Clara, 19 ans
J’ai 19 ans, je m’appelle Clara, et j’aime faire l’amour de manière très hard.
Dès mes premières masturbations, j’ai compris que je jouissais plus fort lorsque j’étais au bord des larmes. Pour me faire mal, je me pinçais cruellement les seins et le bouton. A mesure de mes branlettes, je raffinais dans la cruauté, me torturant les bouts avec des pinces à linge, me sodomisant en profondeur avec le manche de ma brosse à cheveux.
Après, comme toutes mes petites copines, j’ai commencé à sortir avec des garçons. Au début, je leur suçais la pine en cachette, au cinéma. J’aimais beaucoup ça, surtout lorsque le foutre me remplissait la bouche. Bien sûr, ma réputation de pipeuse à vite été connue au lycée. Tous les mecs voulaient « se payer une toile » en ma compagnie. Je disais presque toujours oui, ne sachant rien refuser aux hommes. Ma culture cinématographique n’en est pas plus vaste pour autant. Par contre, pour les pipes, je devenais la championne. J’adorais que les mecs m’appuient sur la nuque et me forcent jusqu’au fond de la gorge. Hélas, peu de mes copains avaient l’audace de me traiter en salope. Et pourtant, Dieu sait si je le suis, salope !
Un jour, un homme m’a surprise dans la salle de ciné, occupée à mon jeu favori. Mon copain s’est enfui lâchement, me laissant seule, les lèvres enflées, l’haleine puant le foutre.
L’homme ma prise par le bras et m’a traînée dans son bureau, menaçant d’appeler mes parents. Morte de honte, j’étais au bord des larmes: plus excitée que jamais. L’homme m’a tordu le bras et traitée de petite dévergondée. Il cherchait à m’humilier: exactement ce que j’aime. Je me suis jetée à ses genoux, malaxant sa braguette, me proposant de lui tailler un pompier comme je l’avais fait à ce petit con. Lui au moins c’était un vrai mec, viril, avec une grosse queue déjà bien ridée et qui avait dû en baiser plus d’une...
Mon premier maître n’a pas résisté longtemps et j’ai eu une nouvelle fois la preuve que mon état d’esclave me permettait d’obtenir tout ce que je désirais des hommes. De celui là, j’attendais qu’il me violente, qu’il me brutalise. Je n’eus pas à le provoquer beaucoup pour arriver à mes fins. Visiblement, il ne demandait que ça. Quelle correction j’ai reçu ! J’étais couchée devant lui et je le pompais. Tout en me fessant, mon maître se faisait sucer, claquant mon petit cul de ses grandes mains, enfonçant sa pine entre mes lèvres serrées. Il a joui, me défonçant profondément la gorge, poursuivant sa douloureuse fessée. Moi je pleurais et j’avais du foutre plein la bouche. Bref, j’étais vraiment heureuse...
Depuis ce jour, je connais ma vocation d’esclave. Je suis une petite chienne et j’en suis très fière. Les mâles sont faits pour me dominer, n’importe quel mâle, pourvu qu’il soit viril et dominateur. C’est pour ça que je ne dis jamais non à un homme qui a l’audace de me proposer de baiser. J’ai une seule exigence: qu’il me fasse souffrir, que ce soit physiquement ou moralement. Le mieux, bien sûr, c’est lorsque je suis humiliée et frappée. Là, je prends mon pied de manière extraordinaire. Hélas, trop peu d’hommes sont de vrais mâles.
C’est peutêtre que je suis trop jeune et que je n’ai pas encore rencontré le muffle dont je rêve. S’il est parmi vous, qu’il se fasse connaître: je serai sa petite chienne dévouée et obéissante. Car je le sais: si un homme m’amène au bord des larmes, il m’amènera à l’orgasme...
bilan sexuel de 4 mois d'hormonothérapie
Il y a 3 mois
1 commentaire:
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