mardi 21 octobre 2008

Les Sadiques espagnols

Je viens d’avoir 35 ans, un jour j’ai assisté dans un sex-shop, à la projection d’une cassette porno qui a sans doute déterminé de ce qui suit.
Le film m’a révélé une chose que je n’avais jamais vue, une séance S.M, entre une femme, son amant sadique et son mari, ce dernier soumis par l’amant. Cette vision m’a fait un effet terrible. Pendant quelques temps chaque fois je me masturbais je ne pensais qu’à ça. Le sexe de l’amant était fantastique, et je crois que c’est cela qui me faisait bander plus que tout autre chose. Peu à peu c’est devenu une obsession, mes fantasmes ont évolué vers l’homosexualité et le désir d’être soumis par un vrai mec.
L’année dernière j’ai passé quelques jours de vacances en Espagne. Après d’être renseigné sur les endroits chauds de la ville où je me trouvais, je réservai une chambre à l’hôtel. Je n’avais pas vue sur la mer, mais je n’étais pas venu pour elle. Impatient, je fis une toilette minutieuse, et vers minuit, j’enfilais un boléro et un short extrêmement court, ras le pet, et il était visible que je n’avais aucun sous-vêtement dessous.
Dés que je fus dans l’ascenseur le liftier se retourna et me fit une réflexion. .
· Monsieur va prendre le frais, puis il ajouta : dans cette tenue vous allez vous faire agresser !
· C’est peut-être ce que je cherche, lui ai-je répondu, avec mon plus eau sourire.
A ce moment là il plaqua une main sur mes fesses et murmura :
· J’ai fini mon service, ça vous plairait de venir prendre un verre chez moi ? Je loge dans une chambre au sous-sol de l’hôtel, j’ai tout le confort.
J’ai senti que ma verge répondait pour moi, elle grossissait dans mon short étroit. J’ai accepté.
Quand nous sommes entrés dans sa chambre, de suite il m’a offert un verre, puis il m’a fait m’installer devant la télévision et m’a demandé si ‘aimais la vidéo porno. Je ne sais pas s’il avait deviné mon fantasme, car pour le choix de sa cassette, il a tapé dans le mille. Pendant que je me régalais, il est allé faire sa toilette.
J’étais aux anges ; sur l’écran un noir dont le sexe érigé ne démentait pas la renommée faite aux gens de cette race, se faisait sucer par un jeune blanc. Un autre black fouettait violemment le suceur sur les fesses. Je n’en pouvais plus. Mon short très court me permit de saisir mes parties génitales que je mis à l’air libre. a verge était déjà toute congestionnée.
La porte de la salle de bain s’ouvrit, et dans l’encadrement je vis apparaître mon liftier en robe de chambre blanche immaculée. Il vit tout de suite où j’en étais de mon excitation. Il émit un sifflement et ouvrit largement son vêtement. Dessous, il était seulement vêtu d’un mini string g ficelle. Le tissu extrêmement fin e son cache-sexe cachait difficilement les choses généreuses qu’il contenait. Ce fut à mon tour e siffler d’admiration.
Il s’approcha et vint entre mes jambes que je tenais écartées. Je n’hésitai pas une seconde et collai ma bouc e sur le tissu. Celui-ci était si fin, qu’il me semblait avoir ses couilles ans la bouche. Tandis que je le léchais, son érection devenait de plus en plus raide, et c’est alors que la pression de sa bandaison fit casser la ceinture du slip.
Le phallus jaillit, fier et majestueux.
Je ne vous dis pas l’effet que cela m’a fait entre les jambes. Mes couilles me faisaient mal, ma bite congestionnée semblait vouloir exploser. J’avalais sa bite énorme et je pris dans mes mains ses couilles puissantes pleines de vie.
J’enveloppais le gland avec ma langue et 1 aspirai gloutonnement, je tirais sur la peau u prépuce et je mis tout mon savoir pour satisfaire ce mâle.
Je fus récompensé par une giclée épaisse et abondante. Il me félicita et me demanda si je voulais encore boire quelque chose de frais. Il me fit remarquer que la vidéo m’avait mit dans tous mes états, et que je devais aimer être puni. Je rebondis que oui. Il devint subitement un autre homme, il m’empoigna, et m’arracha mes vêtements. Il enleva son slip me fit pivoter sur moi-même, me caressa les fesses, terminant par une fessée sévère sur le cul. Ici salope ! tu vas m’implorer à genoux que je te punisse sévèrement. Je m exécutais, tremblant devant la détermination de ce maître incontesté.
Je me traînais au sol et vint le supplier, lui demandant de me maltraiter, puis me relevant sur les genoux, je lui léchais les couilles en signe de soumission. Il se retourna et me dit :- Putain, lèche-moi le cul, écarte bien mes fesses et lèche profondément la raie. Ce fut merveilleux, je léchais et il m’insultait- Je bandais comme un taureau, il me semblait que mes couilles gonflaient de plus en plus tellement elles étaient lourdes.
C’est alors qu’il m’ordonna de rester à genoux et de me masturber devant lui. Je m’astiquais furieusement dans cette position de pute. Puis, il me dit:
· Demain soir je viendrai dans ta chambre, avec un autre liftier, pour te punir, c’est un gars qui aime faire souffrir, il possède tout le matériel pour ça. Rentre chez toi salope, et à demain.
Aussitôt dans ma chambre, je me pris à nouveau les couilles, a verge et avec frénésie je me masturbais en pensant à ce qui m’attendait.
Le lendemain vers minuit, comme promis, les deux mâles étaient chez moi. Le deuxième liftier était très bronzé, ses yeux verts me transperçaient. Je baissai les miens sur son bas-ventre. Je fus stupéfait par le renflement de son pantalon moulant, il y avait là quelque chose de monstrueux. Il me fit signe de me dévêtir.
· Tu vas descendre nu dans l’ascenseur, les mains dans le dos avec des menottes, et si nous rencontrons quelqu’un nous lui dirons que nous avons trouvé un exhibitionniste dans les couloirs, que nous allons punir, d’accord ? Par bonheur nous ne rencontrâmes personne.
Une fois dans une salle du sous-sol, ils m’ont suspendu par les poignets à une poutre. Ils me caressaient les fesses ; je me mis à bander comme un cerf. Je reçus alors une paire de gifles et je vis que le bronzé prenait un martinet. Je reçus les premiers coups sans me plaindre. Puis ils me caressèrent de nouveau, et se mirent à me tirer sur les couilles en m’y attachant des poids de plus en plus lourds. Je souffrais le martyre, je me plaignais doucement. lors ils m’enlevèrent les poids, me détachèrent, et je dus prendre en bouche l’énorme sexe du bronzé qui s’était allongé jambes écartées sur un divan. Me voilà à genoux devant lui, je passais ma langue autour de ce gros gland violacé et merveilleux. Je croyais qu’il allait exploser dans ma bouche tellement sa bandaison était forte. Mais cet homme savait parfaitement se maîtriser, il me traita de salope et m’ordonna de me retourner et de m’appuyer au divan.
C’est alors que je le suppliais de m’épargner, je ne pouvais prendre ce membre aussi gros
· Faut que tu y passes, c’est pour cette seule raison qu’il est venu, pour t’éclater la rondelle, m’a rétorqué le premier liftier.
Ils m’ont enduit le cul d’un produit gras, et j’ai senti l’énorme gland forer mon entrée. J’étais crispé, j’avais peur, mais je bandais quand même. j’en ai vu trente-six chandelles tandis qu’il me pénétrait et tout le temps qu’il m’a baisé; j’ai couiné comme une pute. C’était atroce et merveilleux en même temps. Puis il a éjaculé au plus profond de moi.. J’ai dû ensuite les vider chacun à leur tour avant de pouvoir remonter dans ma chambre. Là, je me suis masturbé comme un fou.
Je suis resté une semaine de plus à l’hôtel, et toutes les nuits j’ai subi avec ravissement de folles séances sado maso, et c’était autrement mieux que sur les films vidéos, là j’étais un des acteurs. Je suis très fier de cette expérience.

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