mardi 21 octobre 2008

SOUMISE UNE BANDE DE VICIEUX. Les fâcheuses conséquences d’un pari.

par Marie, 38 ans

Je vous remercie d’avoir publie ma lettre sous le titre « A la merci de quatre libertins ». Comme je m’y étais engagée, je vais vous raconter la suite de mon aventure.
Je vous rappelle qu’a la suite d’une partie de poker perdue face a mes deux collègues de travail, Gérard et Jean﷓Pierre, et a leurs femmes, Evelyne et Louise, je dois accomplir quatre épreuves pour récupérer quatre photos ou je suis entièrement nue, qui ont été prises le soir de ma défaite.
Apres le deuxième gage réalisé mi﷓octobre, qui m’a conduite a m’exhiber nue dans un night﷓club, j’étais complètement déboussolée. J’ai d’ailleurs passe aussitôt après un week﷓end épouvantable a essayer d’analyser ma conduite, et a comprendre comment j’avais pu en arriver la. J’étais décidée a tout abandonner, quoique puissent faire mes amis des deux photos restantes.
La semaine suivante, mes collègues de travail ne firent aucune allusion a ce qui s’était passe et se comportèrent très normalement a mon égard, et même, dois je dire, avec beaucoup de gentillesse. Cela continua d’ailleurs pendant trois semaines, et j’en vins a penser qu’ils estimaient avoir été trop loin avec moi et oubliaient » donc les deux dernières épreuves.
Mais, fin novembre, Jean﷓Pierre et Louise m’invitèrent a dîner en compagnie de Gérard et Evelyne. Je redoutais cette rencontre a cinq. Le repas se déroula dans une ambiance chaleureuse malgré ma tension, et je commençais a être rassurée. J’avais tort; après le café, Evelyne sortit une enveloppe kraft d’ou elle extirpa deux agrandissements 30 X 40 de mes photos. L’effet était saisissant: mon visage était bien visible et mes postures obscènes.
Evelyne dit alors d’un ton autoritaire:
· Tu n’oublies pas, ma vieille, que tu nous dois deux « petites gâteries »? Je t’avoue qu’on a bien aime te voir dandiner ton gros cul a la boîte de nuit, l’autre jour. II faudra faire aussi bien les prochaines fois si tu ne veux pas nous décevoir!
Je m’empourprai, réalisant toute la honte de la situation accentuée par les propos égrillards sur mes formes rebondies. Comme il y a un mois et demi, je tentais de discuter, de supplier que l’on arrête ce jeu pervers. Evelyne qui semblait mener la danse dit:
· Pas question! Tu as perdu, tu payes! Nous on veut vivre nos fantasmes avec toi jusqu’au bout de la dette. Tu montreras ton cul, ton sexe et tes seins là où on voudra et à qui on voudra!
· On va te laisser une chance, dit cependant Gérard. Comme tu aimes bien les cartes, on va étaler devant toi toutes les cartes de pique, du sept a l’as, plus le joker. Chaque carte correspond a un gage. Tu tireras tes deux épreuves et si tu sors le joker, tu es dispensée des deux dernières étapes.
Gérard dispose les neuf cartes face contre table, et Louise me tendit une liste des épreuves imaginées par ces vicieux. J’en restai pantoise, jugez﷓en vous-même:
7 Disputer un match du tournoi de tennis de mon club sans slip sous ma jupette.
8 Passer cinq minutes nue dans une cabine téléphonique devant la gare entre vingt et vingt﷓deux heures.
9 Me faire raser le sexe et l’anus.
10 Montrer mon sexe et mes fesses a cinq personnes inconnues dans la même journée.
Valet Aller dîner dans une brasserie d’une ville voisine avec mes quatre compères uniquement vêtue d’un pull court (et bien sur enlever mon imperméable).
Dame Sortir boire un pot en ville nue sous mon imper avec une carotte dans le sexe et une autre dans [’anus.
Roi Servir de soubrette « coquine » lors d’une réception le week﷓end prochain.
As Faire un jogging nue le dimanche matin (500 mètres) autour d’un man d’eau voisin très fréquenté.
Joker La libération.
Abasourdie et tremblante, je tirai une carte, ce fut le 10 de pique. La suivante fut le huit. Je leur demandai alors de m’épargner ce gage, me voyant difficilement passer cinq minutes nue dans un endroit aussi passager. Ils acceptèrent a condition que cette épreuve fut remplacée par deux autres, et je pris le neuf et le roi. Bien sur, pas de joker!
Louise dit alors:
· On te fait une fleur, on va coupler le dix et le neuf : demain après-midi on ira faire des courses entre femmes, et après que tu te sois bien montrée, on t’emmènera te faire raser chez l’esthéticienne. Ne mets pas de culotte, ca te simplifiera la tache. Pour ta mission de soubrette, ca se passera samedi dans notre maison de campagne, on t’expliquera.
Le lendemain a quatorze heures, je rejoignis Evelyne et Louise chez cette dernière. Evelyne vérifia immédiatement que j’étais bien cul nu en me faisant soulever ma jupe ample et assez courte. Je rougis violemment et Louise me dit :
· I1 va falloir t’habituer car tout ça faudra l’exhiber a d’autres!
Ce jour-là, elles me firent soulever ma jupe jusqu’à la taille dans un ascenseur ou se trouvait un jeune couple, puis elles me firent passer trois fois jambes bien écartées au﷓dessus d’une bouche d’égout ou travaillait un ouvrier qui n’en croyait pas ses yeux. Ensuite, dans un magasin de chaussures, elles m’obligèrent a m’asseoir jupe troussée, fesses sur le siège, jambes écartées bien haut pour essayer cinq paires de chaussures. Mon sexe était a moins d’un mètre du visage empourpre du vendeur.
Le plus dur, et sans doute le plus spectaculaire, fut la quatrième phase. Dans le « C&A » de la ville voisine ou j’étais censée essayer une jupe, elles me confisquèrent jupe et imperméable et me firent traverser, le bas du corps entièrement dévoilé, les vingt mètres séparant la cabine de la caisse. II y avait au moins trente clients, et je crois bien que nous avons frôlé l’émeute.
L’après-midi se termina chez l’esthéticienne qui, avec un air lubrique, me rasa complètement l’entrejambes, a l’exception d’un petit toupet de poils blonds au dessus du clitoris, ce qui rendait encore plus impudique la nudité du reste. J’étais épuisée. Evelyne et Louise me raccompagnèrent et me dirent :
· C’est bien, ma poule! Voilà une photo et a samedi!
Je crois que c’est a partir de ce jour﷓là que mon sentiment commença à évoluer. J’étais soumise, et sous la honte et la peur, commençait a apparaître de l’excitation.
Le samedi après-midi, les quatre passèrent me chercher vers seize heures. Je m’installai a l’arrière, entre les deux femmes. On m’expliqua qu’il s’agirait de servir a table un repas de traiteur a huit convives: les quatre, plus des voisins amis. Je devais être obéissante; j’imaginais déjà ce que cela voulait dire!
A l’arrière, on me procure mon uniforme : des sous-vêtements rouges, des « Dim Up » noirs, un chemisier blanc et une jupe plissée grise et très courte, plus des chaussures a talons très hauts.
L’arrivée des invites fut ma première surprise. Je m’attendais a voir quatre adultes d’une quarantaine d’années. En fait, il y avait un couple d’une cinquantaine d’années accompagne de leur fils de dix﷓huit ans et de sa petite amie. Cela me paniqua, car je m’attendais a ce que mes maîtres m’obligent a m’exhiber d’une façon ou d’une autre, et devoir le faire devant de si Jeunes gens, moi qui ai trente huit ans, me semblait être le comble de l’humiliation. Pour expliquer ma présence, Louise dit que je faisais un « extra » en leur servant ce soir d’employée de maison, a la suite d’un pari.
Je servis l’apéritif en me penchant largement pour montrer mon décolleté et faire remonter ma jupe a la limite des bas, comme on me l’avait demande. Cette attitude intrigue puis amuse nos hôtes qui commencèrent, je crois, a se douter que la soirée pourrait être étonnante. Les convives passèrent a table, je servis les entrées. Gérard, feignant une maladresse, me fit sciemment une tache de mayonnaise sur mon chemisier. Louise me dit alors:
· Voyons, Marie, tu ne peux pas nous servir en souillon! Va changer de chemisier!
· Mais je n’en ai pas d’autre, repiquais-je timidement.
· Eh bien, ôte-le! Tu peux bien officier en soutien﷓gorge.
C’est ce que je fis en baissant les yeux. je sentais que le processus était commence. Je continuai la soirée en soutien﷓gorge sous les regards allumes des invites. Un peu plus tard, Jean﷓Pierre me donna un coup de coude pendant que je servais le voisin et la sauce tomba sur son pantalon.
· Quelle maladroite! cria Evelyne. Ca suffit, tu mérites une punition. Monte sur la table du salon!
Les dîneurs s’arrêtèrent de manger et me fixèrent. Evelyne reprit alors la parole :
· Regarde﷓moi dans les yeux, dégrafe ton soutien﷓gorge!
J’obéis en libérant ma grosse poitrine et l’offrant aux regards, alors que des larmes me montaient aux yeux. Le garçon et la jeune fille se poussaient du coude et pouffaient, ce qui accroissait ma gène. Gérard prit le relais et dit a Evelyne:
· Tu es trop bonne, cette maladresse mérite une punition plus cuisante. C’est a poil que Marie doit continuer le service. Du moins si Monsieur Gerrhault est d’accord, dit﷓il en se tournant vers le voisin. ﷓ Oui, oui, répondirent en chœur les invites, a poil ce sera très bien!
· Tu as compris? reprit Jean﷓Pierre. Fais tomber ta jupe!
Je passai mes mains dans le dos pour dégrafer le bouton et faire glisser la fermeture Eclair. La jupe tomba sur mes chaussures. Je m’arrêtai la, mais la jeune fille s’écria:
· I1 me semble qu’on a dit « toute nue »!
· Bien sur, renchérit Evelyne, d’ailleurs « toute nue » est mieux adapte comme terme qu’a poil, car vous allez voir que Marie est si exhibitionniste qu’elle a déjà enlevé les poils. Allez, exécution!
Je me retrouvai donc debout sur la table, seulement couverte de mes « Dim up ». Les invites furent surpris de voir mon sexe lisse et se levèrent pour contempler de plus près et même toucher. Je dus tourner plusieurs fois sur moi même et être largement tripotée, ce qui d’ailleurs, je dois l’avouer, m’excita, avant de reprendre mon service. Je pensais en avoir fini, mais Louise me demanda de rajouter deux couverts, car deux nouveaux convives devaient venir pour le dessert. Au point ou j’en étais, cela ne m’ennuie guère, et pourtant!
Au bout de dix minutes, alors que je continuais a vaquer nue au milieu de ces gens habilles, on sonna. Louise m’ordonna d’aller ouvrir dans la tenue ou j’étais. A la porte se tenait une dame d’une quarantaine d’années vêtue d’un manteau de fourrure. Mais horreur, juste derrière elle, j’aperçut mon patron! Le piège total et infernal! ! !
Mon patron et son épouse entrèrent et me saluèrent:
· Marie, quelle bonne surprise, je vois que vous occupez bien vos week﷓ends!
J’étais pétrifiée. Plus morte que vive, j’ai continue a évoluer sous le regard goguenard de mon patron. Evelyne me dit un peu plus tard:
· Bien sur, on a un peu triche en ne respectant pas nos conventions, mais comment se priver d’une bonne petite esclave comme toi?
· Vous avez bien fait, renchérit mon patron. Je découvre une facette fascinante de la délicieuse Marie. Je pense que cela devait faire évoluer nos relations et pour fêter ça, je vous offre le champagne au café du village!
Et c’est ainsi qu’encouragé par toute l’assemblée, ils m’ont emmenée nue au bar du village ou, compte tenu de l’heure tardive (minuit et demi) il n’y avait, dieu merci, que deux consommateur. Mais je pense que mon aventure sera largement commentée dans ce bourg. Pour finir, ils m’ont fait jouer au flipper dans cette tenue avant de m’autoriser a aller me coucher.
Voilà comment je suis devenue entièrement soumise a une bande de vicieux. Depuis cette date, il. m’est arrive d’autres aventures que je vous raconterai si cela vous intéresse.

1 commentaire:

Unknown a dit…

excellente histoire