mardi 21 octobre 2008

Comme une chienne

Raphaëlle, 25 ans, Sans emploi

Mon mari et ses amis aiment me maltraiter. Ils ment me traiter comme une chienne. Il faut dire que Je suis une chienne. Je le suis depuis toujours.
J’ai toujours aimé être humiliée et maltraitée. Je ne suis qu’une «vide-couilles» comme dit mon mari à ses amis lorsqu’il leur propose de me baiser. Ma seule ambition est de donner satisfaction, mon vice est de plaire aux hommes. Après, ils me « tirent » comme ça leur plaît. Mon mari sait que je suis vicieuse. Il n’a jamais cherché à me garder pour lui seul, il sait d’ailleurs que je le trompe puisque je ne me refuse jamais à un homme, ni à une femme.
Dès mon adolescence j’étais comme ça. Je sortais avec tous les mecs qui avaient envie de moi. Beaucoup se battaient pour moi. Des filles venaient me brancher parce que j’avais piquer leur petit ami. Bien entendu, j’avais déjà une sacrée réputation de salope au lycée et dans tout le quartier. J’étais fière d’être prise pour une moins que rien.
Un jour, je suis tombée sur un type un peu plus vieux que mes petits amis habituels. Il m’a emmenée sur sa moto voir ses copains. La veille, il m’avait un peu malmené les seins avant de me sodomiser. Ce jour là, il m’invita à ma première partouze. Ses potes étaient aussi vicieux que lui. D’abord il a fallu que je les suce tous puis ils m’ont baisée. J’ai dérouillé et j’ai aimé ça. J’ai adoré les remarques obscènes de ces garçons qui se servaient de moi pour leur plaisir. J’ai adoré le foutre dont il me souillaient le corps. C’ est ce jour là que j’ai appris à aimer à souffrir.
D’homme en homme, d’expérience en expérience, j’ai fini par rencontrer de nombreux sadiques. L’un de mes premiers bourreaux était militaire, il me faisait toujours l’amour vêtu de son uniforme et parfois me menaçait de son arme. Il était très viril, très méchant aussi et c’est i lui que je dois la profonde cicatrice qui me barre l’intérieur des cuisses. Il aimait me ligoter de manière très serrée, comme il avait appris à le faire dans les commandos. Les liens me pénétraient très profondément les chairs et me marquaient la peau.
Lorsque j’étais totalement à sa merci, il me torturait avec une incroyable dureté. Chaque fois, je finissais par m’évanouir. Je crois que j’aurais pu y laisser ma peau. Heureusement pour moi, mon militaire a été muté en Afrique où il doit sévir encore.
Après lui, j’ai été l’esclave d’une femme, une antiquaire prénommée Marie. Avec e]le les tortures étaient beaucoup plus psychologiques. Elle avait l’art d’humilier avec raffinement. En fait c’était au moins aussi douloureux, et plus jouissif encore pour une salope comme moi. Le seul ennui est qu’elle était mortellement jalouse et ne supportait pas qu’un homme me touche. Moi, j’ai le besoin essentiel d’une queue. J’avais beau me branler à grands coups de gode, cela ne suffisait pas.
C’est pour échapper à l’emprise de Marie que j’ai accepté d’épouser celui qui est devenu mon mari.
Lui c’est le maître idéal, celui qui comble tous mes fantasmes, assouvit tous mes vices.
Lorsque je l’ai rencontré, j’étais en compagnie de Marie. Sans gêne, comme s’il savait déjà que j’appartiens à celui qui me désire, il a posé une main sur ma croupe. Son doigt s’est enfoncé dans ma raie, écartant mes globes fessiers, cherchant à me forcer l’anus. J’étais en transe, totalement subjuguée par cet incroyable sans gêne. Marie, bien sur, ne l’entendait pas ainsi. Furieuse, elle s’est jetée sur cet inconnu qui lui soufflait sa protégée. Il l’a repoussée d’une gifle magistrale. Moi, j’avais déjà fait mon choix: je savais que je suivrais cet homme.
Une main sur la joue, les larmes aux yeux, Marie m’a vu m’agenouiller face à l’homme et lui sortir la queue. J’avais tellement envie de le sucer. Bien entendu, l’homme s’est laissé faire, savourant son triomphe. Marie est partie et je ne l’ai jamais revue.
Depuis j’ai épousé cet homme qui est devenu mon nouveau maître. Lui me laisse toute la liberté pour assouvir mes vices, pourvu que je comble les siens. Lui, il me traite comme j’aime... Comme une chienne!

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