par Monique, 49 ans Niort
C’est la première fois que j’écris à un journal, éprouvant le besoin de faire partager ce qui m’arrive alors que jusqu’à présent, ma vie a été vide, aussi bien sur le plan sexuel qu’affectif.
Voilà, j’ai rencontré un homme, un vrai, qui m’a fait découvrir des facettes de la vie dont j’étais loin de soupçonner l’existence. Il a un charme immense dans les yeux et dans chacun de ses gestes, dans sa voix. Il le sait et en joue. Cet homme est devenu mon maître, et je suis son esclave.
Au tout début, nous avons eu des relations normales, puis nous avons commencé à porter des anneaux au sexe, des épingles à linge. J’ai eu du mal à accepter d’être ainsi traitée, étant une femme de caractère, fière.
Lorsque mon maître m’a demandé de ne plus porter de culotte, comme c’était l’un de mes fantasmes, ce fut chose facile. C’est tellement agréable de sentir l’air passer sous ma jupe ! Aujourd’hui, je ne porte plus que des jupes courtes, sans rien dessous, pas même de soutiengorge, j’aime avoir la pointe des seins qui flotte contre le chemisier.
Mon maître m’a acheté des boules de geisha ainsi qu’un slip muni d’un gode à l’intérieur. Je porte cet attirail, cela le fait bander et me fait mouiller, surtout lorsque je pense à son sexe rond, chaud, doux, merveilleux.
Lorsqu’il est en moi, je jouis plusieurs fois, je ne sais plus ou je suis., j’ai l’impression de n être plus qu’un sexe empli d’une verge, qui, lorsqu’elle atteint l’orgasme, me fait partir aussi, rien qu’a entendre son râle de plaisir cela me fait chaud dans les reins, c’est super ! Je suis enfin heureuse ! L’autre jour, je suis descendue dans le bourg, nue sous mon imper. J’ai traversé des zones en travaux et tous les ouvriers me regardaient, comme s’ils se doutaient de quelque chose, cela m’a excitée et stressée en même temps.
Je me rendais à une séance de torture. Arrivée dans la chambre, mon maître m’a bandé les yeux et m’a déshabillée. Une fois, il est parti à Nantes et je suis restée attachée sur une chaise ainsi, manche du fouet enfoncé dans le vagin et la vessie bien pleine (il m’avait fait boire beaucoup d’eau avant ). Lorsqu’il est rentre, j’étais gelée ( il n’y avait plus de chauffage ) et j’avais fit pipi partout. Il m’a prise sur un miroir posé à terre, pour que nous ayons une vue superbe.
Mais cette fois il m’a attachée par les pieds, jambes ouvertes, tête pendantes et j’ai vraiment eu peur. Il a commence à me frapper à la cravache. J’ai eu l’impression qu’il n’allait jamais s’arrêter, qu’il n’était plus luimême, comme entré dans un autre monde, et là, j’ai une trouille pas possible.
A ce moment je le hais, le maudis, car il me tait taire des choses dont j’ai honte et que je ne peux m’empêcher pourtant de taire. Lorsque les coups pleuvent et que j’ai trop mal, je lui demande d’arrêter, mais il ne m’écoute pas, alors j’arrive à un stade où je ne sais même plus si j’ai mal ou si cela me fait du bien. Lorsqu’il arrête enfin et passe ses mains sur mon corps, j’ai des frissons partout ses mains douces apaisant les brûlures du cuir.
Cet homme me tient par le sexe et je ne peux m’empêcher de le voir. Il m’a dit que bientôt il me sodomiserait, c’est pourquoi je soir, seule dans mon lit, je glisse un doigt dans mon anus en rêvant au jour où il sera bien décidé à mettre son sexe dedans, mais quand je pense à la taille de son sexe, cela me fait frémir d’horreur.
Il me prête des films pornos que je dois regarder lorsque nous ne sommes pas ensemble. Cet aprèsmidi j’en ai regardé un qui m’a procuré 2 orgasmes. Assise dans le canapé, je laisse glisser mon derrière au bord du coussin, et pose mes deux pieds, jambes bien écartées sur la table du salon et me masturbe en m’imaginant que mon maître est assis dans le fauteuil qui me fait face. J’éprouve un orgasme formidable dont j’ai du mal à émerger.
Je dois tout à cet homme: la découverte de l’acte d’amour, les tortures, le plaisir, tout ce qui constitue la VRAIE VIE, car avant je n’éprouvais aucune sensualité, j’étais nulle sur le plan de l’érotisme.
Mon corps, mes pensées, mon sexe, tout est a lui. Pour lui, ma chatte sera toujours grande ouverte. Je suis son objet, sa chose, son esclave à part entière. Je ne le remercierai jamais assez pour tout ce qu’il m’a révélé.
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