremblais de désir Un des clients s’en est aperçu. I1 m’a craché au visage pour me marquer son mépris. Sa salive me coulait sur les ailes du nez. J’ai répondu par un large sourire. De la pointe de la langue, j’ai bu cet humiliant hommage.
Alors qu’est ce qu’on lui fait à cette pute ? a demandé un autre client.
A quatre pattes sur le. bar j’attendais avec angoisse le verdict. Je savais qu’il serait terrible. La trouille me tordait tellement les tripes qu’un pet m’a échappé.
· Aux chiottes, a hurlé quelqu’un, balancela aux chiottes cette merdeuse.
Les autres ont éclaté de rire. Des mains se sont posées sur moi et m’ont soulevée sans douceur. J’ai poussé un hurlement de terreur. Comme si le premier bondage n’avait pas été assez humiliant, on m’attacha, sur la cuvette des toilettes cette foisci. Je pleurais. J’avais honte de moi.
Je crois même que j’ai appelé ma mère. Dans mon dos les clients défilaient les uns après les autres. Leurs réactions étaient différentes, certains faisaient comme si je n’étais pas là et me pissaient dessus. J’avais la raie des fesses et le dos pleins d’urine. Je puais horriblement.
Cela n’a pas dégoûté celui qui m’avait craché à la face, le plus terrible. Je l’ai entendu roté dans mon dos. Puis il m’a pris par les cheveux et m’a enfoncé la tête dans la cuvette des WC avant de tirer la chasse pour me noyer la tête. Les autres se marraient. Celuilà je savais qu’il était le plus vicieux de tous. Je savais aussi qu’il avait un joli paquet entre les cuisses: je l’avais vu une fois se faire sucer par une pute qu’il avait amené au bar I1 a sorti son gros engin et les autres ont applaudi. J’ai entendu mon mec lui donner l’autorisation de me baiser.
Juste après j’ai senti son énorme gland se poser contre mon anus. Lorsqu’il s’est enfoncé, il a poussé si fort que je me suis à nouveau trouvée le visage plongé dans l’urine et comme je hurlais de douleur, j’en ai avalé. C’était immonde !
Ca me brûlait à l’intérieur. J’ai même cru qu’il m’avait déchirée tellement il était brutal. I1 m’a limé le cul pendant un temps interminable. A chaque enfoncement, je me retrouvais le visage dans la pisse. Ho mon Dieu, comme ce fut atroce !
Mais le pire de tout, c’est que j’ai aimé ça. OUI ! j’ai aimé être traitée ainsi. J’ai connu l’orgasme sous cette ignoble sodomie qui me déchirait le cul.
A la fin, j’ai honte mais je l’avoue, c’est moimême qui en demandait encore.
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