par Gilberte, 26 ans, Brest
J’en suis encore à me demander comment avec un mari aimable et prévenant, j’ai pu aller m’enticher d’un autre homme.
Pour être franche, c’est qu’au contraire de mon mari, un gros balourd, mon amant est svelte avec de la prestance, possède une verge grosse et puissante et surtout me comble de cadeau, car a est fortuné. En contre partie il dispose de mon corps mince d bien tourné avec des seins fermes et pointés haut, et de mon joli visage de blonde aux yeux bleus; tout un ensemble qui fait se retourner les mâles sur mon passage.
Mon mari voyageur de commerce étant absent du lundi au vendredi et je pouvais facilement rencontrer Edmond mon amant, ces jourslà. Avec les deux j’étais bien servie question charnel; ils me pratiquaient sous toutes les formes.
Je n’avais pas à m’inquiéter pour mes toilettes, l’un et l’autre ayant les mêmes goûts, ils me demandaient de m’habiller très sexy avec bas à jarrets. soutiengorge à fenêtres et slip assorti.
Je ne sais de quelle source il le tenait, mais mon mari certain jour, d’une voix fort décontractée, me fit part qu’il savait que j’avais un amant. Sans me laisser le temps de réagir, il a poursuivi:
· Ma chérie, je ne m’inquiète pas pour notre union et notre amour Cela ne les ébranlera pas. Tu te fais baiser par ce type uniquement pour avoir de l’argent et tu n’est pas la première épouse qui agit comme une putain.
· J’exige dorénavant; à moins que tu ne veuilles divorcer, que tu sois soumise à tous mes fantasmes, en un mot, d’être mon esclave sexuelle. D’accord, mon bel amour ?
Je ne voyais pas de raison de refuser son jeu. Ma position souffrirait d’une séparation ou d’un divorce. J’ai donné mon accord, heureuse de m’en tirer à bon compte. Du moins je le croyais.
Cela se passait un samedi et nous sommes allés au restaurant, vêtue comme mon mari me l’avait demandé: jupe très courte, échancrée sur le devant, bas à mi-cuisses et le pubis dénudé.
Le regard des autres convives s’attardait davantage sous ma jupe et sur mes seins visibles sous un corsage de tulle, que sur leur assiette.
Le soir, mon mari me caressa délicieusement et j’attendais son habituelle possession, lorsque se mettant à genoux prés de mon visage, nous étions allongés sur le lit, il présenta son sexe à mes lèvres et le poussa dans ma bouche. Ce n’était pas la première fois qu’il me faisait faire une fellation, mais ce soir là je compris que rien ne serait plus jamais pareil, rien qu’au regard qu’il posait sur moi.
Avec humilité j’ai donc sucé sa verge. Mais au moment de l’éjaculation, il l’a retenue et m’a faite mettre à quatre pattes pour me pénétrer alternativement le vagin et l’anus sans douceur, mais sans excessive brutalité. C’était agréable malgré ma figure écrasée sur la couverture parce qu’il appuyait fortement ses mains sur mes épaules.
Je levais haut la croupe pour mieux la présenter à l’introduction et mon mari m’abreuva de r6flexions vulgaires, ce qui n’était jamais arrivé:
· Tu vois salope, je te baise comme une bête, même pas comme une pute. J’espère que tu penses à ton amant et bientôt tu penseras à d’autre et à l’argent qui me feront gagner
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