vendredi 21 novembre 2008

l'Education De Suzie par baby-Coralie

Auteur : Coralie scoralie40@hotmail.com
http://www.geocities.com/baby-coralie

Avec Dominique, nous avons très tôt eu des jeux bizarres. Enfants, en jouant aux cow-boys et aux indiens, c’était toujours lui le prisonnier. En jouant au gendarme et au voleur, j’étais toujours le gendarme qui le gardait des mercredis après-midi entiers attaché les mains au dos, pour notre plus grand plaisir commun. Nous avions confusément conscience de ne pas entrer dans la norme et, sans jamais l’avoir évoqué, nous gardions secrets nos jeux de ficelle. Je ne me souviens pas de la première fois ou Je l’ai habillé en fille. Nous devions avoir quatorze ou quinze ans. Je me souviens parfaitement, par contre, du plaisir diffus que j’ai éprouvé à le transformer ainsi. Je crois sans en être sûre que c’est ce jour là que j’ai eu mon premier orgasme, sans qu’il me touche et encore moins sans que je me caresse. Je n’ai pas compris sur le moment ce qui m’arrivait mais je savais que c’était délicieux et que j’avais envie de recommencer. Ainsi débuta ma longue quête du plaisir défendu, quête qui n’est pas terminée, loin s’en faut.
Nous ne passions pas notre temps à ce genre de jeux. Nous avions la vie normale et frénétique des ados de notre âge, mais régulièrement, les jours de vacances pluvieux et les mercredis ou l’on s’ennuie, nous faisions l’assaut des armoires parentales et nous changions de peau et d’âme. Je me transformais en princesse, en bourgeoise, en catin au gré de mon humeur et Dominique se métamorphosait en soubrette, en écolière ou en petite fille. Que de jours délicieux avons nous passé ainsi...


Tout naturellement, nous avons continué après notre mariage. J’ai continué à dominer et à travestir Dominique, pour notre plus grand plaisir. Maintenant que nous étions chez nous, je lui confectionnais une garde robe a mon goût. Chaque vêtement fut choisi avec soin, pour un usage spécifique. En effet, je décidais de reprendre son éducation à zéro. Dominique aimait de plus en plus sa vie de femme et avait du mal à reprendre ses habits de garçon. Il évoquait souvent sa féminité frustrée et préférait la plupart du temps rester à la maison, habillé en fille, plutôt que de sortir. Nous en avons longtemps, repoussé l'idée plusieurs fois mais nous avons fini par nous décider à sauter le pas. Mais quitte à transformer Dominique en femme, je la voulais épouse, dame de compagnie, amante et soubrette tout à la fois et son éducation de garçon, même améliorée par mes soins, ne pouvait y suffire. Un soir donc, je lui expliquais mon plan mûrement réfléchi. J’allais le faire régresser jusqu’au stade de bébé, puis le faire grandir en le modelant à mon idée, jusqu’à ce qu’il soit exactement ce que je voulais. Dominique ne fut pas difficile à convaincre et une fois l’idée acquise, fut même franchement enthousiaste. Il avait depuis toujours l’habitude se reposer sur moi pour toutes les choses de la vie quotidienne comme les décisions les plus importantes et les changements à venir ne lui faisait pas peur.


Peu après, un samedi matin, je me levais tôt et me préparais comme je l’avais prévu. Je m’étais procuré un véritable uniforme de nurse. J’enfilais la blouse à fines rayures roses et blanches, nouais le large tablier de coton blanc à bavette et épinglais une petite coiffe blanche sur mes cheveux relevés en chignon. Avec mes collants blancs et mes talons plats, je faisais une ravissante puéricultrice. Mon mari ne fut pas surpris de me voir habillée ainsi, comprenant que son éducation commençait. Nu comme un ver, je l’emmenais dans la salle de bains et là, après lui avoir donné un bain bien chaud, je lui administrais un bon lavement à l’eau glycérinée. C'est une pratique que nous aimons tous deux depuis longtemps. Puis j’entrepris de l’épiler entièrement. Cela pris très longtemps, car je voulais mon bébé fille toute lisse. Non pas qu’il fut très poilu, il était même pratiquement imberbe, à la fois sur le visage et corps, mais épiler complètement quelqu’un qui ne l’a jamais été est un sacré travail. Je m’attardais particulièrement sur le visage, le sexe et l’anus, que je voulais rendre vierge. Je lui épilais entièrement les sourcils, ce qui lui fut très douloureux. Comme il commençait à gigoter, je lui attachais les mains et les pieds avec de larges rubans de soie rose que j’avais préparé. Quand il fut bien lisse comme un bébé, je l’enduis d’huile précieuse pour éviter l’irritation et le talquais des pieds à la tête. Pour parfaire la transformation je lui fis un brushing car je voulais une petite fille parfaite. A ce moment, Dominique paniqua un peu. "Je ne vais plus pouvoir sortir dans la rue " s’inquiéta t-il. Je lui répondis qu’un bébé ne sort pas dans la rue et qu’il ne ressortirait pas de la maison de sitôt. Pour couper court à ses inquiétudes je le mis face au grand miroir de la salle de bain. Quel changement ! Le jeune homme qu’il était trois heures plus tôt ressemblait à un gros baigneur avec les gros noeuds de soie rose qui l’entravait. Je vis son petit sexe tout lisse se tendre instantanément. J’avais prévu cela et comme je le voulais pour l’instant asexué, je pris sa verge dans ma main et la caressais.
"Oh! La jolie petite poupée que tu as ici, lui dis-je, il ne faut pas la laisser toute nue, nous allons lui mettre une jolie robe." Et joignant le geste a la parole, j’emmaillotais bien serrée sa verge et ses testicules dans un fourreau de soie blanche orné de dentelles cousues a cet effet. Ainsi fait, Il ne me restait plus qu’à le détacher et à l’habiller. Je commençais par lui mettre ses couches. J’optais pour deux couches droites bien absorbantes que je glissais dans un large change complet de nuit avec une culotte en caoutchouc rose, fermée avec des pressions sur les cotés. Cela lui faisaint un adorable derrière bien rebondi. Par-dessus, je lui enfilais un body de coton blanc puis une grenouillère toute rose en coton, fermée aux poignets et aux chevilles par de jolis rubans bleu ciel que j’avais cousu moi-même. Avec un bandeau blanc dans les cheveux, j’avais devant moi une charmante pouponne.
Chapitre 2
Je parlerais désormais de Dominique au féminin car à partir de ce jour, je ne l’ai jamais considérée que comme une fille, au point que je ne l’imagine même plus comme ayant été un homme. Cela me fait l’impression d’être une existence antérieure et extrêmement lointaine. Je lui expliquais les termes de sa nouvelle condition : "A partir de maintenant, tu es une petite fille. Tu t’appelles Suzie et je serais ta nounou jusqu’à ce que tu grandisses. Je serais intraitable sur la propreté et sur l’obéissance mais si tu es gentille et bien sage, tu auras plein de bisous. Mais maintenant, il est l’heure d’aller te coucher." Il était à peine onze heure du matin et je l’emmenais à quatre pattes jusqu’à la chambre d’enfants. Cette chambre était déjà aménagée quand nous avions acheté la maison et était tapissée d’un joli papier bleu ciel avec des petits nounours. Nous y avions installé un lit d’une personne pour les amis. Je la couchais sur le lit et sortis du placard la gigoteuse que je lui avais cousu dans un sac de couchage. Je la glissais dedans, lui passais les bras dans les trous prévus à cet effet, remontais la glissière et serrais la ceinture élastique. Ainsi ma petite filleJe lui attachais à nouveau les mains, pour qu’elle ne se blesse pas et lui mis une tétine dans la bouche que j’attachais derrière la tête pour qu’elle ne puisse pas la perdre. Qu’elle était adorable ainsi, entravée dans la turbulette, a ma plus entière merci. Je l’embrasais tendrement et sortis.


Je la laissais comme cela pendant deux heures. Vers treize heures donc, j’allais ouvrir ses volets. Ma bébé était réveillée et me regardait. Je la fis monter sur la table à langer improvisée sur la commode de la chambre. Je lui ôtais la grenouillère et changeais sa couche. Elle avait fait pipi dedans et sa poupée était tachée d’urine. Il faut dire que le matin, je lui avais fait boire deux bons litres d’eau, pour qu’elle élimine bien. Je décidais de sévir sans attendre. Je la couchais en travers de mes genoux et lui administrais une bonne fessée. Elle se tortillait mais je n’arrêtais pas avant que les fesses soient bien rouges. Sa petite poupée était toute dressée mais de quelques bonnes claques, je lui fis baisser la tête. Pas d’arrogance avec moi ! Pour ma part, je sentais la pointe de mes seins se presser contre ma blouse de nurse et ma culotte était toute chaude et humide. Je n’en laissais toutefois rien voir car je voulais être une éducatrice parfaite. J’emmaillotais à nouveau sa poupée avec un fourreau de soie que j’avais cousu le matin. Je serrais bien cette douce camisole en lui expliquant que c’était la punition de sa mauvaise attitude. Une fois nouée, sa poupée aurait été bien en peine de se redresser. Ensuite je talquais ses fesses rosies et lui remis une couche, une culotte en plastique et sa grenouillère. Ainsi habillée, je l’emmenais manger. Après lui avoir noué un bavoir autour du cou, je lui donnais un bon biberon de lait, assise sur mes genoux. Puis je lui donnais à la cuillère une bouillie et un yaourt. Comme elle avait bien mangé, pour la récompenser, je la couchais sur le ventre dans le canapé et lui passais une cassette de Babar. Pour éviter qu’elle ne tombe et ne se blesse, je lui repliais les jambes de façon à ce que ses pieds touchent ses fesses et je lui attachais les mains aux chevilles avec les rubans roses. Je lui remis aussi sa tétine car les bébés aiment se sentir en sécurité. A la fin de la cassette, hop au lit ! Je la recouchais pour trois heures. Puis le soir à nouveau, biberon, bouillie, yaourt et après deux heures dans le canapé, je la mis au lit pour la nuit.


Ainsi se passa la première journée de la nouvelle vie de Suzie. Sa vie de bébé dura six mois. Elle resta couchée, attachée dans sa gigoteuse la plupart du temps même si de temps en temps, je la laissais l’après-midi enfermée dans sa chambre avec ses jouets. Dans ce cas, je lui attachais les chevilles et les repliait sur ses cuisses pour les y attacher ensembles. Je ne voulais pas qu’elle marche tout de suite et ainsi ligotée, j’étais tranquille. Pendant tout ce temps, elle ne me vit jamais habillée autrement qu’en nurse et ne m’appela que nounou. Avant de partir travailler le matin ou en rentrant le midi et le soir, j’allais d’abord mettre ma blouse et mon tablier blanc avant d’entrer dans sa chambre. Là, je la changeais, lui donnais à manger, la câlinais ou la punissait si ces couches étaient mouillées puis la recouchais. Pendant ces six mois, elle ne marcha qu’a quatre pattes et ne parla que comme un bébé. Elle essaya bien au début de parler comme une grande mais à chaque fois je lui lavais la bouche au savon noir puis la bâillonnais pour la journée. Elle abandonna bien vite. Tous les matins, je lui administrais un suppositoire de glycérine et la mettais au pot car je ne voulais pas changer de couches souillées de caca. Les quelques fois ou cela arriva, je lui donnais un bon lavement puis lui bouchais l’anus avec un godemichet qu’elle gardait la journée et la nuit suivante. Elle appris bien vite à régler ses intestins et les trois derniers mois, pas une seule fois elle ne fit caca dans sa couche. Sa verge aussi resta emmaillotée pendant six mois et pas une seule fois elle n’eut de le droit de la soulager. Le soir, elle venait se pelotonner contre moi. Je la sentais chaude et moite, rouge d'excitation, mais malgré mes envies je ne cédais pas et la laissais mariner des états d’éternelle frustration.
Après un mois de ce traitement, je trouvais régulièrement la robe de sa poupée, comme je l’appelais, souillée de semence. Dans ce cas, je la montrais a Suzie et elle savais que là aussi, elle aurait droit au lavement et au godemichet. Pour moi au contraire, la vie sexuelle était on ne peu plus active. Je me masturbais chaque jour et je collectionnais les aventures. J’amenais mes amants ou amantes chez moi pour me faire l’amour et penser a ma pauvre petite fille attachée et couchée dans sa chambre me mettais dans des états d’excitation incroyables. De temps en temps, pour m’occuper de mon bébé, je portais des boules de geisha sous ma blouse et je m’offris ainsi quelques beaux orgasmes que je lui dissimulais bien sur.
Chapitre 3
Au bout de six mois donc, j’estimais qu’elle était prête à passer a la suite de son éducation. Sa docilité et son obéissance étaient de bonne augure et je décidais de la transformer en petite fille. Ses cheveux avaient poussé et lui tombaient maintenant sur les épaules. J’étais sûre qu’elle serait absolument ravissante. Un matin donc, j’entrais dans sa chambre habillée normalement. Je portais juste un tablier sur ma jupe. Ma bébé me regarda, l’air étonnée. Une fois détachée, je la mis debout au milieu de la chambre. C’était la première fois depuis six mois et elle était un peu chancelante. "Voila, ma petite Suzie, il est temps que tu grandisses et que tu deviennes une grande fille, luis dis-je. J’espère que tu seras aussi sage que tu l’as été jusqu’à présent." Suzie hocha la tête, n’osant répondre. "Tu as le droit maintenant de parler, lui signifiais-je, je t’apprendrais à avoir une voix de jolie petite fille." Suzie n’avait pas parlé du tout pendant ces six mois. Je l ’avais obligée à vagir et à pleurer si elle désirait me faire comprendre quelque chose. Cela avait aussi très dur pour moi, bien que je fus consciente de cette nécessité. Je décidais que pour les étapes suivantes de sa transformation, elle aurait droit de parler autant qu’elle le voudrait. Au départ, j’étais un peu réticente car il s’agit tout de même d’une règle importante de l’obéissance, mais le fait d’être toujours au contact de Suzie, qu’elle me dise au dur et a mesure de ses changements tout ce qu’elle ressentait à se sentir transformer en ma petite femme aimante ne me l’on jamais fait regretter. Et puis j'ai trop vu de maisons silencieuses ou les esclaves n'ont pas le droit de parler. J'ai toujours trouvé cela un peu triste.
J’avais amené avec moi un paquet contenant ses vêtements. Après lui avoir remis couche, culotte en plastique et fourreau de soie sur sa poupée, car elle était encore petite, je lui enfilais un panty de Nylon blanc, des collants blancs opaques, un chemisier blanc à col Claudine et une robe chasuble écossaise sur un jupon de dentelles blanches. Avec des petits vernis rouges et un ruban dans les cheveux, elle était adorable. Je l’embrassais tendrement en lui montrant son image dans la glace. "Comme je suis jolie, me dit-elle, on dirait une petite fille modèle". "C’est ce que tu vas être, je te le promets, lui répondis-je".


C’est comme cela que Suzie appris à être une petite fille. Si elle avait désormais le droit de manger autre chose que des laitages et des bouillies, elle s’aperçut bien vite que les contraintes étaient nombreuses. Elle ne pouvait toujours pas sortir, il y avait maintenant six mois qu’elle vivait enfermée, et les premières semaines, je lui liais les chevilles chaque matin avec une fine chaîne chromée de trente centimètres. Comme cela, elle apprit a faire de petits pas. La nuit, elle ne dormait plus entravée dans sa turbulette mais je lui attachais les mains au montants du lit pour éviter qu’elle ne puisse tripoter sa poupée. Elle portait pour dormir de ravissantes chemises de nuit de coton que je lui mettais après le dîner. Dans la journée, elle portait des habits de petite fille : kilts et jupes plissées courtes ou robes chasubles et le dimanche, de merveilleuses robes romantiques, en mousseline, pleine de volants et de rubans. Je commençais aussi à lui apprendre la discipline. D’abord, les bases: ne jamais me faire répéter un ordre, ne jamais me couper la parole, ne jamais être insolente, être toujours impeccable. J’avais acheté un bon martinet dont j’usais largement. Culotte baissée, jupe relevée, les mains attachées au dos, je la fouettais énergiquement avant de l’envoyer au coin, parfois a genoux sur une règle. Elle restait les fesses a l’air le reste de la journée et comme elle ne portait pas de couches et qu’elle n’avait pas le droit d’utiliser les toilettes, elle devait me supplier pour se soulager. Je la laissais quelquefois se mouiller sous elle et elle était obligée de venir me le dire en pleurnichant. C’est ainsi qu’elle fit connaissance du cabinet noir. C’était un réduit sous l’escalier ou je rangeais les balais. J’y enfermais Suzie, en chemise de nuit, mains et pieds attachés ensemble, Une cagoule de soie noire sur la tête et un godemichet entre les fesses. Elle y restait la journée entière et parfois même la nuit à se morfondre et à regretter ses bêtises.


Afin d’en faire une future parfaite petite femme, ce qui était le but final, je l’éduquais chaque soir. Je lui appris à marcher, à parler, à se tenir droite, à s’asseoir, les milles choses qu’une fille sait faire. Je suis par nature extrêmement perfectionniste et patiente et elle passait des heures, parfois au bord de la crise de nerf à effectuer le même geste. Elle avait maintenant les ongles des mains et des pieds faits en rouge et je lui perçais les oreilles pour lui poser de jolies boucles. Ce ne fut pas douloureux mais ma douillette était terrorisée. Je lui faisais aussi une queue de cheval ou des nattes tous les matins, dans lesquelles je nouais des foulards ou des rubans, rendant ses coiffures le plus fragile possible. Je commençais aussi à lui apprendre les tâches ménagères qui seraient son lot en tant que femme. Je n’avais pas l’intention de lui faire sa lessive toute sa vie. Je lui appris donc à repasser parfaitement, à coudre, à tricoter, à faire la lessive et le ménage. Elle portait pour toutes ces activités de jolis tabliers blancs à bretelles volantées et croisées au dos, noués a la taille par de gros noeuds de satin amidonné. Elle les cousit elle-même, un pour chaque jour de la semaine , et j’exigeais que ce tablier soit toujours immaculé et sans un pli, ce qui était loin d’être évident avec les corvées que je lui donnais. Chaque tache et chaque faux pli étaient sévèrement sanctionnés et punis. Humilité, obéissance et ordre étaient mes leitmotiv et je les lui enseignais chaque jour, chaque minute, pour la conditionner à sa prochaine condition de parfaite femme d’intérieur. Je réglais ses journées de manière à ne lui laisser aucune minute de répit.
Le matin, après avoir fait au pot pendant que je lui préparais son biberon, je la détachais puis la lavais et l’habillais pour la journée. Je commençais par bien lui emmailloter la verge et je lui tirais maintenant entre ses cuisses, bien au chaud dans sa couche et sa culotte de caoutchouc. Ensuite, je lui faisais enfiler par dessus un panty de latex couleur chair, très fin, bouffant à la taille et serré aux cuisses sur quinze bons centimètres. Il était fermé à la ceinture par un minuscule cadenas chromé, et ainsi j’étais tranquille pour la journée, tant au niveau de son hygiène que de sa chasteté. Ensuite je la laissais s’habiller seule avec les vêtements que je lui avais choisi. Elle se coiffais, se maquillais puis venais se présenter devant moi.
Si le moindre détail clochait, Suzie avait droit au cabinet noir pour la journée, sanglée et bâillonnée jusqu’au soir. Une fois l’inspection terminée, elle recevait à genoux, les yeux baissés, les mains croisées sur le devant de son tablier, ses ordres pour la matinée. Ménage, lessive, repassage et repas du midi, elle ne chômait pas. Le midi, elle apprit à me servir le repas debout en uniforme de bonne, avec robe noire, tablier de dentelles, coiffe et gants blancs. Elle prenait soin de précéder mes moindres désirs et avant de repartir, je lui donnais à nouveau ses ordres. L’après-midi, je la faisais le plus souvent coudre et faire des devoirs. En effet, j’avais trouvé comme support pédagogique un traité d’éducation du début du siècle. Je lui faisait recopier et apprendre des chapitres par coeur, qu’elle me récitait le soir jupe troussée et fesses à l’air, pendant que je rythmais sa récitation à coups de martinet. Le soir, bien au chaud dans sa chemise de nuit de coton romantique, assise sur le tapis à mes pieds, nous discutions en regardant la télé pendant que je lui brossait les cheveux. Elle avait maintenant une magnifique chevelure noire et brillante qui lui arrivait au milieu du dos, très fournie avec une frange toute droite.


Il fallut cette fois-ci presque un an avant que je sois satisfaite de sa transformation et que je passe à l’étape suivante. Cela faisait donc pratiquement un an et demi que ma petite Suzie vivait cloîtrée à la maison. Pendant cette période, elle n’avait jamais vu ni parlé à quelqu’un d’autre que moi mais cela ne l'affectait pas. Elle était heureuse et me le disait. Elle ne se plaignait jamais, toujours souriante et radieuse. Elle aimait me servir et s'ingéniait à devancer mes désirs, juste pour le plaisir de me rendre heureuse. Elle n'était ni servile, ni brisée, et je la modelais doucement à l'image que je m'étais fixé. Elle avait à la fois hâte d'être ma femme légitime et aimait être une petite fille et traitée comme telle. Elle me demandait souvent quand elle aurait des seins et regardait toujours les miens avec envie. Je lui laissait parfois me les caresser et les téter un peu. Pour calmer ses ardeurs, j'étais encore obligée de lui administrer un bon lavement bien chaud. Je la soupçonnais aussi d'essayer de se masturber au travers de sa couche en serrant ses jambes l'une contre l'autre mais je laissais faire. Cela m'amusait en fait beaucoup car j'imaginais la frustration qu'elle devait en tirer.
Après en avoir à nouveau discuté ensemble, je soumis ma Suzie à un traitement hormonal. Nous ne nous sommes pas posé la question bien longtemps car toutes deux en avions très envie. Bientôt, de petits seins commencèrent à poindre sous ses robes et sa voix mua. Elle était très fière et demanda à porter des soutiens-gorge. Elle regardait avec avidité les pages lingerie des magazines, et je décidais alors qu'il était temps de la lancer dans le monde. Un samedi matin donc, je fis venir Suzie devant moi. Elle était adorable. Elle portait une robe chasuble de velours bleu marine qui lui arrivait jusqu’à mi-mollets et un chemisier blanc à col Claudine, des mocassins bleu marine, des chaussettes blanches et un serre tête de velours rouge. Les mains croisées sur la robe, les ongles faits, de petites perles dans les oreilles, on aurait dit une petite collégienne japonaise. Elle fit une petite révérence, comme je le lui avait appris. J'étais très fière d’elle et je voyais bien qu'elle était rayonnante. Quand je lui appris que son éducation de petite fille était terminée, elle était aux anges et un peu inquiète tout de même. Je lui expliquais que si elle devenait adulte, les punitions aussi seraient des punitions d'adultes et que les contraintes n'en seraient que plus nombreuses. Pour appuyer mes dires, je la fis mettre toute nue. Je lui cadenassais un collier de fer autour du cou et la tirait à la salle de bains par la laisse qui y était accroché. Après le rituel bain-lavement, je l’assis devant la coiffeuse de la salle de bains. Tout d’abord, je lui tressais ses cheveux en une longue natte que je roulais et relevais en un chignon compliqué. Je la maquillais pour la première fois comme une vrai femme et la parfumais. Puis je fis mettre debout et l'amenais devant le grand miroir. Elle était nue hormis son maquillage et son collier et paraissait délicieusement fragile. Je la trouvais magnifique, lisse et douce de la tête aux pieds, son petit sexe seul rappelant ce qu’elle avait été. J'avais longtemps réfléchi au problème de sa verge. Il était bien sûr impensable que je la laisse libre et ma petite femme n'était désormais plus en âge de porter des couches. D'un autre côté, ces couches m'apportaient une sécurité sans faille et l'humiliaient constamment. Elles la rendait complètement dépendante de moi et j'adorais entendre le bruissement du caoutchouc et du plastique quand elle s’asseyait sur une chaise ou deviner sous ses robes d'été un derrière bien rembourré.
J'avais donc résolu le problème quelques jours plus tôt. J'avais retiré ses couches à ma Suzie pendant une semaine, pour voir si elle était propre, lui vais-je dit. Par contre je continuais à lui cadenasser une culotte large de latex transparent. Elle n'avait donc d'autre choix que de faire pipi dedans. Matin et soir, mon premier geste était de la trousser et je trouvais bien sûr une poche de pipi clapotant en haut des cuisses. Suzie était morte de honte et je me moquais d'elle en la fessant comme une gamine. Je la laissait mariner dans son jus jusqu'à la nuit, jupe et jupons troussés et épinglés au dos, les fesses rougies et irritées par son urine. Le dernier jour, je lui dis que puisqu'elle était incontinente, elle serait traitée en conséquence. Ainsi, fut-elle condamnée définitivement à porter ses couche, ses culotte de caoutchouc et ses panty.
Au porte-jarretelles dont j'avais eu soin de lui ceindre la taille , j'accrochais des bas gris fumés, puis je la perchais sur des escarpins noirs vernis. Ce n'était pas la première fois qu'elle en portait mais cela faisait plus d'un an et demi maintenant et elle était un peu gauche. Ensuite je lui passais une combinaison de satin rose, bordée de dentelles, une jupe plissée noire et un chemiser de soie rose que je boutonnais jusqu’au cou. La jupe lui arrivait sous le genou et je terminais en lui nouant un de ses large tablier de coton blanc à la taille. " Dorénavant, tu porteras toujours un tablier, lui dis-je. C'est une marque de la déférence et du respect que tu me portes. Il sera en coton blanc pour ton ouvrage, en plastique pour la vaisselle et en dentelle pour servir à table. Mais aussi, comme tu es maintenant ma petite femme, tu as mérité un cadeau. " Et je lui enlevais le collier de fer qu’elle portait au cou pour le remplacer par un rang de perles.
Comme elle était belle ma petite femme ! Elle tournait devant le miroir, s’admirant en riant devant le miroir, radieuse. Puis elle se tourna vers moi en souriant. Je m’étais assise sur le rebord de la baignoire et Suzie se mit a genoux devant moi. Elle leva un instant les yeux vers moi, comme pour y quêter un assentiment puis sans un mot retroussa ma jupe jusqu’à la taille. Je portais dessous des bas noirs et une petite culotte de soie grenat. Elle commença à me lécher rapidement à travers l'étoffe devenue en un instant déjà bien humide, et de sentir sa langue au travers de la soie me rendait folle de désir et je jouis au bout de quelques dizaines de secondes à peine. Suzie fis alors glisser ma culotte et la retira puis repris son ouvrage, plus lentement cette fois, pour me laisser profiter pleinement de mon plaisir. Je sentais la jouissance monter par vagues et me cambrais pour mieux m’offrir a sa bouche. Sa langue s’insinuait au plus profond de mon minou, me tirant des gémissements de plus en plus rapprochés et bientôt, une vague de jouissance sans pareil m’emporta, me laissant pantelante au bord de la baignoire. Enfin, Suzie me remit ma culotte, baissa ma jupe et se releva, toujours souriante.
" J’étais trop contente et j’ai voulu te remercier un tout petit peu, me dit-elle, j’espère que je n’ai pas été insolente ".
A ces mots, j’éclatais de rire et la serrais dans mes bras. Elle tremblait encore de désir et de frustration contenues.
" Tu es très gentille, la rassurais-je, et ta spontanéité me va droit au coeur. Tu va faire une merveilleuse petite femme, douce et attentionnée. Je n’en ai jamais douté, mais quel plaisir de voir ainsi réaliser un rêve qui nous était si cher a toute les deux. " Je l’embrassais tendrement et la douceur de sa peau réveilla en moi le désir. J’hésitais un instant, prête à la débarrasser de ses couches, à la trousser et à lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné, mais je tiens bon. Je ne voulais pas montrer la moindre faiblesse, surtout si près du but. " Maintenant, va refaire ton maquillage et file à la cuisine, tu as du travail. " Et ma Suzie s ’envola dans un bruissement de jupes.
Chapitre 4
Ainsi débuta son apprentissage de femme d’intérieur. Le midi, pour servir à table, Suzie avait troqué son tablier de coton pour un tablier de dentelle, piqué une coiffe dans ses cheveux et portait des gants blancs. Elle se tenait à côté de moi, les pieds parfaitement joints, les mains croisées sur le tablier, les yeux baissés. J’ai toujours aimé manger en paix et Suzie m’offrait une vision merveilleusement reposante. Le repas est le seul moment ou j’exige une réelle attitude d’esclave et ma petite bonne est particulièrement vigilante sur ce point. Elle prend garde a devancer chaque désir, efficace et silencieuse et sait que faire tomber un couvert ou servir un plat trop chaud lui valent des corrections cuisantes, attachée sur la table de la cuisine, jupe et jupon troussés et les fesses a l’air.
Le soir venu, à huit heures précises comme chaque soir, Suzie monta se mettre en chemise de nuit. Je l’entendis pousser des cris de joie en découvrant la combinette de satin bleu marine et le long peignoir assorti que je lui avait offert et posés sur son lit.
" Et oui, lui dis-je, il est temps d’abandonner le confort de tes chemises de nuit en coton. Tu es une femme, maintenant, veille a ne jamais l’oublier. "
Quand elle revint un peu plus tard, pomponnée, parfumée, coiffée, le peignoir ouvert sur la combinette, juchée sur ses mules a talons, j’eus un véritable choc. Je m’aperçut alors a quel point Suzie avait changé. Ma petite fille était devenue une jeune femme très attirante. Je lui avait dis de ne pas remettre de couche, pour une fois, et d’imaginer sa petite verge épilée, ballante sous le satin, me fit monter le rouge aux joues.
N’y tenant plus, je lui demandais de me déshabiller, tout doucement, puis nue comme Eve, je la déshabillais a mon tour et la couchais sur le canapé. J’étais déjà toute chaude et elle toute tendue de désir. Je la léchais sur tout son corps d’eurasienne puis je m’installais sur elle. J’ai toujours été très étroite et la petite taille de sa verge est plutôt une bénédiction. Je m’empalais sur son sexe en lui pétrissant les seins, pendant qu’elle caressait les miens. Nous avons mis quelques secondes seulement à jouir, presque simultanément et quelques minutes à peine pour reprendre notre coït. Cette fois, Suzie était vraiment ma femme. Elle eu le droit de dormir dans mon lit et se pelotonna dans mes bras, soumise et aimante.


Le samedi suivant, enfin, ma Suzie fit sa première sortie de femme. Elle était complètement retournée et en tremblait d’émotion. Je lui avais acheté un long manteau de drap noir qui lui arrivait aux chevilles, des gants de cuir et une chapeau de feutre gris. " Je ne veux pas te voir mettre le nez dehors sans porter gants et chapeau, lui dis-je. Tu dois toujours être parfaite." Perchée sur ses escarpins, sanglée dans son tailleur prince de galle, dont la jupe arrivait sagement sous le genou, elle faisait très jeune fille de bonne famille, prude et réservée. Je l’emmenais au restaurant, puis nous avons fait les magasins. Je lui fis essayer robes et jupes, rien que pour le plaisir d’exhiber ma jolie soumise aux vendeuses. A notre retour, je découvris ses couches tachées de semence et, les mains liées au dos, elle dut me lécher pendant une éternité.
Le lendemain, je l’emmenais à la messe. Nous sommes toutes deux très croyantes et je savais qu’être privée de sa messe dominicale avait été très dur pour Suzie. Endimanchée dans sa robe de velours vert, ses hauts talons claquant sur parvis de l’église, ma petite reine était ma fierté.
Le week-end suivant, nous l’avons passé toute deux habillées en robe de mariées. Ce fut très émouvant et très beau. Nous avons échangé nos voeux, voilées toute les deux. Suzie me jura obéissance et fidélité, me récitant pour l’occasion un petit texte très touchant. Je lui jurais à mon tour protection et fidélité et c’est les larmes aux yeux que nous avons échangé le baiser qui scellait notre union.


A partir de ce moment, tout alla très vite. Son éducation était terminée, et il s’agissait d’installer Suzie dans un cadre quotidien sans faille. Je lui imposais un emploi du temps des plus serré. Debout à cinq heures quinze, elle commence par se laver, après être passée au pot de chambre, puis change de couche et culotte plastique. Ensuite elle s’habille, après avoir prit soin de repasser toutes ses affaires et de mettre un tablier propre et amidonné. Et je sais reconnaître un tablier repassé du matin ! Après cela elle repasse mes affaires pour la journée, sous-vêtements compris, cire mes chaussures et prépare le petit-déjeuner. A six heures quinze, elle me sert le petit déjeuner au lit, puis me donne mon bain, m’habille, me coiffe et me maquille. J’adore ce moment privilégié du matin ou, assise devant ma coiffeuse, encore un peu ensommeillée je m’abandonne aux soins de ma petite femme. Elle sent bon la jeune fille sage, fraîche et pimpante, souriante et amoureuse. Elle virevolte autour de moi, dans un bruissement de jupe et de satin, précise et douce dans tous ces gestes. J’ai du mal à me rappeler toutes ces années ou je courrais tous les matins, le café dans une main et la brosse dans l’autre !
Suzie reçoit ses ordres ensuite pour la matinée. Entre les courses et l’entretien de la maison, toutes ses minutes comptées. L’après-midi, elle fait de la couture, du jardinage et s’occupe du secrétariat de la paroisse. Et le soir, je retrouve avec un bonheur toujours égal ma petite femme d’intérieur. La maison sent bon les petits plats mijotés et le linge frais. Encore une fois, le rituel est bien rodé. Je m’affale dans un canapé et Suzie accourt pour me déchausser et me masser les pieds. Mon cocktail de fruits est déjà prêt, mon courrier préparé sur un petit plateau. Après le repas, Suzie me fera couler un bain et viendra me laver et me sécher. Quel bonheur d’être ainsi chouchoutée. La nuit venue, bien confortable dans une longue chemise de nuit et un négligé de soie, je fais le bilan de la journée. Suzie est assise sur ses talons, à mes pieds, en nuisette de satin. Elle porte son collier de fer et sa laisse est attachée au pied du canapé. Il est bien rare que je ne trouve rien a redire, que ce soit sur comportement, sa tenue ou son travail de la journée. Sur mon ordre, Suzie va chercher les instruments de sa pénitence et me apporte respectueusement. Martinet, paddle, parfois même cravache, liens de toute sorte, en cuir ou en satin, la punition dépend de la faute et de mon humeur. Ma soumise se prête de bon gré à mes caprices, implore mon pardon et promet de ne plus recommencer. Je la console au lit ou l’état d’excitation et de contrainte perpétuelle ou je la fais vivre nous donnent des orgasmes d’une puissance extraordinaire.


Aujourd’hui, nous sommes heureuses, le résultat de notre expérience commune dépasse nos espérances et nous filons un doux bonheur. A bien des égards notre couple est exemplaire. Chez nous, pas de disputes, pas de conflits ouverts ou larvés. Nous avons toutes deux des tâches bien définies et nous nous y tenons. Je fais vivre le ménage et Suzie s’occupe de moi et de la maison. Malgré nos rapports de domination/soumission, le respect est toujours présent et même dans ses punitions les plus sévères, Suzie sait qu’elle peut compter sur mon amour indéfectible.

Auteur : Coralie scoralie40@hotmail.com
http://www.geocities.com/baby-coralie

Education d'ANGELIQUE partie1, 2, 3 et 4 par Master Lyon

Première partie


Il y a quelques mois, j'ai fais la connaissance, sur INTERNET, d'un couple de cadre désirant faire évoluer leur relation vers le SM. Après de nombreux échanges d'E-MAIL, la confiance établie, nos motivations respectives sont bien définies. Pour ce couple, la femme souhaite assouvir un désir de soumission, le mari un désir de domination et, il cherche quelqu'un pouvant commencer l'éducation de sa femme et le guider pour la poursuite de cette éducation. Pour moi, je souhaite prendre en mains l'éducation d'une novice. L'éducation sera progressive, mais relativement rapide. Je leur propose une séance tous les week-ends, plus un ou deux tests, à ma convenance, durant la semaine. Habitant la même région, les rencontres pourront se faire facilement. Je leur envoie deux questionnaires de soumission, qu'ils devront avoir rempli pour notre première rencontre. Nous convenons d'un rendez-vous, un soir de semaine dans un bar, afin de physiquement faire plus ample connaissance, et de fixer le cadre de nos rencontres. Ils m'attendent, assis cote à cote à une table isolée, nous pourrons discuter plus facilement. Les présentations faites, Je m'assoie en face d'elle, un silence s'établie et nous nous détaillons réciproquement. Lui a la trentaine, cadre supérieur habillé très chic, costume trois pièces, visage sympathique, il se prénomme ANDRE. Elle, femme au foyer la trentaine aussi, est blonde, yeux bleus, cheveux longs, mince dans un tailleur gris perle, chemisier rose boutonné haut, visage très fin, très jolie, elle répond au doux prénom d'ANGELIQUE. Moi, le suis venu habiller sport. Je romps le silence, et leur dit : Ma motivation est intacte, et je voudrais être sur de la votre, sachant qu'il va vous en coûter plus qu'à moi. Leurs regards se croisent et ANDRE me répond qu'ils sont toujours aussi motivés. J'insiste et demande directement à ANDRE s'il est près à me donner son épouse, qui devra être, sexuellement, entièrement à ma disposition. Un bref silence et il me répond OUI. M'adressant à ANGELIQUE, la regardant droit dans les yeux : ANGELIQUE est-tu prête à m'obéir, corps et âme, pour notre plaisir commun. Un OUI timide fut sa réponse. Bien, je vous ai apporté ces documents qui sont essentiels pour le début de notre relation. Je sors alors un contrat en doubles exemplaires. ANGELIQUE et ANDRE, j'ai établi ce contrat, suite à nos échanges d'E-MAIL, afin que le cadre de notre relation soit bien défini. Je vous les laisse, pour étude, et vous viendrez tous les deux, le jour de la première séance, avec votre exemplaire signé des deux. L'éducation d'ANGELIQUE ne pourra commencer qu'à ce moment la. Je détaille alors le contrat : Moi le maître, je m'engage à respecter les souhaits exprimés dans les questionnaires de soumission. Aucune marque indélébile ne sera imprimée sur le corps d'ANGELIQUE, le sang ne sera jamais versé. Je m'engage à arrêter les actions de la séance en cours, lorsque le mot de sûreté est prononcé par l'élève. L'élève sera remise dans les mains de son mari, que lorsque je jugerais son éducation assez avancée, et son mari prêt à la poursuivre. Je m'engage à filmer toutes les séances, sauf la première qui sert à la connaissance intime d'ANGELIQUE. Pendant toutes ces séances, je serais masqué. Tous les rapports sexuels avec ANGELIQUE, seront protégés. Pour ANDRE, il s'engage à accepter tous les attouchements, les rapports sexuels que je serais amené à avoir avec ANGELIQUE, en toutes circonstances, selon mes désirs. Il accepte que les séances aient lieu dans le donjon d'un ami maître, qui sera mis en contribution qu'en moi je le jugerais nécessaire. Il accepte que je puisse voir ANGELIQUE, en dehors des séances et hors de sa présence, pour vérifier le respect des exercices imposés entre les séances. De plus, ANGELIQUE devra être disponible pour un ou deux voyages de deux jours. Il s'engage à payer tous les frais concernant les accessoires intimes et tenues qui seront nécessaires à l'éducation d'ANGELIQUE. Un donjon sera installé au domicile du couple, suivant mes indications, ANDRE en sera le maître d'œuvre. Il accepte le prise de photos numériques, pour ma collection personnelle, ces photos ne seront pas divulguées et il en possèdera une copie. Pour ANGELIQUE, elle s'engage à obéir à tous les désirs du maître, sans restriction dans le cadre défini plus haut. Elle s'engage à rendre disponible, pour le maître, tous ses orifices, en toutes circonstances, à porter toutes les tenues et accessoires, imposés par le maître, pendant et en dehors des séances, à exécuter tous les exercices définis par le maître. Elle devra tenir un journal intimes décrivant toutes les leçons reçues. Elle accepte la prise de photos numériques. Pour les deux, ils devront trouver une amie qui me sera présentée en tant utile, afin de faire son éducation, et de parfaire celle d'ANGELIQUE. Nous passons à l'étude des questionnaires de soumission qu'ils m'ont apportés. A leur lecture, il m'apparaît qu'ils sont prêts à vouloir essayer beaucoup d'aspect du SM. Nous conversons un moment afin d'en préciser certains termes et les limites, je leur précise que l'éducation reposera sur une domination totale. Tous les aspects désirés seront abordés : exhibition, bondage, flagellation, intromission. ANGELIQUE semble un peut apeurer de ce qui l'attend, je la rassure en lui disant que son éducation lui apportera beaucoup plus de plaisir, que de douleur, même si la soumission est une contrainte. Il me reste à leur préciser la tenue dans laquelle ANGELIQUE devra se présenter pour la première séance : en écolière, soutien gorge et culotte de coton blanc, socquettes blanches, souliers à talons plats, chemisier blanc et minijupe plissée bleue marine, pas de bas ni de collants. Nous prenons rendez-vous pour le samedi suivant à 10 heures, à l'adresse que je leur indique. Ils devront être présents tous les deux. Samedi matin, 8 heures, j'arrive à la maison que mon ami m'a prêtée pour le week-end. C'est une belle maison de caractère, avec un étage, au milieu d'un parc. L'endroit est très beau et très calme. En bas, se trouve la cuisine, la salle à manger, le salon et un bureau. A l'étage, il y a deux chambres, une salle de bain, le donjon. On accède au donjon par deux portes, une dans le couloir, l'autre dans une des chambres. Le donjon est très vaste, trois fenêtres grillagées, pouvant être occultées par des rideaux et des volets, l'éclaire. Il est très bien équipé avec : portique équipé de trois palans et d'anneaux, croix de ST ANDRE, cheval d'arçon, pilori. Au mur sont rangés toute une série de poignets, menottes, ceintures, harnais, colliers, chaînes, cordes, martinets, cravaches, badines, paddles, carcan à seins. Dans une armoire aux portes vitrées, sont alignés des godes, plugs, bâillons, bandeau, pinces avec ou sans poids, bougies de différentes tailles. Une partie, dissimulée derrière un rideau, se trouve un fauteuil de gynécologie, une desserte, une petite armoire avec tout le nécessaire pour les examens : divers spéculums, seringues, poires, canules de lavement. Un lavabo, un bidet, un WC, une douche sans rideau avec un caillebotis de bois, sont disposés à coté. Le donjon est meublé de deux fauteuils, d'une table basse assez grande, d'une table recouverte de cuir et de quatre chaises. Diverses lampes, sont disponibles pour l'éclairage des élèves. Je ferme à clé la porte donnant sur la chambre. J'ouvre le rideau donnant accès à la partie médicale. Je ferme les volets, entrouvre une fenêtre. Je dégage la partie centrale du donjon, en rangeant les fauteuils et les chaises contre le mur, place la table basse. Sur la desserte, je range deux spéculums, deux godes, des pinces à vis pour tétons, des pinces à linge, une lampe frontale. Sur la table, j'aligne un martinet, une cravache et une lampe torche. Je prends une douche, J'enfile un pantalon de cuir, et je reste torse nu, ne me couvrant que d'un gilet en cuir. 10 heures précise, ANDRE et ANGELIQUE arrivent. Je les accueille et je les fais entrer dans le bureau. Bien, donnez-moi votre contrat. Je vérifie les signatures, tout est en ordre. Je range le contrat dans le bureau, et je m'adresse à eux deux : Aujourd'hui, nous allons commencer l'éducation d'ANGELIQUE, cette séance à pour but de lui faire perdre toute pudeur, vis à vis de moi, de la connaître de façon intime, de juger de l'accueil de ses orifices, de lui apprendre les attitudes qu'elle devra adopter en ma présence, de tester ses réactions à de légères douleurs, de lui faire entrevoir les punitions qu'elle subira, si elle désobéie. Des questions ? ANDRE répond NON et ANGELIQUE me fait un signe négatif de la tête. ANGELIQUE, a-tu revêtu la tenue demandée ? Oui timide et peut audible. Je n'ai pas entendu. Oui plus affirmé Bien, veuillez me suivre. Nous montons à l'étage, je fais entrer ANGELIQUE dans la chambre donnant accès au donjon, lui dit d'enlever son manteau, d'attendre, et je ferme la porte à clé. Je fais entrer ANDRE dans le donjon, et nous faisons une visite rapide, afin qu'il ait une idée de ce qu'il devra faire chez lui. Je raccompagne ANDRE, il reviendra seulement à 19 heures. Revenant au donjon, j'ouvre la porte donnant sur la chambre. Viens ANGELIQUE. ANGELIQUE s'avance doucement, et ayant, à peine, passée la porte s'arrête, promenant un regard circulaire sur ce qu'elle découvrait : le portique, la croix, les accessoires, le cabinet médical. Place-toi au centre du donjon. Pas de réaction. Plus vite, obéie ! Elle s'avance, doucement, à pas comptés, s'arrête, baisse les yeux. Je la détaille un instant, tournant autour d'elle en silence. ELLE est belle dans sa tenue d'écolière, sa minijupe me laisse deviner de longues jambes finement galbées, un fessier bien rebondi. Elle a boutonné son chemisier jusqu'en haut, et cela m'amuse, dans quelques minutes elle sera au même endroit, mais nue comme un vers. Malgré cela, je devine deux beaux seins, tendant le chemisier. Je fais une photo, la seule ou elle sera habillée. ANGELIQUE est très belle, un visage bien proportionné, de grands yeux bleus, une bouche fine et légèrement pulpeuse, un petit nez droit et fin. ANGELIQUE, ceci sera le lieu de ton apprentissage, en attendant qu'un donjon identique soit réalisé chez toi. Tu devras toujours répondre avec respect à mes questions, et si elles ne demandent qu'un OUI tu répondras OUI MAITRE fort et clair. Souhaite-tu toujours apprendre à être une petite salope soumise ? Oui à peine audible. Plus fort, et oui qui ? Oui maître C'est la seule fois ou tu entre habillée dans cette pièce, pour les autres séances, tu devras te préparer, avec la tenue que je t'imposerais, dans la chambre d'a coté, compris ? Oui à peine audible. Ne m'oblige pas à te corriger, Plus fort, et oui qui ? Oui maître J'aime ce moment ou la novice, tout intimidée, ne sait pas quelle attitude adopter. Ne sachant pas ce qui l'attend, tous ses sens sont aux aguets. Je prends alors le martinet et la cravache, et les lui mettant sous le nez : ANGELIQUE ce martinet et cette cravache seront mes instruments de correction si tu ne m'obéie pas. Je les emploierais à chaque désobéissance. Aujourd'hui, je te sens un peut rétive, aussi je vais garder la cravache à la main. Je voie que tu ne sais pas quoi faire de tes mains, je vais t'appendre la position dans laquelle tu devras être lorsque tu seras en attente comme maintenant. C'est la position d'inspection, tu mets les mains derrière la tête, et tu écarte les jambes, aller exécution ! ANGELIQUE obéie, je trouve les jambes pas assez écartées, à mon goût, je lui j'accentue l'écartement par des petits coups de cravache sur les mollets. Je tourne autour d'elle doucement, et me plaçant derrière, je commence à la caresser avec le bout de la cravache. D'abord le dos, de la nuque au creux des reins, je remonte, redescend, pousse dans le creux des reins pour faire ressortir son cul. Puis les cotés, de la naissance des seins, jusqu'aux chevilles, un coté, puis l'autre. La cravache, maintenant, caresse son cul, descend, passe sous la jupe, remonte en soulevant celle-ci. Je découvre alors la blancheur immaculée de sa culotte. Je passe devant, je redresse sa tête en plaçant la cravache sous le menton, je la regarde droit dans les yeux ANGELIQUE, tu dois toujours avoir la tête haute, une attitude fière, compris ? Un " Oui maître " plus fort que les autres, c'est mieux, mais elle est encore trop tendue. La cravache descend dans l'entre seins, fait le tour de ceux-ci. Ouvre la bouche. J'abandonne la cravache en travers de sa bouche. Je défais quatre boutons du chemisier, que j'entrouvre, voilà qui est mieux. Je reprends la cravache, le bout longe les coutures du soutien gorge, s'amuse un instant à deviner les tétons à travers le tissu. La cravache caresse maintenant le ventre, parcours la ceinture de la jupe. J'appui sur le nombril, pour faire rentrer le ventre, la poitrine se dresse. Je me place de coté pour admirer sa silhouette, son cul rebondi d'un coté, sa poitrine dressée de l'autre, je rectifie la position en levant un peut plus le menton. La cravache continue sa descente, parcours le devant des cuisses, arrive aux genoux, remonte, attrape le bord de la jupe, remonte encore. Elle vient se plaquer sur la vulve, ANGELIQUE tressaute. Ne bouge pas, je te veux raide comme une statue. La cravache tangente la vulve, épouse l'arc de cercle de l'entrejambe, remonte dans la raie culière, reviens sur la vulve, douce et lente caresse. Je force un peut plus pour faire entrer le tissu entre les lèvres. Penche-toi en avant ! La jupe se relève, la cravache parcourt son cul, descend sur l'arrière des cuisses, remonte, tourne, glisse sur la raie culière, remonte sur la vulve, appui plus fort. ANGELIQUE émet un petit gémissement. Redresse-toi ! J'ai envie de toucher le grain de sa peau, de sentir la fermeté de son corps. Reposant la cravache, je m'approche d'elle, l'embrasse à pleine bouche, ma langue cherche sa langue. Elle me rend ce baisé, n'ose pas bouger. Je finis de déboutonner le chemisier et l'enlève. Je fais glisser les bretelles du soutien gorge. Bras en croix ! Elle s'exécute, placé derrière elle, mes mains fouillent ses cheveux, caresse sa nuque, masse ses épaules, parcours ses bras. Mes pouces descendent la colonne vertébrale jusqu'au soutien gorge, le longe, remonte sous les aisselles. Mes doigts épousent la forme de ses seins, passe dessus, replonge en dessous. Ses seins sont fermes, blanc, doux. Elle se laisse palpée sans bougée. Quand mes doigts sentent les tétons, je les tire, les roule à travers le tissu. ANGELIQUE gémie. Tu aime les caresses ? Oui maître fort et clair, ça y est, elle se décontracte. Un genou à terre, et mes mains descendent sur son ventre et vont palper son cul, elles glissent des hanches aux genoux, remontent sous la jupe, jusqu'à la couture de la culotte. Les deux index parcourent les coutures, trouvent les lèvres, débordant de chaque coté. Elles sont gonflées et humides. A leur contact, petite contraction d'ANGELIQUE. Tu aime le sexe ? OUI maître, dans un gémissement, car j'ai entrepris de déplier et d'étirer ses chairs. Je les rabats, et les laisse s'enrouler par-dessus le tissu. Monte sur la table basse, position d'inspection ! Je pars chercher la lampe, je me place face à ANGELIQUE. Rapproche test pieds, accroupi toi, genoux écartés ! ANGELIQUE s'accroupie lentement, sa jupe remonte sur ses cuisses. Je m'accroupis à mon tour, donne une ou deux tapes pour que ses genoux s'ouvrent plus largement, j'allume la lampe. Je découvre alors ses lèvres roses, contrastant sur le blanc de la culotte, enfin le blanc taché d'une auréole plus foncée, quelques poils blonds dépassent ça et la. Du dos de la main, je caresse l'intérieur d'une cuisse. Arrivé à la hauteur de son sexe, un doigt caresse les lèvres, descend le sillon de sa chatte humide, que je sens entrouverte. Ce doigt force le tissu, comme pour entrer avec un préservatif, ANGELIQUE gémie. .JE contourne la table, me place derrière ANGELIQUE. Je caresse son cul, le malaxe, teste sa fermeté, le claque doucement. Bien, relève-toi, reste pieds joints ! Je tire sur le zip de la fermeture, défais le bouton, fais descendre la jupe à ses pieds. La voilà, devant moi, en culotte et soutien gorge, bretelles pendantes, sans bouger. Je fais une photo. Nous allons voir si tu as bien retenu cette première leçon. Dans quelle attitude doit-tu être pendant les attentes ? Mains derrière la tête, tête haute, et jambes écartées, maître. C'est bien, nous pouvons poursuivre. Va t'asseoir sur le fauteuil de gynécologie ! Place tes pieds dans les étriers ! Je prends quatre bracelets que je fixe à ses poignets et à ses chevilles. Je la fais se coucher, j'attache ses poignets aux pieds de la table, avec assez de mou pour qu'elle puisse se relever un peut. J'attache ses pieds aux étiers, et règle ceux-ci dans un grand écartement. Je vais procéder à ta visite d'entrée en soumission. Je m'équipe de la lampe frontale, de gants de latex. Je commence par la bouche, qui est inspectée en détail, dentition, langue, fond de la gorge. Elle a une belle langue rose, grande et ferme. Tu aime faire des fellations ? Oui, maître, j'adore. Puis c'est le tour du nez, des oreilles et de ses yeux, d'un bleu profond. Je palpe son coup, son larynx, prend son pouls. Je la redresse, dégrafe son soutien gorge, que je pose sur la desserte. Deux beaux ballons bien ronds se libèrent. J'entâmes la palpation de ses seins. Je teste d'abord leur fermeté, je les jauge, les malaxe, les ballotte, les claque, leur fais de petits pinçons. ANGELIQUE se crispe, c'est une partie sensible. Je fais le tour des auréoles, les attrape avec trois doigts, les tire, les comprime. C'est au tour des tétons, ils sont tirés, ils roulent entre mes doigts, ils durcissent, c'est vraiment une partie très sensible. Je continu de jouer avec et demande : Raconte-moi ton dépucelage ? A 15 ans, maître, avec un garçon de mon age. Précoce dit donc, et c'était bien ? Non, maître, trop rapide. Tu aime les longs préliminaires comme aujourd'hui ? Oh ! Oui maître. S'a y est, la glace est rompue, elle me répond sans hésitation, avec encore un peut de pudeur. Ses tétons sont maintenant durs, saillants, fières. Je la sens qu commence à vibrer. J'arrête et je descends ausculter le ventre. Je m'attarde sur le nombril, je le fais saillir. Ma main arrive au raz de l'élastique de la culotte, le longe. Ma main va se poser sur sa vulve, et la caresse. Tu as des amants ? Non, maître, je suis mariée. Eh alors ! Tu en as eu avant ? Oui, maître, deux. Seulement deux ? Oui maître. Tu possède des jouets ? Des jouets maître ? Godes, boules de geishas. Non, maître, je n'ai jamais essayé. Nous comblerons cette lacune. Je soulève l'élastique de la culotte de la main gauche pour apercevoir sa toison. La main droite pénètre dans la culotte, va extraire le tissu des lèvres. Un doigt se glisse dans la fente humide, et commence un lent va et vient. ANGELIQUE se cabre et gémie. Je contourne la table, délie ses chevilles, et je viens prendre place à sa droite. Je baisse sa culotte pour découvrir sa toison. Je la fais glisser jusqu'à la moitié de son cul. Joint tes jambes et lève-les ! Je les attrape de la main gauche, je fais coulisser sa culotte jusqu'aux genoux. J'ai une vue plongeante sur sa chatte, sa raie culière. Ma main droite va se poser sur son sexe, deux doigts écartent les lèvres. L'intérieur luisant est de couleur rouge cerise. Deux doigts s'engouffrent, écartent, tournoient dans ce puits d'amour. ANGELIQUE gémie. L'index descend la raie culière, tourne autour de la rosette. Celle-ci est lubrifiée de cyprine. L'index force l'entrée du conduit secret. Non, maître, pas la ! Deux claques s'abattent sur les fesses. Tu ne dois refuser aucun de tes orifices ! L'index reprend sa lubrification, retourne à l'assaut de l'étroit passage. ANGELIQUE est crispée, contractée, je renonce, on verra plus tard, dans une position plus favorable. J'ôte complètement la culotte, et je re fixe les chevilles aux étriers. Je renifle la culotte, qui disparaît dans ma poche en souvenir. A partir de maintenant, tu ne porteras plus ni culotte, ni collant, ni pantalon, ni soutien gorge, sauf quand tu as tes règles, compris ? Oui, maître. J'ai une vue magnifique sur sa chatte blonde, peu poilue. ANGELIQUE, tu es maintenant nue, ce sera la tenue obligatoire, sauf exceptions, pour toutes les autres leçons. Mais tu n'es pas encore assez dénudée, à mon goût, tu va perdre tous poils. Si vous voulez, maître. Première concession, elle s'est faite sans hésitation et sans restriction, mon élève est vraiment motivée. Je fais une photo, je l'intitulerais : ANGELIQUE début de soumission. Sur le lavabo, je prépare un rasoir, avec lame neuve, le gel de rasage, de l'eau tiède, un gant de toilette, une crème apaisante. Je reviens, contemple un instant ses poils blonds qui vont disparaître. Je les humecte avec le gant trempé dans l'eau tiède. Une noie de gel, je l'étale doucement jusqu'à ce que la mousse devienne bien onctueuse. Le rasoir, passage de la lame, avec précaution, dans les moindres recoins et plis de cette partie intime. Mes gestes sont doux, caressants, attentionnés. Je découvre la beauté de sa chatte, l'anus bien lisse, jusqu'au pubis, plus un poil, c'est doux. Je nettoie le surplus de mousse, je passe le crème apaisante. Que ressent-tu ? Cela me fait tout drôle, j'ai l'impression d'être encore plus nue, maître. Je te préfère ainsi offerte. Je voudrais toucher, maître ! Tout à l'heure, patience. Tu devras prendre un rendez-vous avec une esthéticienne de mes amis. Je viendrais, avec toi à ce rendez-vous, pour une épilation totale. Ensuite, chaque mois tu y retourneras. Oui, maître, avec plaisir. Je fais une photo, je l'intitulerais : ANGELIQUE soumise parfaite. Ton premier jouet ANGELIQUE. Je prends un gode vibrant, de taille moyenne, que je glisse dans sa chatte ruisselante. Vibration moyenne, lent va et vient, de l'autre main je titille le clitoris. ANGELIQUE gémie, je sens son plaisir monter, mais je ne veux pas qu'elle arrive à l'orgasme, plus tard seulement. La devinant à point, j'arrête, je remplace le gode par des boules de geishas. La première boule entre, ressort, puis la deuxième. A ce moment la, j'entends un bruit de moteur. Je descends laissant les boules en place, seul l'anneau émerge des lèvres, et rencontre PHILIPPE, le propriétaire des lieux. Sa venue n'est pas prévue, mais d'un coté, elle m'arrange. Salutations, PHILIPPE me demande comment ça se passe. Je lui réponds très bien, belle élève, intelligente et obéissante. Mais viens constater par toi-même, et nous montons. En voyant entrer PHILIPPE, ANGELIQUE à un haut le cœur. Etre attachée, nue, jambes écartée, rasée, sur un fauteuil de gynécologie, devant un deuxième inconnu, a de quoi surprendre. ANGELIQUE, je te présente PHILIPPE, le propriétaire des lieux, il participera occasionnellement à ton éducation, aussi je veux la même attitude envers lui qu'envers moi,, compris ? Encore sous le coup de la surprise, oui, maître, plus faible Nous nous approchons, PHILIPPE embrasse ANGELIQUE, en lui caressant les seins. Il joue un instant avec les tétons. Une mais se porte sur le sexe, il sent l'anneau des boules. Il a un sourire, tire sur l'anneau, sort les boules, les donne à sucer à ANGELIQUE. Sa main retourne fouiller la chatte, ANGELIQUE ne dit rien, gémie. PHILIPPE : c'est vrai qu'elle est douée ta belle pouliche ou c'est toi qui s'es y faire. Tu me mets des photos de coté Bon je vous laisse, au revoir. ANGELIQUE est rouge de honte, il va voir des photos d'elle dans cette posture. Je caresse ANGELIQUE, elle s'apaise. Je reprends le gode, je la masturbe doucement, son plaisir reviens et je la laisse aller jusqu'à l'orgasme, pour la récompenser. Il est 13 heures. Tu as faim ? Oui, maître. Je détache ses mains. Maître, je peux ? Oui, mais n'en profite pas Pendant que je libère ses chevilles, elle passe sa main sur sa chatte. Alors ? C'est doux, mais c'est comme un manque. Eh oui, tu n'as plus cette protection symbolique. Allons à la cuisine. Pas toute nue, maître ? Mais si, c'est ta tenue maintenant, pas de discussion. Nous descendons à la cuisine. Pendant qu'elle prépare une salade, enfourne une pizza, je nous sers un apéritif et dresse la table. Nous passons à table, elle s'assoie jambes jointes. Ta position ! Ma voie à claquée comme un fouet, instantanément ses genoux s'écartent. Le repas passe vite, nous discutons de choses et d'autres. Un fruit, un café, et nous remontons, nous avons encore du travail. Je lui attache mes mains dans le dos. Avant de déjeuner, je t'ai fais une petite gâterie, à toi de me la rendre maintenant. Oui, maître. Je m'installe dans un fauteuil, ANGELIQUE s'agenouille entre mes jambes, embouche ma queue, et commence une merveilleuse fellation. Je la détache, elle retourne se sur le fauteuil de gynécologie. Je vais chercher son sac, que je vide sur la table. Que faite-vous, maître ? Je fouille ton sac, tu ne dois avoir aucun secret pour moi. Oui, maître. ANGELIQUE regarde tendu la fouille de son sac. Sac de femme classique : petit nécessaire de maquillage, clés, porte-monnaie, portefeuille, et un petit carnet noir. Je regarde ANGELIQUE, à son expression, j'ai trouvé un trésor. Des numéros de téléphone, beaucoup de prénoms masculins que j'énumère à haute voie. Et toujours pas d'amants ? Non, maître, des amis seulement. Je range son sac avec un sourire, ANGELIQUE est rouge, je n'en saurais pas plus. Et tu a goûtée aux plaisirs féminins ? Non, maître, jamais. Ca te plairais ? Je ne sais pas maître. Comme elle est docile, je la laisse libre. Je m'assoie sur un tabouret, devant la table, la desserte à porté de main. J'ausculte sa chatte, encore toute humide, déplie les lèvres. Je l'ouvre des deux mains, l'écarte au maximum. Je remonte, fouille, fais apparaître le clitoris. Celui-ci n'est pas trop petit, il pointe fièrement au milieu des nymphes. Je le décalotte, titille sa pointe toute rose. Au touché, son ventre trésautte, comme si une décharge électrique l'avais frappée. Mes investigations font gémir ANGELIQUE. Je prends un spéculum, l'introduit, règle l'ouverture. Je peux contempler son vagin béant. Je fais quelques gros plans. ANGELIQUE, ton éducation porte aussi sur le contrôle de ton corps. Tu va pisser, à mon commandement, mais par petits jets. Oui, maître ! . J'installe une cuvette. Pisse. Stop. Recommence. Stop. L'exercice se déroule en trois ou quatre fois, J'ai une main posée sur son mont de venus, deux doigts encadrant le clitoris. ANGELIQUE s'applique, obéie à merveille. C'est bien, on va nettoyer tous ça. Je remplie une grosse seringue avec de l'eau tiède. Au travers du spéculum, par de petites injections, je remplie son vagin. J'ôte le spéculum. Garde le un instant ! Pendant qu'elle garde son lavement, je prépare ses seins, pour la suite, je fais durcir ses tétons. ANGELIQUE expulse son lavement, je la nettoie avec un gant de toilette, et je la sèche à l'aide d'une serviette. ANGELIQUE, je vais tester tes réactions à de petites douleurs, comme je te l'ai dit en arrivant. Oui, maître, avec une voie tremblotante. Je reprends la préparation de ses seins. Quand les tétons sont bien durs, je place doucement une pince sur un téton, sert légèrement la vis. Même opération pour l'autre téton. Pas de réaction, je fais faire un tour aux vis. ANGELIQUE grimace un peut. A toi, fais un tour de vis ! Non, maître, j'ai déjà trop mal. J'insiste fermement, elle avance ses mains lentement, les recule, fini par attraper une pince, sert doucement, grimace plus. Elle s'arrête à un demi-tour. Encore un effort ! ANGELIQUE fini le serrage, passe à l'autre téton, exécute le serrage d'un coup. Je caresse ses seins, ses auréoles bien larges, touche le bout des tétons. ANGELIQUE se décrispe. Les pinces vont rester en place jusqu'à la fin de la visite, pour qu'elle s'habitue. JE redescends vers sa chatte, déplie une grande lèvre, pose une pose à linge. Nouvelle grimace, c'est au tour de l'autre lèvre d'être pincée. Je tire sur les pinces. ANGELIQUE fait des " AH ! " , des " Non pas çà " . Je place deux autres pinces, tire dessus, elle ne dit plus rien, la première douleur est passée, mais sa respiration est rapide. Cà te plaie ? Oui, maître, murmuré. Bien, on va passer à la face arrière. J'enlève les pinces à linge, et fais mettre ANGELIQUE à genoux sur la table. Je fixe ses pieds aux étriers, j'attache ses mains, qui reposent sur le dossier du fauteuil. Une tape sur les fesses, et un doigt se plante sur sa rosette. Ce matin, tu m'as refusé ce trou, tu es vierge de ce coté-la ? Oui, maître. ANDRE n'a jamais voulu ? Non, c'est moi maître qui ne veut pas. Qui ne voulais pas, car maintenant il y aura droit. Je vais devoir procéder avec d'infinies précautions. Des deux mains, j'écarte ses fesses, son petit trou reste obstinément fermé. J'étale une bonne couche de vaseline sur sa rosette, j'attrape fermement ANGELIQUE, et un doigt force l'entrée secrète. ANGELIQUE ne dit rien mais souffre. Décontracte toi et pousse comme si tu voulais chier ! Ses muscles se détendent, j'en profite pour accentuer la poussée. Mon doigt est entré à moitié, petite pose. D'un coup sec, la poussée recommence, ANGELIQUE se cabre, le doigt est au fond. Le doigt tourne dans l'étroit boyau. Un lent va et viens commence. ANGELIQUE se décontracte, le va et vient s'accentue, La pression se relâche, le bras qui la tenait la libère. Je la masturbe alors, au même rythme Elle accompagne les caresses, la douleur fait place au plaisir. Le doigt se retire. Alors ANGELIQUE ? C'est bon, maître, mais c'est douloureux. C'est normal, tu es trop étroite. Je vais te préparer un programme d'élargissement, et tu verras que tu arriveras à l'orgasme, aussi par ce coté-la. D'ailleurs on commence tout de suite, avec ton troisième jouet. Je prends un gode anal, très fin, tout lisse. Je l'enduis de vaseline devant ANGELIQUE, pour qu'elle prenne conscience qu'il va la pénétrer. Une nouvelle couche sur la rosette, qui se déplisse plus facilement. J'agrippe ANGELIQUE de la même manière, et présente l'objet. Le pousse, par petites saccades, sa respiration change, se coupe. Trois centimètres sont entrés, pose. La poussée reprend, de temps à autre elle s'arrête, je tourne le gode, reprends la poussée. Lorsque celui-ci est entré à moitié, j'entâmes un lent va et vient. Lâchant ANGELIQUE, j'introduis le gode vibrant. Les va et vient s'intensifient sur les deux godes. ANGELIQUE entreprend des mouvements avec son bassin, son plaisir monte, je la laisse venir jusqu'à l'orgasme. Je libère ses trous, l'embrasse. Elle transpire, a du mal pour retrouver sa respiration, je la rafraîchis avec un peut d'eau. Je lui fais boire un verre d'eau. Ce soir, avant de partir, je te placerais un petit plug. Tu devras le garder jusqu'à demain matin. Je demanderais à ANDRE de te doigter, et de te le replacer chaque soir, et samedi prochain tu viendras, à ta leçon, avec celui-ci fiché en toi. Oui, maître. Ensuite, chaque semaine, le diamètre augmentera. Dans deux semaines, tu seras prête pour ta première sodomie, dans un mois tu seras fière de ton cul. Je libère ses tétons, surprise d'ANGELIQUE, elle ne faisait plus attention à la présence des pinces. Tu voies que ce n'est pas si douloureux ! Je prépare un petit plateau, équipé de quatre chaînettes, terminées par quatre pinces. Je fixe une pince sur chaque téton, et une pince sur chaque grande lèvre. Je règle le plateau bien à l'horizontal. Comme sur le plateau d'une balance, je pose des poids, 10 grammes par 10 grammes. Plus le poids augmente, plus ANGELIQUE se crispe. Vers 300 grammes, elle s'agite, le tiraillement se fait sentir. Je caresse ses seins d'une main, et sa vulve de l'autre. Je la masturbe de deux doigts, le pouce sur le clitoris. Elle s'apaise, le balancement du plateau se calme. J'accentue mes caresses, ANGELIQUE ondule, le balancement du plateau reprend. Elle est à la limite douleur / plaisir. J'enlève le plateau, la détache, la fais descendre du fauteuil. Elle se détend, la position à genoux la ankylosée. Je m'installe dans un fauteuil, naturellement, ANGELIQUE se place en position d'inspection, face à moi, au centre du donjon. Je la fixe dans les yeux. Approche ! A 2 mètres de moi, je la stoppe, puis je la déshabille du regard, ses seins, sa chatte. De coté ! Cambre les reins ! Rentre le ventre ! De derrière ! Elle me présente son cul, fais tous les mouvements naturellement, Viens me présenter tes trous ! Elle recule jusqu'à moi, elle a compris, écarte encore plus les jambes, se penche en avant. ANGELIQUE a perdu toute pudeur, elle me présente ses orifices d'elle-même. J'écarte ses fesses, un pouce joue avec la rosette, la déplisse. Sa chatte est toujours aussi humide, trois doigts la fouille, la détende. Le clitoris est décalotté, la petite pointe rouge apparaît, érigée, prête au plaisir. Je sors ma queue, toute raide de la voir dans cette position, enfile un préservatif. ANGELIQUE se baisse et s'empale sur moi. Elle commence une danse effrénée. Nous jouissons ensemble, et ANGELIQUE se couche sur moi, épuisée. Pose de quelques instants, elle retourne au centre du donjon. Je me lève et dit : ANGELIQUE, aujourd'hui tu as été une élève très obéissante. Mais il faut que je te donne un aperçu des punitions qui t'attendent si tu fais une faute, pendant une leçon, ou si ANDRE me fait par d'un manquement aux exercices imposés, ou aux attitudes requises. Il y a trois types de punitions : Une punition légère : la fessée à main nue. Une punition moyenne : la flagellation au martinet. Une punition forte : le cravachage. Tu va maintenant les subir, toutes les trois, mais sans que j'appui les coups, juste pour te faire réfléchir à ce qu'elles pourraient être. Comme vous voulez, maître. De temps à autre, il me sera permis de te faire goûter aux joies de la flagellation, sans que ça soit une punition, comme ça, pour mon plaisir. Oui, maître. Le bras gauche passé dans son dos, ma main revenant sur son ventre, je l'oblige à se pencher en avant. Je commence une légère fessée, avec des claques alternées, bien réparties sur chaque globe. Son cul devient rose, les trois dernières claques visent plus précisément l'entrejambes, les doigts finissants leur course sur la vulve. Le martinet caresse son dos, seules les pointes des lanières pincent un peut la peau. Je ne tape pas, mais le martinet tourne rapidement. Le cul est parcouru, les cuisses. Deux ou trois coups dans l'entrejambes. Puis c'est au tour du devant, les cuisses, le ventre, les seins. Pour finir, le manche s'introduit dans la chatte et y reste. La cravache prend le relais. De petits coups rapides sur les tétons, pas fort, juste pour les faire durcir. Quelques coups légers sur le clitoris, juste pour l'exciter. Enfin le cul, les coups sont un peut plus forts. J'embrasse ANGELIQUE, je la prends dans mes bras. Il est presque 19 heures, ANDRE ne va pas tarder. ANGELIQUE, je vais te parer pour le retour d'ANDRE. Le martinet toujours fiché en elle, je place des pinces, munies de petits poids, sur les tétons et les grandes lèvres. J'admire un instant cette parure. J'entends la voiture d'ANDRE. Je descends pour l'accueillir. ANDRE : alors, comment la leçon s'est passée ? Très bien, ta femme est une élève très obéissante, elle fera une bonne soumise. Mais le plus important travail concernera son cul. Tu ne la jamais touché ? Non, car elle n'a jamais voulu. Eh bien c'est fini, et tu va même être mis à contribution. Mais viens plutôt juger du résultat. Nous montons, ANDRE s'arrête à l'entrée du donjon, surpris de voir sa femme nue, jambes écartées, mains derrière la tête, un martinet débordant de sa chatte, et des pinces, avec poids, sur les tétons et les grandes lèvres. ANGELIQUE esquisse un sourire. ANDRE s'avance, tourne autour d'elle, j'ai l'impression qu'il découvre une autre femme. Alors, ANDRE, comment la trouve-tu ? Je suis impressionné, la voir comme ça, chatte rasée, parée et souriante en plus. Que t'en oubli de l'embrasser ? Vas-y et enlève-lui sa parure. ANDRE l'embrasse furieusement, ANGELIQUE lui rend son baisé. Il ôte les pinces des tétons, les embrasse, les suce. Il libère les grandes lèvres, extrait le martinet, commence une caresse lascive, que j'interromps. La leçon n'est pas tout à fait terminée. ANDRE je te donne deux responsabilités. La première est une tache de surveillance, à partir de maintenant, les culottes, collants, pantalons, soutien-gorge, sont bannis pour ANGELIQUE, sauf pendant ses règles. La deuxième est une tache d'élargissement de son cul. Nous allons, maintenant lui placer un plug, que tu devras enlever demain matin seulement. Tous les soirs, tu le remettras en place, pour la nuit, et samedi prochain ANGELIQUE viendra à sa leçon avec. ANGELIQUE, penche-toi sur la table ! Oui, maître. Je montre à ANDRE comment procéder. D'abord, bien enduire de vaseline la rosette. Puis faire un doigté, doucement et lentement, afin de décontracter ANGELIQUE. Puis, remettre une couche de vaseline, et enfoncer le plug, à fond, en lui écartant bien les fesses. Pendant l'opération, ANGELIQUE à gémie, et le plug vissé en elle, elle se redresse.. Elle va se rhabiller, sa démarche est hésitante, le plug la gène. Je prends rendez-vous avec ANDRE pour le vendredi midi, avec ANGELIQUE pour le samedi, 10 heures, dans sa tenue d'écolière. Je les raccompagne, J'embrasse ANGELIQUE longuement avant qu'elle ne se contorsionne pour monter en voiture. Je lui rappelle la tenue de son journal de soumission, et le rendez-vous chez l'esthéticienne.
Education d'ANGELIQUE
Deuxième partie
Auteur : MasterLyon69@aol.com
Mercredi soir, le téléphone sonne, c'est ANGELIQUE Bonsoir, maître. Bonsoir ANGELIQUE. Comment ça va ? Très bien maître, j'ai rendez-vous demain à 13 heures, chez l'esthéticienne. OK j'y serais, à demain. Jeudi, 12 heures 30, j'arrive en avance. MARIE, brune de quarante ans, est une vieille connaissance, soumise et quelques fois dominatrice, son salon m'a déjà rendu quelques services. Je lui ai téléphoné, pour la mettre au courant de ce que j'attendais, et je veux finaliser les détails de l'épilation d'ANGELIQUE, avant que celle-ci n'arrive. Je sais MARIE très douce, et lesbienne, aussi je lui ordonne de ne pas faire jouir ANGELIQUE, elle aura sa part plus tard. MARIE accepte, je passe dans le cabinet pour installer mon matériel. J'ai apporté mon caméscope afin d'immortaliser la séance pour ANDRE. Le petit cabinet est meublé d'un fauteuil identique à ceux utilisés en gynécologie, de deux tabourets. MARIE as préparé tout le nécessaire, cire, lingettes, crème apaisante. 13 heures, ANGELIQUE arrive, je l'embrasse, et je lui présente MARIE.. ANGELIQUE, tu viendras ici une fois par mois. MARIE, à partir du mois prochain, participera à ton éducation. MARIE est très douce, si tu lui rends ce qu'elle te donne, tu seras très heureuse, sinon elle peut se monter très sévère. Aujourd'hui, vous allez faire connaissance seulement. Bien maître Nous passons dans le petit cabinet. ANGELIQUE mets toi nue ANGELIQUE est venue dans le même tailleur gris que lors de notre première rencontre, le chemisier est toujours boutonné très haut. Elle ne porte, comme convenu, ni soutien gorge, ni culotte. MARIE installe ANGELIQUE dans le fauteuil, règle les étriers, et ne peut s'empêcher de la caresser. Je la stoppe, prétextant la vérification du travail du plug. Je fais avancer ANGELIQUE sur le bord du fauteuil, et ayant placé un peut de crème sur mon index, je lubrifie sa rosette. L'index pénètre facilement. Le plug a fais du bon travail, et ANGELIQUE a bien appris à décontracter ses muscles. MARIE peut commencer son travail. MARIE : ANGELIQUE, la cire chaude va faire un peut plus mal que pour l'épilation des jambes, mais ton maître t'a si bien rasée, que cela va aller très vite. Je prends mon caméscope, et MARIE commence à étaler la cire. Après avoir fait un plan général d'ANGELIQUE, les gros plans alternent entre son entrejambes couvert de cire, et son visage exprimant une légère grimace. MARIE à des gestes lents et doux. La cire enlevée, elle finalisa l'épilation du pubis avec une pince électrique. Avec minutie elle piquait la racine des poils, que la cire n'avait pue atteindre, pour les extirper définitivement. Le travail dura presque une heure. ANGELIQUE ne tenait plus en place, elle devait avoir le sexe en feu. Enfin, MARIE passa la crème apaisante. Elle jouas avec la vulve, extirpas le clitoris, tout rose. ANGELIQUE commençait à gémir, je laissais faire, sachant que MARIE tiendrais sa promesse. Le jeu duras un bon moment, une femme peut faire languir une autre femme, bien plus longtemps qu'un homme. Les femmes sont à la fois plus douces et plus vicieuses. MARIE s'arrêta lorsque qu'ANGELIQUE arrivas au bord de l'orgasme. Rhabille-toi ! ANGELIQUE reboutonnas trop haut son chemisier, je lui déboutonne trois boutons, arrange son chemisier sur le col de la veste de tailleur, faisant un large décolleté. Voilà, c'est mieux comme ça, viens, je t'invite à déjeuner. Je règle MARIE, et nous partons vers une brasserie du centre ville. Pendant le déjeuné, ANGELIQUE est décontractée, je ne lui suis pas indifférent. J'en profite pour faire plus ample connaissance, sa rencontre avec ANDRE, sa vie de jeune fille, sa famille, sans aller jusqu'aux indiscrétions. Après le café, je la raccompagne chez elle. Elle m'invite pour le digestif, j'accepte. Elle m'installe dans son salon, prépare les boissons, nous trinquons. Après le premier verre, j'ordonne : Déshabille-toi ! Ici, maintenant, maître ? Oui ferme, ANGELIQUE est surprise. Tu va découvrir comment se passeront mes visites impromptues, et je vais terminer ce que MARIE, sur mon ordre, a su si bien commencer. Elle ôte ses vêtements, et prends la position d'inspection. Je la détaille un instant de mon fauteuil, puis me levant, je vais tirer les rideaux des fenêtres. Je reviens vers elle, elle sourie, je l'embrasse. Je lui tourne autour, sans la toucher, simplement les yeux, partout sur son corps. Passant derrière, j'attrape ses seins, et commence un lent massage, des globes, des auréoles, des tétons. Tes leçons vont devenir de plus en plus dures à supporter. La douleur doit faire partie de ta soumission. A partir de samedi, la fermeté l'emportera sur la gentillesse. Mais en contre partie, mes visites seront toujours très douces et très câlines. A ces mots, ANGELIQUE se trouble et ne dit rien, ses tétons durcissent. Ma main droite descend sur son ventre, arrive au mont de venus, se plaque sur sa chatte. Celle-ci est lisse, douce comme une peau de bébé. Je sens les lèvres humides, ANGELIQUE se laisse aller en arrière, contre moi. De la main gauche je tire sur sin téton pour annuler son mouvement. Penche-toi en avant ! Ma main droite se place sur son cul, le caresse, mon index descend la raie culière, rencontre sa rosette, s'y attarde, reprends sa descente, survole le périné. Tout est lisse, net. L'index continu sa course, s'émisse entre les lèvres, trouve l'ouverture, pénètre, ressort. Maintenant, deux doigts la fouille, s'imprègne de mouille. Je remonte sur la rosette, la lubrifie, le déplisse. Ecarte tes fesses avec tes mains ! ANGELIQUE s'exécute, le pouce se présente, force l'entrée. Mais ANGELIQUE est encore trop étroite. Ou range-tu la vaseline ? Dans la salle de bain, maître. Ne bouge pas ! Je reviens avec le tube, ^lace une noie sur la rosette. Le pouce reprend sa place, force, entre. ANGELIQUE gémie, le pouce est au fond. Le conduit secret est déjà plus large. Tu supporte bien le plug ? Samedi et dimanche, j'ai eut mal, mais maintenant ça va, maître. Le pouce ressort, une petite tape sur les fesses. Montre-moi ta chambre ? Oh ! , Maître. Pas de discussion allez ouste ! Une tape appuyée sur les fesses, et ANGELIQUE se dirige vers sa chambre. Sort tes sous-vêtements, que je voie ce qu'il manque ! ANGELIQUE étale sur le lit ses culottes, soutien gorges, bas, porte jarretelles. Elle ne possède, ni corset, ni guêpière. Que mets-tu pour dormir ? Elle déballe ses chemises de nuit, deux pyjamas. Il n'y a pas de nuisette. Range tout, sauf les culottes et les soutiens-gorge ! Couche-toi sur tes culottes, en travers du lit, le cul au bord, et lève tes jambes, très écartées ! Non, maître, pas ici, pas dans notre chambre. Ton contrat stipule que je peux avoir des rapports protégés, en toute circonstance, selon mes désirs. Obéie ou je te corrige avec ma ceinture ! ANGELIQUE, rouge de honte, obéie. Je m'agenouille, contemple, un instant son sexe et son cul. J'étire ses grandes lèvres, décalotte son bouton d'amour. Trois doigts pénètrent son vagin, ma langue lèche son clitoris. Son vagin se contracte à chaque lampée. Mes doigts le massent, l'écarte, ils baignent dans sa mouille chaude. La respiration d'ANGELIQUE est plus rapide, elle émet de petits cris. Je sors ma queue, déjà bien raide, me masturbe un instant en continuant mes caresses. Je place un préservatif, et pénètre doucement ANGELIQUE. Le lent va et vient s'accélère, je sens son plaisir monter. Je ralentis, accélère de nouveau. ANGELIQUE arrive à l'orgasme en même temps que je décharge. Je me relève et lui laisse reprendre son souffle. Ramasse tes culottes et tes soutiens-gorge, et met les dans un sac, tu n'en as plus besoin ! De retour au salon, nous reprenons un verre, ANGELIQUE blottie contre moi. Puis je l'embrasse, je la laisse, emportant le sac de sous-vêtements, mais laissant la cassette vidéo. Vendredi midi, j'ai rendez-vous avec ANDRE, pour déjeuner. ANDRE est déjà arrivé, installé à une table à l'écart. On commande un apéritif, le menu. Alors, ANDRE, tes impressions ? ANGELIQUE est enchantée, elle avait peur avant de franchir le pas, et tu as su la convaincre. Mais, venir la prendre chez-nous, dans notre chambre ? C'est dans votre contrat, et je vous ai prévenu, que ça vous coûterait, à l'un, comme à l'autre. Oui, mais qu'en même. Je vous ai imposés des exercices, ils se passent bien ? ANGELIQUE a eut mal samedi et dimanche. Dimanche soir, c'est avec d'infinies précautions et tendresse, que j'ai pu placer le plug, mais maintenant elle le supporte plutôt bien. Lui faire l'amour, avec le plug, est une merveilleuse sensation. Tu voies que la situation n'a pas que des désagréments. La cassette vidéo t'a plu ? Oui, c'est très érotique comme situation, voir ANGELIQUE subir sans broncher, même s'il y a de la douleur, avec l'impression d'être heureuse. Mais pourquoi l'esthéticienne ne la pas fait jouir ? C'est sur mon ordre, ANGELIQUE doit apprendre à retenir ses pulsions. Au fait, MARIE, l'esthéticienne, participera à son éducation, quand viendra le moment de lui faire goûter les plaisirs de Lesbos. La semaine prochaine, ANGELIQUE doit être disponible 2 jours, pour venir à PARIS, avec moi, pour l'achat de ses tenues, et de ses jouets intimes, d'accord ? Oui, pas de problème. OU va-tu construire le donjon ? Nous avons une grande pièce de 50 mètres carrés, attenante au garage, que nous réservions pour faire une salle de jeux, ce sera une salle de jeux spéciale. Bien, mais l'entrée devra être dissimulée, et doit pouvoir être fermé à clé. Oui, c'est prévu. Je te donne l'adresse d'un artisan de confiance, qui réalisera les meubles spéciaux nécessaires. J'ai un ami médecin qui me guidera pour l'achat de tout le matériel médical. J'ai en tête, la réalisation d'un siège spécial, peut courant dans les donjons. A cet instant de la discussion, je lui décris mon siège, l'artisan consulté m'a conforté sur sa faisabilité. Ce meuble est une chaise très spéciale, en bois, revêtue de cuir. Elle n'a pas d'assise, le sujet repose seulement sur le bas des cuisses, près des genoux, avec un retour permettant de lier les chevilles. Les deux assises sont à angle droit°, deux sangles permettent l'immobilisation des cuisses. Le dossier est droit, étroit et haut, muni de deux sangles, une de retenu du ventre, une de retenu du coup. Il s'arrête à la hauteur de la chute de reins. De cette manière, les seins, le cul et le sexe sont bien dégagés et accessibles. Les mains sont attachées à l'arrière du dossier. Cette chaise, c'est sa grande particularité, peut pivoter sur un tour complet, afin de pouvoir mettre le sujet dans diverses positions : A l'horizontal, couché sur le dos. A l'horizontal, face vers le sol La tête en bas Et toutes les positions intermédiaires. Enfin la hauteur est calculée, pour que dans toutes les positions, le travail du maître soit facilité. ANDRE approuve le projet, et ajoute. Je tiens à te dire que dimanche nous recevons une amie d'enfance d'ANGELIQUE. Elles se sont déjà téléphoné, et nous l'avons invité, dimanche, pour qu'ANGELIQUE lui raconte en détaille notre aventure. Cette amie est célibataire et nous pensons pouvoir la convaincre. Elle est brune, 25 ans, très jolie. C'est une bonne nouvelle. Je lui remets un questionnaire de soumission qu'elle devra remplir. Avant de nous séparer, je l'informe sur le programme qui attend ANGELIQUE le lendemain. Elle devra faire des exercices de maintien, de poses imposées, elle subira son premier bondage avec bâillon et bandeau, sa première flagellation, et la séance se terminera par l'introduction de divers objets. Samedi 9 heures, j'arrive chez PHILIPPE. J'aère le donjon, et le prépare, installe le caméscope. ANGELIQUE n'a pas encore de tenue, elle sera donc nue pour sa leçon. 10 heures, ANGELIQUE arrive, en écolière bien sage. Les trois derniers boutons sont défaits, son chemisier est entrouvert. Je l'embrasse fougueusement, je lui offre un café. La journée va être bien remplie, aussi je l'informe tout de suite de notre voyage à PARIS. Elle n'est pas surprise, ANDRE à déjà fait la commission. Je lui précise que sa tenue de voyage sera sa tenue d'écolière, mais qu'en plus elle devra se faire des nattes. Le rendez-vous est à 9 heures à la gare, mardi. Monte dans la chambre te préparer ! Je débarrasse, et monte peut de temps après elle au donjon, me masque, déclenche le caméscope. Je souris, car je la découvre, dans la chambre, dans la position d'inspection. Viens ! Elle se place au centre, naturellement, ses gestes sont précis, elle n'a plus peur. Je la regarde, tourne autour d'elle, la détaille. Je m'avance vers elle. Penche-toi en avant ! Je saisis le plug et l'extrait d'un coup sec, elle lâche un cri. Comme je te l'ai dit mercredi, à partir d'aujourd'hui tes leçons vont devenir plus dures Je serais ferme et intraitable. Elles seront un mélange de douleur et de plaisir, à ma convenance. Aujourd'hui, tu seras traitée comme une chienne. ANGELIQUE blêmie, son visage se durci. Pour accentuer mes propos, je prends une cravache. ANGELIQUE, ANDRE s'est plein de ce qu'il s'est passé mercredi, c'est donc que tu as dû te plaindre. Le contrat, que vous avez accepté, décrit mes droits sur toi, si vous ne voulez pas les respecter, il vous faut renoncer ! Mais maître ! Tu accepte ou tu renonce ? J'accepte maître. Ceci ne devra plus se reproduire, aussi, pour que tu t'en souviennes, tu va recevoir la plus petite des punitions, 20 claques sur ton joli cul, ça te mettra en forme pour ta leçon ! Oui, maître. Je l'installe courbée sur la table, en appui sur les coudes, jambes écartées. C'est toi qui compte, un cri c'est 5 claques de plus ! Oui, maître. Je caresse son cul, je sens ANGELIQUE crispée, elle attend la première claque, fesse droite ou fesse gauche. Première claque, fesse droite, intensité moyenne, ANGELIQUE compte. Deuxième sur la fesse gauche, identique. Troisième, toujours sur la fesse gauche, plus appuyée, ANGELIQUE cri, 5 claques supplémentaires. Quatrième, aussi forte, sur la fesse droite, elle ne dit rien. Toutes les 5 claques, je fais une petite pose, je prends la température, son cul s'échauffe, rougi. Elle ne dira plus rien jusqu'au bout des 25 claques, seul le décompte se fait entendre, entre 2 sanglots. Son cul est hypersensible, à peine ai-je posé la main qu'elle réagit. Ma main se pose sur sa chatte. Elle est toute trempée. Je voie que la petite fille pas sage a apprécié. Deux doigts la pénètrent, le pouce caresse le clitoris, je sens son plaisir monter. Ses genoux se ^plient, son cul monte et descend. Je t'interdis de jouir, sinon c'est 5 claques de plus ! ANGELIQUE gémie, ne m'écoute pas, les vagues de plaisir l'inonde. Bien 5 claques de plus. Son cul est si sensible que les 5, claques non appuyées, sont comme 5 décharges électriques. ANGELIQUE tressaute à chaque coup. Elle se relève, j'essuie les larmes qui perlent sur ses joues. Ta leçon va débutée par des exercices de maintien et de gymnastique ! JE reprends la cravache. Je fais marcher, ANGELIQUE, comme les mannequins, un pied devant l'autre. Elle s'éloigne de moi, je ne voie que son cul rougi par la fessée. Elle revient, elle à une démarche féline. Elle refait un passage, c'est tellement beau. Je fixe, à son cou, un collier et une laisse. A quatre pattes ! Je promène ANGELIQUE, mais les dimensions du donjon me paraissent trop petites, j'ouvre la porte et nous sortons dans le couloir, j'arrête le caméscope. Je sens une résistance sur la laisse, un coup sec, et elle me suit docilement. Nous arrivons en haut de l'escalier. Je descends et ordonne : Debout et descend lentement en levant bien haut tes genoux, et tu marque un temps d'arrêt ! A chaque marche, sa chatte s'entrouvre et se referme. Puis elle doit remonter à genoux, l'escalier recouvert de moquette. Tu descends, accroupie et bien ouverte ! A quatre marches du bas, un bruit de moteur se fait entendre. Arrête et reste accroupi ! ANGELIQUE est inquiète, qui es-ce maître ? Ca doit être PHILIPPE. En effet, PHILIPPE entre. Salutations, et PHILIPPE aperçois, ANGELIQUE, rouge de honte, accroupie dans l'escalier Leçon de maintien et de gymnastique ? Oui, on commence. PHILIPPE monte les marches, embrasse ANGELIQUE, caresse ses seins, descend sur sa chatte ouverte, teste l'humidité, et se retournant vers moi : La leçon fait de l'effet. L'autre main se pose sur le cul d'ANGELIQUE, elle sursaute. Qu'est-ce qu'elle a ? Rien, elle vient de recevoir une bonne fessée. PHILIPPE est un connaisseur en fessée, un expert en flagellation. Il fait descendre ANGELIQUE, la courbe en avant, et examine son cul. Celui est encore rose et sensible. ANGELIQUE réagie. Tu deviens aussi expert que moi, toute la surface est de couleur uniforme et bien sensible. Tu veux participer à la suite de la leçon ! Non j'ai juste le temps de boire un café avec toi, et je m'en vais. Mais le temps de boire le café, on va la mettre dans une position de maintien. ANGELIQUE, lève une jambe, maintien la, avec ton bras. Si tu pose le pied, on le saura ! Et PHILIPPE pose 2 allumettes, entre les grandes lèvres, pour tenir la chatte bien ouverte. Nous partons, dans un éclat de rire, vers la cuisine, laissant ANGELIQUE en équilibre sur un pied. A notre retour, elle est sur le point de le perdre. PHILIPPE ôte les allumettes. Tu devrais pimenter la leçon avec des jouets ! Tu as raison, amuse-toi avec elle pendant que je vais les chercher ! C'est la première fois que je laisse ANGELIQUE seule avec PHILIPPE, que va t-il inventer, vicieux comme je le connais. Je ne prends que le martinet. PHILIPPE a placé un coussin dans le dos d'ANGELIQUE. Celle-ci est couchée, le dos en appui contre la première marche, jambes écartées. PHILIPPE est à genoux, de part et d'autre de ses épaules. ANGELIQUE fait une fellation, pendant que PHILIPPE butine son nectar. Elle est bonne, mais à déjà bien transpirée, ça sent la petite fille qui se néglige. ANGELIQUE est rouge de honte, PHILIPPE s'en va. Je prends sa place, et ANGELIQUE me fait une admirable fellation. A quatre pattes, pieds et mains au sol ! J'introduis le manche du martinet dans sa chatte, je la promène en laisse. Monte les escaliers, et ne perd pas ta queue ! ANGELIQUE monte doucement, gênée par la position et par le martinet. Les lanières caressent tantôt l'une, tantôt l'autre cuisse. De retour au donjon, je rallume le caméscope. Debout, sautillements à pieds joints ! Plus vite, lève les genoux ! ANGELIQUE s'essouffle, le martinet tombe. Jambes jointes, jambes écartées ! Plus vite ! ANGELIQUE transpire, souffle, y arrive de moins en moins. Pose, je fixe des pinces, reliées à des chaînettes, à chaque téton. On recommence, elle grimace, à chaque saut les pinces tirent sur les tétons. Bien, en position pour faire 20 pompes, jambes écartées. ANGELIQUE se place, je prends un gode, à chaque descente, elle vient s'empaler dessus. A la quinzième, elle n'a plus de forces, elle souffle, grimace, les 5 dernières sont très pénibles. Repos, c'est fini. ANGELIQUE est épuisée, je la laisse reprendre son souffle, je lui tends un verre d'eau. Je vérifie son état d'excitation, le gode à fait son effet, sa chatte est trempée. Allez, à la douche ! ANGELIQUE se dirige vers la porte du donjon. Ou va-tu ? A la salle de bain, maître. Non, la douche c'est ici. Je lui montre alors la douche dans le cabinet médical. Elle ne dit rien, monte sur le caillebotis de bois, et veut se saisir du pommeau. Non, c'est moi qui te lave, je veux que tu sois propre. ANGELIQUE rougie. Je règle l'eau à peine tiède, une douche froide lui fera du bien. Aux premières gouttes d'eau, ANGELIQUE sursaute. C'est trop froid, maître. Ne discute pas, c'est pour te remettre en forme, tu n'es pas en vacances ici ! Je l'asperge de partout, insiste sur l'entrejambes. Je la savonne, à l'aide d'un gant de toilette enduit copieusement de gel douche. D'abord la frimousse, le front, le nez, les oreilles, tout y passe. Puis le buste, je frotte fort sur les seins, insiste sur les tétons. ANGELIQUE grelotte, elle a la chair de poule. Je descends sur le ventre, parcours ses jambes, ses pieds. Ecarte les jambes, accroupi toi légèrement, ouvre bien ta chatte ! Je reprends du gel, frotte ses lèvres. Le gant pénètre, tourne dans son vagin. Tourne-toi ! C'est au tour du dos, des épaules, au bas des reins. Penche-toi ! Enfin le cul est recouvert de mousse, le petit trou fouillé sans ménagement. Je la rince abondamment, l'eau toujours aussi froide. D'une main, j'ouvre sa chatte, puis écarte son cul, le jet pénètre ses orifices. Je l'enveloppe dans une grande serviette de bain, je la frotte énergiquement, mais je ne parviens pas à la réchauffer. L'effet recherché se produit, ANGELIQUE à une envie pressante, elle se dirige vers le WC. Non, tu va le faire comme une chienne que tu es ! Je pose la cuvette sur le sol. Accroupie, et pas une goutte par terre ! ANGELIQUE se soulage. Sur le bidet, que je te rince ! Je la rince abondamment à l'eau froide, Je la sèche. Monte sur le fauteuil de gynécologie, et ouvre-toi bien ! ANGELIQUE n'est plus du tout excitée, sa chatte s'est refermée comme une huître. Je vais te réchauffer. D'une main, je caresse ses seins, ses tétons durcissent. Je lèche son clitoris, un doigt de poste à l'entrée du puits d'amour. L'humidité revient, le doigt entre, puis un deuxième. Quand elle est suffisamment lubrifiée et élargie, j'introduis un gode vibrant. Son plaisir monte sous l'effet des trois caresses. La sentant prête à jouir, je laisse le gode, vibrations maximales, et mon index force son petit trou. Il entre facilement, et au contact, l'orgasme d'ANGELIQUE l'emprisonne. Je l'embrasse tendrement Il est temps de descendre déjeuner. ANGELIQUE me suit, tenue en laisse. A genoux sur la table, tu va manger comme une chienne ! Je menotte ses mains dans son dos, j'écarte ses genoux et je place un verre rempli d'eau contre chacun d'eux. Gare à toi si tu les renverse ! Je prépare un repas frugal, je pose, devant ANGELIQUE, une assiette et un bol d'eau fraîche. Je me place en bout de table, derrière elle. En mangeant, elle m'offre le spectacle de sa croupe rebondie et de sa chatte ouverte. Pour le café, je la fais asseoir sur mes genoux, pour la câliner un peut, et lui expliquer la suite de la leçon. Prépare-toi à subir tes premières entraves. Tu va rester attachée de longues heures dans la même position avec un bandeau sur les yeux, pendant que je m'occuperais de tes trous. En fin de leçon, nous ferons des exercices de musculation spéciaux, et tu seras bâillonnée. Oui, maître. De retour au donjon, je l'équipe de bracelets aux poignets et aux chevilles, une ceinture de cuir enserre sa taille. Je place le bandeau. Je sens alors tous ses autres sens à l'affût de mes actions. JE la guide jusque sous le portique. J'attache ses chevilles, aux montants, jambes très écartées. J'attache ses poignets, bras levés, en croix, légèrement tirés vers l'avant. J'accentue sa cambrure en attachant et en tirant la ceinture vers l'arrière. De cette façon, ses seins sont bien saillants, son cul bien offert et sa chatte bien ouverte. ANGELIQUE, je veux le silence le plus complet ! Je prends la cravache, et commence à la caresser. Pas des coups, juste de petites touches. ANGELIQUE frisonne à chaque touche, et plus particulièrement sur les endroits sensibles : seins, vulve, cul. Une pose entre chaque touche, je tourne autour d'elle, elle ne sait pas ou la prochaine va se produire. J'alterne, avec la main, tire une oreille, un téton, le nez, pose la main sur sa chatte, claque son cul. Je fais des bruits, la cravache fend l'air rapidement, finie en effleurant son cul, elle sursaute. Je la sens inquiète, je m'en amuse. Je sors sans bruit chercher les ustensiles qui me manquent : des glaçons, une banane, un concombre, une brosse à cheveux ronde, une grosse cuillère en bois. Je reviens, pousse la porte violemment, ANGELIQUE pousse un cri, gigote dans ses liens. Je range les objets sur la table, j'y ajoute des godes, les boules de geishas, un martinet, des pinces avec poids, un carcan à seins, une bougie. Le carcan à seins se plaque sur sa poitrine. Qu'est-ce que c'est, maître ? Un carcan à seins, pour que tes bouts soient bien dardés. Je sers les vis, ses seins se compriment, elle grimace. Longue caresse des bouts, ils roulent sous mes doigts, durcissent, pointe fièrement. Une pince mord le téton droit, Un cri, une larme, plus de surprise que de douleur, le poids entraîne le téton. L'autre téton subit le même sort. Les auréoles grossissent, leur couleur fonce. Comme pour atténuer la morsure, ANGELIQUE avance le buste, creuse les reins, le cul se cambre. Petite préparation de la chatte, doigté et titillation du clitoris. Prépare-toi à avoir chaud aux fesses ! Non, maître. Inquiète ? . ANGELIQUE tortille son cul, se rappelant la fessée du matin. Un glaçon au bout des doigts, j'avance doucement la main vers sa chatte, et d'un coup sec le glaçon disparaît. Ruade, contraction du ventre, je sers les grandes lèvres pour qu'ANGELIQUE n'expulse pas l'intrus. C'est froid, elle frisonne. Je récupère le glaçon, le porte à sa bouche, elle le suce. La brosse à cheveux roule au creux des reins, caresse le cul, l'arrière des jambes, ça pique. Passage dans les cheveux, pour qu'elle devine, et la brosse roule sur son ventre, parcours l'intérieur des cuisses, se plaque sur sa fente. Cri, le cul part en arrière, retombe, sa fente recolle à la brosse. J'allume la bougie, la flamme passe sous ses fesses, le cul par en avant, sa vulve se frotte à la brosse, nouveau cri. L'autre extrémité de la bougie prend la direction du petit trou. Les boules de geishas teintent, la première disparaît, puis la seconde, je les pousse bien à fond. La seconde ressort, roule sur le clitoris, rentre. Un coup sec, les deux boules sortent en faisant un bruit mouillé. ANGELIQUE les nettoie. Le gode vibrant prends la place, entre, sort, tournoie, va bien à fond, contre la matrice, ressort presque, pilonne. Les vibrations augmentent, le gode épouse la fente, le bout se colle sur le clitoris. Le gode refouille la chatte, lent va et vient en tournant, accélération, le ventre accompagne, la bougie tressaute, le plaisir monte. Le gode s'arrête inerte. Tu veux un fruit, ANGELIQUE ? Oui, maître, dans un gémissement. J'épluche la banane à moitié, le gode sort, elle entre au chaud lentement. Petites rotations, léger aller et retour, pour qu'elle s'imprègne bien, dessert d'ANGELIQUE. J'enlève la bougie, le carcan. Cri lorsque les pinces libèrent les tétons, douleur vive mais fugitive. Je masse les tétons, les suces. Je veux que tu te concentre sur ton sexe ! La cuillère en bois entre avec précaution parallèle à la fente, tourne d'un quart de tour, puis ressort très, très lentement. Ses lèvres s'écartent progressivement, un trou béant, rouge et luisant grossi. ANGELIQUE doit avoir l'impression que ce qui entre est deux fois plus long. Puis le trou se referme. Le concombre se présente. J'enroule les grandes lèvres autour. ANGELIQUE sens la grosseur. Qu'es-ce que c'est, maître ? Un concombre, ANGELIQUE. Mais c'est trop gros ! Mais non, concentre-toi, il va entrer tout seul ! Je commence la poussée, ANGELIQUE à un mouvement de recul. Ne bouge pas, sinon tu auras mal ! La poussée reprend, le bout force l'entrée, Le vagin se dilate, ANGELIQUE bande ses muscles, Centimètre par centimètre, le concombre glisse dans la paroi abondamment lubrifiée. LE concombre bien en place, j'embrasse ANGELIQUE pour la récompenser de son effort. Le concombre ressort lentement. Ma main, presque entière, peut maintenant entrer. Cela fait maintenant 2 heures qu'ANGELIQUE est attachée, dans la même position. Je la détache, je lui ôte le bandeau, je lui permets de se décontracter. Le travail se sa chatte m'a excité, je la penche sur la table, et la prend par derrière. Mais son vagin est encore trop lubrifié et dilaté, je ne sens presque rien. Tu es trop dilatée, les exercices de musculation te feront du bien. Tu dois apprendre à être très ouverte, ou très fermée, quand je le veux ! Comme vous voudrez, maître. Mais pour l'instant, tu va goûter à la joie de ta première suspension ! JE fais asseoir ANGELIQUE sous le portique, je lui remets le bandeau. J'attache ses chevilles aux extrémités d'une barre d'entrave. Un palan soulève la barre, et progressivement, elle se retrouve suspendue par les pieds. Il n'y a plus que ses cheveux qui touchent par terre. J'attache ses mains dans son dos. Elle se balance lentement. Je vais t'offrir une jolie paire de boucles d'oreilles ! Je prends des pinces, je règle la longueur des chaînettes, pour que les poids arrivent à la hauteur de son visage. La première pince mord le téton droit, la deuxième le gauche. ANGELIQUE est surprise, mais surmonte cette douleur déjà connue. Les tétons sont tirés vers le bas, mais en réalité, vers le haut pour elle. Les poids, avec le léger balancement, heurtent ses joues et ses oreilles, photos en gros plan. Les lanières d'un martinet chatouillent l'intérieur de ses cuisses, son ventre, son cul, son entrejambes. Qu'es-ce que c'est, maître ? Un martinet, ANGELIQUE. Les lanières ne chatouillent plus, mais leurs pointes piquent ces parties sensibles. Je flagelle doucement son entrejambes, d'abord pour que les lanières arrivent au milieu de son cul, puis jusqu'au nombril. Le martinet tournoie rapidement, les extrémités parcourent son dos, son cul, puis son ventre jusqu'au mont de venus, et enfin son entrejambes, du cul vers la chatte, et de la chatte vers le cul. ANGELIQUE se tortille, les poids frappent son visage, doux tourment qu'elle s'inflige. Ne gigote pas comme ça, tu va abîmer ta jolie frimousse ! De mes mains, j'entrouvre sa chatte, je l'écarte, ma bouche se pose sur le trou béant, ma langue s'introduit, lèche les parois, je pompe son nectar intime. Je viens aspirer, sucer son clitoris. Le manche du martinet la pilonne, ANGELIQUE gémie. La position tête en bas à assez durée, le martinet reste empalé. J'attache ses mains à une barre d'entrave, reliée au deuxième palan. J'actionne les palans alternativement, pour que ses bras montent, et pour que ses jambes descendent, doucement. Les poids glissent de ses épaules, entraînent les tétons d'un coup sec.. ANGELIQUE crie : mes seins, mes seins. Douleur fugace, les poids pendent maintenant contre ses flans. ANGELIQUE est maintenant suspendue, par les mains et par les pieds, le dos bien rond, le ventre rentré. Le martinet émerge à 45 degrés de sa chatte. Son cul est bien saillant, j'allume la bougie, la flamme se rapproche lentement de sa partie charnue. ANGELIQUE tire sur ses bras, plie ses genoux, pour se soustraire à la chaleur. Son cul monte, la flamme suit le mouvement. Pas ça, maître, ça brûle, aille. ANGELIQUE gigote, ses muscles sont tendus. La flamme s'éloigne, elle se détend, son cul redescend. La flamme revient, sursaut, elle n'en peut plus, n'a plus de forces, j'éteins la bougie. Je la repose à terre, la détache, elle reste étendue, reprends son souffle. Je lui enlève le bandeau, l'embrasse, et place un bâillon boule. La leçon n'est pas finie. La leçon n'est pas terminée, tu as encore des exercices de musculation à faire ! Je suis épuisée, maître. Rassure-toi, seule ta chatte va travailler. J'installe un verre dans le milieu du donjon, dans lequel je place un gode fin et lisse. Allez, debout. Le but des deux exercices qui vont suivre est de te faire contrôler les muscles de ton vagin, afin que tu puisses garder en toi de petits objets. Pour le premier exercice, tu dois récupérer le gode situé dans le verre, tu as compris ? Oui, maître. Mais avant, je veux contrôler ton état d'excitation, viens vers moi ! Tout en embrassant ANGELIQUE, je la masturbe doucement, afin que sa chatte soi bien humide. Accroupie toi et empale-toi sur le gode ! Concentre toi et relève-toi en gardant le gode ! Le gode glisse, décolle à peine du verre et tombe. Tu veux repartir, le cul en feu comme ce matin ? Non, maître, mais c'est difficile, je suis trop mouillée. Recommence ! ANGELIQUE ravale un sanglot, se baisse, prends son temps. Elle se relève, très lentement, évitant toute secousse. Le gode remonte avec elle, croyant avoir gagné, elle se décontracte un peu, le gode glisse inexorablement et tombe. Je le replace. C'est mieux, recommence. Avec d'infinies précautions, elle se baisse, elle s'empale, se relève. Cette fois, elle reste concentrée, le gode est bien maintenu. Elle grimace, son sexe accapare tous ses sens. C'est bien, tu peux pondre ton œuf ! Elle se relâche, le gode tombe, je l'attrape au vol. Pour le deuxième exercice, tu vas garder en toi, le plus longtemps possible, cette règle carrée d'écolier, plie légèrement les genoux ! Bien, maître. J'introduis la règle, deux va et viens, le la met bien en place. Tu es prête ? Oui, maître. Je lâche la règle, elle tombe aussitôt. Une claque appuyée sur chaque fesse. Je replace la règle. Recommence ! La règle tient 5 secondes. Recommence ! La règle tient dix secondes. Un doigt la remplace. Serres ! Je juge des contractions, mon doigt est prisonnier. ANGELIQUE, je veux que tu reproduises ces exercices tous les soirs, devant ANDRE. Tu devras être bien humide. Samedi prochain, le gode doit tenir tout seul, et la règle, au moins 30 secondes. Gare à toi, si tu n'y arrive pas, tu auras une punition au martinet. La séance est finie, ANGELIQUE se rhabille. Avant de partir, je pose son nouveau plug, plus gros. Je la raccompagne. N'oublie pas, mardi 9 heures, et pas de manteau, plutôt un blouson.
Education d'ANGELIQUE
Troisième partie
Auteur : MasterLyon69@aol.com
Mardi, 8 heures 45, je suis à la gare. J'ai réservé 2 allers retours pour le TGV de 9 heures 30, en première classe. Il y a moins de monde à cette heure la, nous seront plus tranquilles. 9 heures, ANGELIQUE arrive. Elle est belle dans son blouson de cuir, sa minijupe plissée. Elle s'est fait deux jolies nattes, qui pendent, sur le devant, de chaque coté de son col. Elle me sourie, je l'embrasse. Maître, j'ai l'air d'une gourde dans cette tenue. Mais non, tu as l'air d'une petite fille bien sage. Et puis tu aime puisque tu le fais, je suis sur que tu es tout excitée à l'idée de faire ce voyage. OUI, maître, me dit ANGELIQUE, ses joues virant au rose. Nous avons le temps de prendre un café. Le train se met en place, nous nous installons. ANGELIQUE ôte son blouson, je la fais asseoir près de la fenêtre, elle s'assoie naturellement. Non, non, relève ta jupe, ton cul doit être en contact avec le tissu. Sa minijupe remonte, elle la tire au maximum sur ses cuisses. Ses jambes sont serrées, de la main j'écarte ses genoux. Jambes toujours entrouvertes, offerte ! ANGELIQUE est gênée, mais l'exhibition fait partie de son éducation. Je déboutonne un bouton de son chemisier, entrouvre le col, pour lui faire un joli décolleté. Voilà qui est mieux. Le train démarre, nous bavardons de choses et d'autres. Le wagon est presque vide. Le contrôleur entre dans le wagon. Lorsqu'il vérifie le billet du dernier passager, avant nous, je pose ma main sur la cuisse d'ANGELIQUE. Ma main remonte sur sa cuisse, retroussant la minijupe, juste pour laisser deviner sa chatte lisse. Le contrôleur arrive vers nous, lui tend nos billets. Son regard va du décolleté, à l'entrejambes. Il poinçonne les billets et me les rend avec un clin d'œil, ANGELIQUE est rouge de honte. Je lui demande comment ses exercices se passent. J'ai du mal, maître, surtout qu'ANDRE à compris, et qu'il me fait mouiller abondamment avant que je ne commence. Mais je fais des efforts, et j'ai ma récompense, nous faisons l'amour divinement. C'est bien, mais soit prête pour samedi. Raconte-moi la journée avec ton amie. CLEMENCE était très curieuse, elle avait beaucoup de questions : Si j'étais malheureuse avec ANDRE, pour chercher autre chose ? Si nous allions nous séparer ? Qu'es ce que je ressentais ? Je lui réponds qu'au contraire, ANDRE et moi n'avions jamais été aussi proche, aussi amoureux, que j'étais très heureuse de cette situation. D'ailleurs CLEMENCE a vu notre complicité et notre gaieté. Je lui ai raconté mes deux leçons, dans le détail, elle a lu mon journal intime, elle a vu la vidéo de mon épilation. Je lui fais part de l'état d'excitation ou je suis, avant, et après mes leçons. CLEMENCE me demande de vous décrire. Je lui réponds que vous étiez exigeant, mais très gentil, que j'avais entièrement confiance, et que je m'abandonnais totalement. Tu ne va pas tomber amoureuse de moi, j'espère ? Non, maître, mais je suis si bien avec vous. J'embrasse ANGELIQUE pour ce compliment. CLEMENCE ne m'a rien dit sur le coup, mais hier elle m'a téléphoné. Elle souhaite vous rencontrer, je croie qu'elle veut tenter l'aventure. Si vous le souhaité, maître, vendredi soir, vous pouvez venir dîner, à la maison, elle sera-la. Je donne mon accord à ANGELIQUE. Nous arrivons à PARIS. Nous allons déjeuner dans une grande brasserie. Le cherche une table en vitrine, les passants profiterons du spectacle. De temps en temps, je vérifie la position d'ANGELIQUE, je m'aperçois qu'elle triche, elle a les pieds écartés, mais les genoux serrés. Un œil sévère le fusille. Gare à toi ce soir ! Elle reprend la position instantanément, et n'en bouge plus. Nous passons à l'hôtel ou j'ai retenu une chambre. ANGELIQUE s'étonne : Une seule chambre, avec un grand lit, maître ? Tu ne pensais pas dormir seule, n'oubli pas le contrat, tu m'appartiens quand tu es avec moi, et ANDRE a accepté de te partager. Oui, maître. Nous avons rendez-vous à 17 heures dans une boutique de lingerie, près de PIGALLES. Nous avons 2 heures devant nous. Je prends ANGELIQUE sous la douche, je la lave, elle doit être bien propre pour ses essayages. La boutique ou nous avons rendez-vous, est une ancienne boutique. Elle est tenue par un couple âgé de dominateur, GINETTE et MAURICE. Ce couple m'a initié à l'art du SM. La boutique est très bien fournie en lingerie fine, en corsets, en lingerie ancienne, en cuissardes, en talons aiguilles. A 17 heures, nous entrons. Salutations, prise de nouvelles, GINETTE à une voix forte et autoritaire. C'est ta nouvelle poulette ? Oui, GINETTE, elle débute, et il me faut lui faire son trousseau, de pieds et cap. Passez dans l'arrière boutique. L'arrière boutique est une grande pièce, meublée d'un fauteuil, d'une table. Les murs sont tapissés de tiroirs contenant des trésors en lingerie. Allez, ma poulette, à poil ! Lance GINETTE sur un ton qui ne souffre aucune contestation. Mais, madame ? Silence, tu ne va pas essayer de la lingerie tout habillée. ANGELIQUE me lance un regard implorant, le mien est dur, elle comprend qu'elle ne peut pas résister, elle s'exécute. JUNETTE l'inspecte en connaisseuse, tourne autour. Belle poulette, dit donc, tu dois te régaler, mon salaud ? Surtout que son mari me la, entièrement confié. Nous discutons de l'éducation d'ANGELIQUE comme si elle n'était pas la, son comportement, ses réactions sont décrites. ANGELIQUE est rouge, baisse la tête. Bon, j'ai une course à faire, MAURICE va s'occuper de vous. ANGELIQUE me regarde, inquiète. MAURICE entre, ANGELIQUE, dans un réflexe, cache son sexe d'une main et ses seins de son autre bras. Qu'est ce que c'est que cette prude, allez ouste en position d'inspection ! Lance MAURICE d'un ton aussi autoritaire que celui de GINETTE. ANGELIQUE n'ose pas, elle me regarde. MAURICE n'est pas le premier inconnu à te voir nue, il ne sera pas le dernier, ça fait partie de ton éducation, alors obéie ! Doucement, ANGELIQUE prend la position. MAURICE la détaille, la déshabille du regard, me regarde. Tu peux toucher, MAURICE. Mes mots à peine prononcés, MAURICE attrape ses seins, il les palpe, il les soupèse, il les malaxe, il torture les tétons. Puis une main pétrie son cul, le claque, pendant que l'autre explore sa chatte. Les doigts pénètrent facilement. Elle s'excite vite ta poulette, combien de leçons à son compteur ? Deux seulement, mais elle apprend vite. Elle est vraiment très belle, avec tout ce qu'il faut ou il faut, tu ne dois pas t'ennuyer ? J'en profite, c'est vrai, mais elle aussi, la vicieuse. Bon, qu'est ce qu'il vous faut ? Un trousseau complet, MAURICE. MAURICE laisse ANGELIQUE sur sa fin, son plaisir commençait à monter. L'essayage commence par des portes jarretelles, en coton, en dentelles, avec de la fourrure, en satin. Puis c'est un assortiment de bas, de couleur, résille, à couture. ANGELIQUE enfile des collants fendus. MAURICE sort des corsets de cuir, en satin, avec dentelle. A chaque essayage, MAURICE manipule ANGELIQUE comme une potiche, en profite, la caresse, me la présente dans différentes positions. Tu as toujours le juste au corps rouge et noir en vinyle ? MAURICE revient avec, ANGELIQUE l'enfile, tire le zip jusqu'en haut. J'arrange le vêtement, ouvre la fermeture, rabat les pans. Tu voies, tu te sens couverte, et pourtant tu es toujours disponible, ANGELIQUE. En disant ces mots, je tire sur le scratch qui ferme l'entrejambes. Il nous faut aussi une culotte bouffante, fendue. MAURICE arrange la culotte, ouvre la fente, déplie les lèvres, le rose de la chatte ressort sur le blanc du coton. Je veux aussi une nuisette. MAURICE connaît mes goûts, ANGELIQUE passe un bout de dentelle noire, transparente, laissant libre ses seins et s'arrêtant à mi-fesses. Puis MAURICE s'occupe de parer ses seins. ANGELIQUE essaye un soutien gorge troué, laissant dépasser les tétons, et voir les auréoles. Enfin ANGELIQUE enfile des souliers, avec des talons aiguilles de 10 centimètres. Bon, qu'est ce que tu va mettre pour ce soir ? Je choisis un porte-jarretelles en dentelle rouge, des bas à couture. J'oubliais, MAURICE, il lui faut une tenue de pute. ANGELIQUE revêt un body rouge très décolleté, une ultra minijupe, ultra moulante, bleue marine, et des cuissardes avec des talons aiguilles de 8 centimètres. Ses nattes détonnent sur cette tenue provocante. Fais quelques pas ! Elle n'a pas l'habitude des talons, et manque de se tordre une cheville à chaque pas. Au bout de trois allers et retours dans la pièce, sa démarche s'est assurée. Tu nous fais un prix, MAURICE ? Tu connais les conditions ? ANGELIQUE, c'est 20 % pour une fellation, et 50 % pour la totale, c'est toi qui paye, tu choisis ! La note est salée, ANGELIQUE réfléchie, elle me fait confiance, ne sachant pas ce que veut dire : totale La totale, maître. C'est bien, alors à genoux ! MAURICE sort sa queue, ANGELIQUE l'embouche. MAURICE la penche sur la table, enfile un préservatif, et la pénètre d'un coup. J'embrasse ANGELIQUE, en lui caressant les seins, pendant que MAURICE la pilonne. GINETTE revient juste qu'en MAURICE se retire et feint la colère. Tu profite de mon mari qu'en j'ai le dos tourné, habillée en pute, il t'a fais un prix ! Et elle lui administre deux magnifiques claques sur son cul encore tendu. Bon, paye et on s'en va, sinon ils vont te garder toute la soirée ! ANGELIQUE, encore tout à sa surprise, me dit : Pas dans cette tenue, maître ? Si, on va à PIGALLES maintenant. Elle règle la note, je demande à mes amis de faire porter les paquets à notre hôtel. ANGELIQUE à du mal à marcher avec ses talons hauts. Je sens le regard des passants qui se retournent. Elle doit le sentir aussi, car elle se colle fermement à moi. Nous nous dirigeons vers le plus grand sex-shop de PIGALLES. Nous entrons, nous parcourons lentement les rayons. Je sais ce qu'il nous faut, mais je fais durer le plaisir, j'attends qu'un vendeur s'approche. Vous désirez ? Des jouets pour mademoiselle. ANGELIQUE ne sait plus ou se mettre, le vendeur la déshabille du regard. J'emploi le terme "mademoiselle" à dessein. Mademoiselle rêve de gode, vibrant, gonflable, et surtout d'un énorme. Le vendeur souri, il nous présente les différents modèles. Mademoiselle va adorer ses modèles, je vous fais confiance. Me lance le vendeur, réjoui. ANGELIQUE à chaud, elle est rouge comme un coquelicot. Je choisis un plug de moyen diamètre, un joli gode anal doré, tout lisse. Une tige constituée de cinq boules accolées les unes aux autres, attire mon attention. Nous complétons nos achats par deux paires de boules de geishas, une paire légère, une paire dorée plus lourde. ANGELIQUE paye, le vendeur nous confectionne de discrets paquets. Avant de sortir, j'entraîne ANGELIQUE dans une cabine de projection, j'ouvre l'emballage contenant les boules dorées, et je les introduis dans sa chatte. Nous sortons, l'air frais saisi ANGELIQUE, elle frisonne. Sa démarche est encore plus hésitante, les talons, plus les boules, la gênent. Nous prenons le métro, attention aux escaliers. Il est 20 heures, le métro est bondé. Nous restons près d'une porte, des passagers viennent se coller contre elle, ANGELIQUE veut se tourner vers moi, je la repousse doucement, j'imagine les mains baladeuses. Nous dînons dans une brasserie, proche de notre hôtel, toujours à une table en vitrine. Après l'entrée, j'ordonne : Sort une boule ! Elle se contorsionne, l'anneau est sous son cul. Oubliant toute pudeur, elle se lève légèrement, se penche en avant, et tire sur l'anneau. Je souris. Après le plat, le serveur arrivant, nouvel ordre : Rentre la boule ! ANGELIQUE me regarde effarée. Le serveur souri, débarrasse. La main d'ANGELIQUE disparaît, un petit sursaut, la boule est entée. Le serveur s'en va en me faisant un clin d'œil. Après le café, nous rentrons à l'hôtel. Dans la chambre, elle ôte son blouson et se met en position Ca ta plus ? J'ai eu la honte de ma vie, maître. Mais tu as aimé, ne me dit pas le contraire ? Oui, maître susurré. Tu as été admirable Je l'embrasse longuement, elle me rend se baisé fougueusement. Enlève tes cuissardes ! Je remonte son body au-dessus de ses seins, retrousse sa jupe sur son nombril, j'enlève les boules. Je défais les emballages contenant les jouets, et je pose ceux-ci sur le lit, a coté des sacs contenant ses tenues. Par quel jouet veux-tu commencer ? Le gode gonflable, maître. Très bon choix, pour commencer. Couche-toi sur le lit et relève tes jambes ! Je lave le gode à l'eau froide, je lui donne un peu de consistance. ANGELIQUE m'offre son sexe et son cul en écartant, d'elle-même, ses jambes. Le gode entre facilement, je le gonfle, le dégonfle, plusieurs fois. Bien gonflé, Je masturbe, un instant, ANGELIQUE, en léchant son clitoris. Maintenant que le devant est rempli, on va s'occuper du derrière ! Une noie de vaseline se pose sur sa rosette, armé de la tige aux cinq boules, je présente celle-ci à l'entrée de l'étroit conduit. La première boule force le passage, ANGELIQUE est déjà plus dilatée, elle n'a plus de signe de douleur. La deuxième boule entre à son tour, je m'assure de l'ancrage. Comment te sens-tu ? Toute fermée, maître. Je me couche à coté d'elle, je palpe ses seins, je suce ses tétons. Je sors de ma poche, une chaînette munie de deux pinces, je la fixe sur les tétons. J'embrasse ANGELIQUE, fouillant sa bouche de ma langue, elle m'offre la sienne. Je retire le gode gonflable. Je nettoie l'énorme gode, il doit bien faire 40 centimètres de long, et 8 de diamètre. Accroupie-toi et vient t'empaler ! La tige toujours plantée dans le fondement, ANGELIQUE s'exécute. Je maintiens l'engin bien droit, il a du mal à rentrer. Dilate et pousse ! Elle grimace, elle pousse, elle se dilate, j'aide à l'introduction en écartant ses lèvres. Enfin, le bout passe, le gode s'enfonce, millimètre par millimètre. Cinq ou six centimètres ont disparus. Reste comme ça ! J'admire, un instant, ANGELIQUE dans cette position obscène. Descend et marche ! Sa démarche est ridicule, obligée d'écarter les jambes. J'accentue l'obscénité de la situation, en rabattant sa jupe, laissant dépasser le gode devant, et relevée par la tige derrière. Je retire lentement le gode. N'oublie pas que tu as des exercices à faire ! Mais, maître, dilatée comme je suis maintenant ? Mais c'est pour ça qu'il faut les faire, ils n'auront que plus d'effet. Tu as de la chance, je n'ai pas pris la règle. Le gode lisse prends place dans le verre. Allez, essayes ! Le premier essai est infructueux. Recommence, et concentre-toi, si le gode ne se soulève pas, je claque ! Deuxième essais, idem, deux claques bien sentis s'abattent sur son cul. Sanglots d'ANGELIQUE, qui recommence, nouvel échec, nouvelles claques, nouveaux sanglots. Je crois que tu va être bien chaude pour la nuit. Au quatrième essai, le gode se soulève. C'est bien, essaye de le garder au moins jusqu'en haut ! Cinquième essai, le gode tombe à mi-course. Recommence ! Sixième essais, cette fois ANGELIQUE le garde jusqu'à la position debout. Je la console, je lui ôte la tige et les pinces de ses seins. Je lui tends la nuisette. Va te préparer pour la nuit ! Je débarrasse le lit des tenues et des jouets, j'ouvre les draps. ANGELIQUE revient, à croquer dans sa nuisette. J'enduis sa rosette de vaseline, et je lui plante le plug. Couche-toi ! JE me déshabille et je prends une douche. Je me couche à coté d'elle, Je la prends dans mes bras, je la cajole. Nous faisons l'amour dans toutes les positions, une fois, deux fois. ANGELIQUE est une furie, elle trompe son mari sans retenu, et je suis sur qu'elle va tout lui raconter. Avant de dormir, je lui place les boules de geishas. Fais de beaux rêves ! Le lendemain matin, je suis réveillé avant elle. Je la regarde dormir, elle est apaisée. Je retire doucement les boules. Je commence à la masturber lentement, à la lécher. Doux réveille, je sens sa main se poser sur ma tête. Je remonte, l'embrasse. Bien dormie ? Merveilleusement, maître. Je lui refais l'amour. Nous prenons la douche ensemble, nous rions. Je mets quelle tenue, maître ? Que préfère-tu ? La tenue d'écolière, maître, j'ai trop honte en pute. Si tu veux, mais nous allons te mettre en valeur. Je prends un porte-jarretelles blanc, des bas blancs, un corset de satin noir. ANGELIQUE enfile les bas, elle les attache au porte-jarretelles. Je lasse son corset, celui-ci lui fait une taille de guêpe, rehausse ses seins, fait pointer les tétons. Le noir du corset teinte le chemisier, le décolleté est magnifique, les tétons tendent le tissu. Je place les boules de geishas dorées. Le petit déjeuné pris, nous allons à la gare pour prendre le TGV de 10 heures. Le wagon est vide, Je voie arriver le même contrôleur que la veille. Sort une boule ! Je place ma main sur la couture du bas, j'arrange l'anneau. Le contrôleur nous reconnaît. Il jette un regard dans le wagon, personne, il ose. On peut en voir plus ? Si vous voulez. ANGELIQUE ouvre ton chemisier ! Ses seins apparaissent, fières et fermes. Le contrôleur ouvre grand les yeux, avance une main. On ne touche pas ! Le ton est ferme, La main recule, il se ressaisit. Le reste est aussi beau ? ANGELIQUE, avance-toi, trousse ta jupe ! ANGELIQUE me regarde, implorante, elle est rouge, mais elle s'avance, se trousse. Sa chatte glabre est mise en valeur par la boule. Le contrôleur avale difficilement, a le souffle court. Sort la deuxième boule ! Sa chatte s'ouvre, laisse passer la boule. Le contrôleur me souri, son regard va du sexe aux seins d'ANGELIQUE, ne peut s'en détacher. Quelques instants plus tard, il me tend les billets en oubliant de les poinçonner. Rajuste-toi ! ANGELIQUE ne dit rien, attend que le contrôleur soit sorti du wagon. J'ai honte, maître. De quoi, de monter ce qui est beau ? Non, maître, de me monter nue à des inconnus. Je te répète que l'exhibition fait partie de ton éducation, tu dois être naturelle en toutes circonstances, sans pudeur, et fière de ton corps. Que dira-tu quand je t'offrirais à mes amis ? A vos amis, maître, je ne veux pas. Pas maintenant, tu n'es pas prête, mais dans quelques semaines tu me le demanderas. ANGELIQUE ne dit plus rien, boude, pense à ce que je viens de lui annoncer, je lis le journal. Nous arrivons, je la raccompagne chez elle. Un repas rapide, nous passons l'après-midi en divers jeux. Je la promène nue dans sa maison, affublée ou non de ses jouets. Je me sers de ses meubles pour lui faire prendre des poses, plus obscènes les unes que les autres. Je fais des nombres photos. Il fait beau, j'ai remarqué un coin tranquille dans son jardin, nous sortons. L'air frai la saisie. Elle regarde autour d'elle pour être sur que personne ne la voie. Je la prends contre un arbre, photos dans le soleil couchant, merveilleux. Nous retournons à l'intérieur. Je vais te préparer pour le retour d'ANDRE. ANGELIQUE revêt son corset noir, son porte-jarretelles et ses bas blancs. Je l'attache sur son lit, en croix, installe sa tête confortablement sur un coussin. Je la bâillonne avec une boule de geishas tenue par un foulard. Je place ses jouets autour d'elle, l'énorme gode posée sur son ventre, le bout dans l'entre seins. Je plante le gode vibrant dans sa chatte, vibrations moyennes. J'embrasse ANGELIQUE. A vendredi, j'emporte tes autres tenues. J'écris un mot à ANDRE : Tu trouveras ANGELIQUE dans la chambre, amuse-toi bien, à vendredi. Vendredi midi, je retrouve ANDRE. Merci pour la surprise de mercredi, c'était merveilleux. ANGELIQUE à gardée sa tenue toute la soirée. Nous n'avons jamais autan fais l'amour. Je suis content, c'est le but du jeu, mais hélas, certains ne le prennent pas comme ça. Mais tu l'oblige à faire des choses. C'est dans votre contrat, cela fait partie de son éducation. C'est vrai que tu veux la donner à tes amis ? Oui, mais tu seras la, ça se passera dans ton donjon, et c'est toi qui la donneras, tu seras le maître de cérémonie. ANGELIQUE n'est pas encore prête, et toi non plus. Ce sera ton examen de passage, si tu veux toujours devenir dominateur et maître d'ANGELIQUE. Plus que jamais, le donjon sera prêt dans 2 semaines. C'est bien, et pour ce soir, ça tient toujours. Oui, plus que jamais. CLEMENCE et ANGELIQUE se son téléphonées longuement hier. ANGELIQUE lui à contée votre voyage à PARIS. ANGELIQUE sens CLEMENCE très motivée et très impatiente. Alors à ce soir. Vendredi 20 heures, j'apporte une bouteille de champagne. ANDRE m'ouvre, me débarrasse. Viens, les filles papotent au salon. ANGELIQUE se lève, je l'embrasse goulûment. Maître, je vous présente CLEMENCE. CLEMENCE est une belle brune, yeux vert, grande, élancée. Elle s'avance, comme pour m'embrasser. Bonsoir, CLEMENCE, pas tout de suite les bisous, faisons connaissance avant. Le ton est ferme, mais je dis ces mots avec un léger sourire. Je m'assoie à coté d'ANGELIQUE, ANDRE sert les apéritifs. Je prends un ton grave, j'entre dans le vif du sujet. CLEMENCE, à la fin de ce dîner, je veux être sur de ta motivation. Une relation maître /soumise n'est pas une relation amoureuse. C'est une relation dominant / dominé Le maître prends son plaisir, comme il veut, quand il veut, dans le respect de limites préétablies. La soumise subie, prends le plaisir que veut bien lui donner son maître, mais surtout son plaisir est de repousser toujours plus loin ses limites. N'est ce pas ANGELIQUE, tu fais des choses, qu'il y a un mois, tu ne soupçonnais pas pouvoir faire ? Oui, maître. Tu sais, CLEMENCE, maître est un amant merveilleux, un maître sévère mais juste. Ces mots sont sortis naturellement. J'embrasse ANGELIQUE, pour la remercier, et reprends. Pour ANGELIQUE et ANDRE, j'étais sur de leur motivation, par l'échange de messages que nous avons eus. De plus, c'est un couple, ANGELIQUE peut se confier à ANDRE. Je crois que cette situation les a rapprochés. Pour toi, c'est différent, tu es seule, entre tes leçons, tu seras seule à méditer. Je ne veux pas, moralement, te faire de mal. Moi, je recherche une soumise obéissante, discrète, et toujours offerte. Je ne veux pas que tu tombe amoureuse de moi, Je ne serais pas un confident, aucune vie commune n'est envisagée. Ta vie privée ne me regardera pas, sauf si tu veux la mêler à notre aventure. Un contrat scellera notre engagement commun, nous pourrons le résilier, à tout moment, l'un comme l'autre. Suis-je bien clair, CLEMENCE ? Pendant mon discourt, j'ai vu beaucoup de sentiments reflétés sur le visage de CLEMENCE, le doute, l'inquiétude. CLEMENCE me répond d'un petit oui tremblant. Je continu. Je suis la, ce soir, pour répondre à toutes tes questions. Mais avant, donne-moi ton questionnaire de soumission. ANGELIQUE, emmène CLEMENCE dans ta chambre, pendant que je l'étudie. Je reste seul avec ANDRE, il me ressert un verre. T'a été dur avec CLEMENCE, tu n'as pas été trop loin ? Non, elle doit savoir à quoi elle s'engage, ce n'est pas une passade, et elle est seule. Je fais confiance à ANGELIQUE pour la réconforter, et l'aider à prendre sa décision en fonction de ses sentiments. Je souris, car son questionnaire n'est rempli en majorité de non, et pour les quelques oui, c'est une note minimum. Tu voies, ANDRE, presque rien, elle prenait ça pour une aventure un peu corsée. Si elle me répond non, on passera une bonne soirée quand même, sans aborder le sujet. Si elle me répond oui, je saurais qu'elle est vraiment motivée. ANDRE acquiesce, il m'entraîne vers ce qui sera son donjon. A notre retour, nous les retrouvons, souriantes, au salon. CLEMENCE me regarde. Maître, puis-je reprendre le questionnaire pour le corriger ? Oui, CLEMENCE. ANDRE, installe la dans ton bureau ! Je reste avec ANGELIQUE, l'embrasse tendrement. Je savais que je pouvais compter sur toi. CLEMENCE n'avait pas compris ce qu'était cette relation. ANDRE revient, je leur fais part du programme du lendemain, et surtout de : Je dois m'absenter 2 heures, PHILIPPE prendra le relais ANGELIQUE ! Bien, maître. Tu te feras une queue de cheval. Tu apporteras la tige avec les boules ! CLEMENCE revient, elle me tend son questionnaire. Il est maintenant presque identique à celui d'ANGELIQUE. C'est bien CLEMENCE. Je me lève et l'embrasse. Nous passons à table. CLEMENCE me pose d'innombrables questions, j'y réponds volontiers, sans rien lui cacher. Au dessert, CLEMENCE veut une preuve de ce que je peux ordonner de faire à ANGELIQUE. Va mettre ta tenue ! ANDRE va lasser son corset ! ANGELIQUE revient, se place en position d'inspection, au milieu du salon. Masturbe-toi ! ANGELIQUE entâmes sa caresse, son autre main excite ses seins. Elle le fait, sans pudeur, sans retenu, devant sa copine et son mari. CLEMENCE me regarde, interrogative, je ne laisse voir aucun sentiment. La sentant arriver à l'orgasme, je l'arrête. Stoppe, tes exercices, maintenant ! ANDRE part chercher un verre et le gode. ANGELIQUE attend, sans bouger. ANDRE les places sous sa femme. ANGELIQUE s'accroupie, s'empale. Le gode retombe. CLEMENCE lâche : Mais c'est impossible à faire ? Je ne lui réponds pas. Recommence, concentre-toi, tu sais ce qui t'attend si tu ne réussi pas ! Le ton est dur et ferme. ANGELIQUE s'empale de nouveau, le gode retombe. Deux claques puissantes s'abattent. ANGELIQUE retient s un sanglot. CLEMENCE m'implore du regard. Recommence ! Cette fois, le gode reste. J'attends quelques secondes. Pond ton œuf ! Le gode retombe. ANDRE, vas faire jouir ANGELIQUE dans la chambre ! Je reste avec CLEMENCE abasourdie. Tu voies, ce sera comme ça, plaisir, douleur, motivation, contrôle, récompense. ANGELIQUE a obéie, comme ça, s'abandonnant complètement. Oui, c'est une bonne élève, comme j'espère que tu le seras. Elle sait que son plaisir est décuplé, ensuite. ANDRE et ANGELIQUE reviennent, enlacés, radieux. ANGELIQUE ne c'est pas rhabillé. Nous buvons le café, une coupe de champagne. L'ambiance est gaie, CLEMENCE participe, libérée. Il est temps de partir, je tends les deux exemplaires du contrat à CLEMENCE. Je t'attends, dimanche matin, 10 heures, en tenue d'écolière et sous-vêtements de coton blanc. ANGELIQUE t'accompagnera. Tu es toujours partante ? Oui, maître. J'embrasse CLEMENCE, je salut ANDRE, J'enlace et embrasse ANGELIQUE. A demain ! Samedi matin 9 heures, je sais comment présenter ANGELIQUE, et quoi demander à PHILLIPE. ANGELIQUE portera son juste au corps rouge et noir et ses chaussures à talons aiguilles. PHILLIPE devrant s'occuper de son petit trou. Je connais les goûts de PHILLIPE, il aime que ses soumises soient légèrement habillées, et il a une véritable passion pour l'arrière train féminin. Je m'installe dans la grande chambre, je passerais la nuit, afin d'être sur place, pour attendre CLEMENCE, le dimanche matin. 9 heures 30, PHILLIPE arrive, Nous buvons le café. Je lui fais part de mes désirs, PHILLIPE est ravi. Il monte au donjon, préparer le matériel qui lui sert à assouvir sa passion. 10 heures, arrivée d'ANGELIQUE, gaie et souriante. Bonjour, maître. Bonjour ANGELIQUE. CLEMENCE est restée hier soir, maître, nous avons encore longuement parlées. Je crois qu'elle est prête, je l'ai sentie impatiente de venir dimanche. C'est bien, ANGELIQUE, monte te préparer ! Pendant notre conversation, j'ôte le plug. Je monte à sa suite, je converse un instant avec PHILLIPE, constatant ses préparatifs. Je fais entrer ANGELIQUE, elle aperçoit PHILLIPE, lui souri. Comme je te l'ai dit hier, je dois m'absenter 2 heures ce matin. J'ai demandé à PHILLIPE de s'occuper de ton cul. Je te demande de lui obéir, comme tu le fais avec moi. Oui, maître. Tu as apporté ton jouet ? Oui, maître, il est dans la chambre. Bon, je vous laisse. Je pars tranquille, je sais exactement ce qu'ANGELIQUE va subir. PHILLIPE est assez distant avec ses soumises, il ne lutinera pas ANGELIQUE, d'abord parce qu'il ne la connaît pas, parce que je ne le lui ai pas demandé, et parce qu'il est plus froid et méthodique. PHILLIPE adore, soit fesser, flageller des culs, soit élargir, dilater, les petits trous. C'est cette deuxième action qui lui a été demandé. Il fera coucher ANGELIQUE sur la table de gynécologie, bien à plat, le dossier rabattu. Il attachera ses mains sur le haut du dossier. ANGELIQUE devra replier ses jambes sur son ventre, il attachera ses genoux et ses chevilles. Ses genoux seront maintenus, sur son ventre, par deux cordes reliées aux pieds de la table. In ouvrira le juste au corps, feras durcir les tétons. Deux pinces, reliées par une courte chaînette, maintiendront les tétons, tirés l'un vers l'autre. Il fera pendre un gode vibrant depuis les genoux, ce gode reposant sur la chaînette, les vibrations réglées au maximum. Ceci, afin de créer un point d'attention pour ANGELIQUE. Ensuite, il tirera le scratch, il laissera le pan avant sur la chatte, ne dévoilant que l'objet de sa passion. Il commencera par un gros lavement, afin de nettoyer, mais surtout de détendre les muscles. ANGELIQUE devra ingérer deux seringues d'eau tiède, et garder le liquide 5 ou 10 minutes. Pendant ce temps, il caressera son cul avec un paddle, donnera quelques coups, non pour faire mal, mais juste pour le faire rosir, le mettre à température. Il jouera avec la rosette, écartera les fesses, forçant ANGELIQUE à se contracter, pour ne pas rendre le liquide Le lavement expulsé, il doigtera longuement, et lentement, l'étroit boyau, massera les bords. Il fera travailler l'anneau culier à l'aide de la tige aux cinq boules. Ensuite, il utilisera des godes lisses, de diamètre de plus en plus grand. Il alternera, enfin, le moyen et le petit plug. Je reviens, PHILLIPE est en train de badigeonner la rosette et le petit trou de crème apaisante. Alors, PHILLIPE ! Un cul splendide, docile, travailleur, endurant à la douleur. Il me tarde de pouvoir le traiter de manière plus cinglante. PHILLIPE ne me parle d'ANGELIQUE, qu'à travers son cul. Je reconnais bien la distance qu'il met entre lui et ses soumises, je me demande parfois s'il n'y met pas du mépris. Il Les traite trop en objet et il oubli, souvent, que se sont des êtres humains à respecter. Je m'approche d'ANGELIQUE, une larme coule sur sa joue. Ca va ? Je ne sens plus mon cul, maître. C'est normal, mais tu dois en passer par la pour ton plaisir futur. Je libère ses seins, je détache ses jambes, je pose ses pieds dans les étriers. ANGELIQUE se détend. PHILLIPE, je pense qu'ANGELIQUE à droit à une récompense ? Si tu veux. Il m'a répondu du bout des lèvres, presque à regret. Occupe-toi de ses seins ! PHILLIPE caresse, malaxe. Il lèche, suce ses tétons. Installé entre les jambes d'ANGELIQUE, je la masturbe doucement, lèche, aspire son clitoris. Lentement, le plaisir envahi ANGELIQUE, nos caresses se font plus présente, elle est secouée par un violent orgasme. Je détache les mains d'ANGELIQUE. Repose-toi. Je raccompagne PHILLIPE, le remercie pour son aide. Je remonte, ANGELIQUE est apaisée. Il est 13 heures, je lui enlève son juste au corps, nous descendons déjeuner. Dans la cuisine, ANGELIQUE n'ose pas s'asseoir, elle a le cul en feu. Je la fais asseoir sur mes genoux, elle repose sur ses cuisses. J'en profite pour la câliner, pendant le repas. Au café, elle pose sa tête sur mon épaule, elle s'abandonne, je la caresse un instant, puis : Je sais que tu as souffert ce matin, mais ta leçon n'est pas terminée. Elle sursaute, nous remontons au donjon. C'est le moment de me montrer le résultat de tes exercices ! ANGELIQUE s'accroupie lentement. Elle grimace, son cul s'ouvre, dans cette attitude, et il est encore douloureux. Elle s'empale, elle se contracte, elle se relève doucement. Le gode reste en place, elle le garde bien au chaud. C'est bien, passons à la règle ! J'introduis celle-ci, assure l'ancrage. Prête ! Oui, maître. Je lâche la règle, chronomètre, la règle tombe. 22 secondes, ANGELIQUE, j'en veux 30, encore un effort, recommence ! On recommence, verdict : 31 secondes. C'est bien, continu à t'entraîner, samedi prochain je veux 2 minutes, je sais que tu y arriveras. Je passe le reste de l'après-midi à attacher ANGELIQUE dans différentes positions, afin de mettre en valeur ses seins et sa chatte. J'évite que son cul soit sollicité. Je profite de chaque position pour exciter ANGELIQUE, la maintenant au bord de l'orgasme. Elle reste sur sa faim de longues heures, mais elle doit se contrôler. A la dernière position, je la pénètre. Son orgasme est fulgurent. Avant qu'elle ne parte, je teste si je peux replacer le plug, mais son cul est encore trop sensible. Je t'en dispense pour ce soir. Dimanche matin, 9 heures, petite grasse matinée, une douche, je prépare un bon petit déjeuné. 10 heures, ANGELIQUE et CLEMENCE arrivent, je les embrasse, je leur offre un café tout frais. J'installe CLEMENCE dans le bureau, je raccompagne ANGELIQUE, je prends de ses nouvelles. Ca va mieux ? Oui, maître, je n'ai plus mal. ANDRE part deux jours, maître, mardi et mercredi. C'est une invitation, ANGELIQUE ? Pour mardi, maître. Je viendrais, ANGELIQUE, mais je ne serais peut être pas seul. Oui, maître ANGELIQUE est rouge, étonnée, mais je n'en dévoilerais pas plus, je garde le suspense. Je rejoins CEMENCE dans le bureau. Je prends un ton autoritaire. Tu veux toujours devenir mon esclave ? Oui, maître. Alors donne-moi ton contrat ! CLEMENCE me tend son contrat, parafé et signé. Je le range dans le bureau. A partir de cet instant, tu entre en soumission, tu m'appartiens entièrement. Dans les limites, que nous avons fixées ensemble, ton âme, ton corps, devront être toujours prêts à satisfaire mes désirs. SI tu as un doute, une hésitation, c'est le moment, tu peux encore partir. Non, maître, je veux vous appartenir. Bien, alors suis-moi ! Nous montons dans la chambre, annexe au donjon. Enlève ton manteau ! Cette chambre est la pièce ou tu te prépareras pour chacune de tes leçons, lorsque tu viendras ici. Tu m'attendras, dans la tenue que je t'aurais laissée sur le lit. Oui, maître. CLEMENCE n'est pas intimidée, sa voie sonne forte et clair. J'ouvre la porte donnant accès au donjon, je la fais enter. Comme ANGELIQUE, CLEMENCE marque un temps d'arrêt, son regard découvre le donjon et tous ces équipements. Place-toi au centre ! Oui, maître. Je prends une cravache. CLEMENCE hésite le geste de mettre ses mains derrière la tête. C'est ça, met toi en position d'inspection, comme celle d'ANGELIQUE vendredi soir ! Ses pieds sont presque joints, la cravache frappe ses deux chevilles. Les jambes plus écartées ! Encore ! Je suis plus dure qu'avec ANGELIQUE, la situation n'est pas la même. Je la détaille, elle est très bien faite, un corps harmonieux. Elle bisse la tête, l'extrémité de la cravache relève son menton. Je la regarde droit dans les yeux, un regard sévère. Ma main caresse sa joue, elle est chaude. Je place la cravache en travers de sa bouche, je déboutonne son chemisier, l'entrouvre largement sans ménagement. Le soutien gorge se dégrafe sur le devant. Mains dans le dos ! Je rabats le chemisier sur ses bras, l'agrafe du soutien gorge saute. Deux magnifiques seins en poire émergent. Les bouts et les auréoles sont brun foncé. Je les empaume, je les soupèse. Sensible de ce coté-la ? CLEMENCE n'a pas le temps de répondre, deux doigts ont attrapé un téton et l'ont tordu vigoureusement. Un cri résonne, la cravache tombe. Sensible. Je retrousse sa jupe, le bas se fixe dans la ceinture. Ma main droite se pose sur sa vulve, CLEMENCE a une convulsion. Mais elle jouie, la salope ! Deus fortes claques s'abattent sur son cul. Il y a longtemps que tu n'as pas baisé ? Plus d'un an, maître. CLEMENCE tu vas apprendre à te contrôler, tu ne devras jouir que si je le désir, ANGELIQUE y arrive parfaitement. Je ne tolèrerais plus d'écart, compris ? Oui, maître, mais elle, elle peut baiser tous les jours. Mais tu auras aussi ta part. Pendant ce dialogue, ma main est passée dans la culotte, elle glisse sur une douce fourrure, elle découvre un torrent de mouille. Je dégrafe sa jupe. Va sur le fauteuil de gynécologie. Elle s'assoie, je place ses pieds dans les étriers, je la couche, j'attache ses mains au-dessus de sa tête. Je l'embrasse, elle s'apaise. On va voir si tu as retenu la leçon ! Je palpe, je caresse ses seins, je suce, j'aspire ses tétons. Ma main glisse dans sa culotte, un doigt s'introduit, le pouce presse le clitoris. CLEMENCE gémie, son plaisir monte, elle explose. Bon, tu l'auras voulue ! J'attrape ses jambes, je les maintiens fermement serrées, elle reçoit une magistrale fessée. Elle cri, elle se débat, elle sanglote. Pas de ça, compris ? Tu obéie, c'est tout ! C'est trop dur, maître. Contrôle-toi, car maintenant je vais découvrir, ausculter, fouiller ton intimité. Je ne veux rien entendre, pas même un gémissement, sinon c'est le martinet, compris ? Oui, maître. Je repose ses jambes, baisse sa culotte. Une touffe noire, très fournie, m'apparaît. Les poils sont lisses, soyeux, Je m'en amuse un instant. Je reprends ses jambes, sa culotte glisse à mi-cuisse. Je découvre sa vulve rose, bordée de noir, luisante. J'écarte les lèvres, son jus déborde, il coule dans la raie culière. Combien de queues se sont mises au chaud, dans ce joli écrin ? Je ne sais pas, dix, maître. Un doigt s'est introduit, un deuxième se fait une place. C'est chaud, humide et serré. Tu aime baiser ? Oui, maître. Ta position préférée Le missionnaire, maître. Et puis ? C'est tout, maître. La seule essayée, alors ? Oui, maître. J'abandonne sa chatte, sa rosette est attaquée. Un doigt entre facilement, j'essaye un deuxième, trop étroit. CLEMENCE n'a aucune réaction. Déjà sodomisée ? Oui, maître. Tu aime ? Moyennement, maître. Nous te ferons aimer, le propriétaire des lieus adore ça ! Le propriétaire des lieus, maître ! CLEMENCE est effarouché. Oui, PHILLIPE, il me prête sa maison, il faut bien que je le remercie. Mais, maître ? Il n'y a pas de mais, tu obéie, tu m'appartiens, je te donne à qui je veux ! Oui, maître. Je repose ses pieds dans les étriers, j'attache ses chevilles. J'entreprends d'ausculter sa chatte. Je déplie les lèvres, je l'ouvre et l'écarte sans ménagement. Deux doigts pénètrent, un troisième renonce, trop serré. CLEMENCE gémie. Le clitoris émerge difficilement de la forêt de poils collés par son jus abondant. CLEMENCE deux choses me déplaisent. Mais, maître, je fais tout pour vous obéir. Je ne parle pas de ton attitude, mais de ton physique. Mon physique, maître ? Premièrement tu es trop serrée, ça s'arrangera avec un peut d'entraînement. Bien, maître. Deuxièmement, tu es trop poilue, je vais sacrifier ta belle fourrure. Non, maître, pas ça, pas tout ! Tu n'as rien à dire, tu seras comme ANGELIQUE, c'est tout ! Oui, maître lâché à regret. Ses poils sont trop longs et trop touffus pour être rasés directement. La coupe commence avec un peigne et une tondeuse électrique. Le dos du peigne se pose sur la vulve pour transmettre les vibrations. CLEMENCE réagie, son bassin ondule. Ne bouge pas ! Contrôle-toi, sinon ton cul va rougir ! Le rasoir prend le relais. Je décide de ne pas tout sacrifier, un petit cœur sur le mont de venus se dessine. Le rasage est précis, méthodique. CLEMENCE se détend, elle s'abandonne. Trois passes sont nécessaires, il dure longtemps. Je rince CLEMENCE, j'enlève le surplus de mousse. Sa vulve m'apparaît rose foncé, jusqu'à la rosette c'est tout doux. Je reprends l'auscultation. Le clitoris se décalotte, pointe fièrement. Sous mes attouchements, son bassin ondule, son ventre vibre, elle est très sensible. Je pose un spéculum, son vagin est rouge sang. Maintenant que l'extérieur est propre, on va nettoyer l'intérieur. L'intérieur, maître ? Je ne réponds rien, une grosse seringue se remplie d'eau tiède. Le vagin se rempli, au travers du spéculum. Deuxième remplissage, la canule se présente sur la rosette. Le piston s'enfonce, le liquide s'introduit. Garde le pendant que je prépare le repas ! Et pas une goutte par terre ! J'embrasse CLEMENCE et la laisse se tortiller. Je prends mon temps, je me sers un apéritif. Une demi-heure se passe, je remonte. Pas une goutte n'a coulé. Je me penche sur elle. S'il vous plait, maître, soulagé moi ! Une caresse sur sa joue, puis j'ôte le spéculum. J'installe une cuvette. Le vagin d'abord ! Elle expulse le lavement par petits jets. Ton cul ! Le jet est plus dru, j'écarte ses fesses pour faciliter l'expulsion. Je la nettoie doucement. Je la détache. Une main s'aventure sur son pubis. C'est doux ? Oui, maître, mais le petit cœur ? Ca sera ma marque, en attendant plus. Viens, descendons déjeuner ! Un instant, je me rhabille, maître. Non tu reste comme ça ! Mais ! ! ! Il n'y a pas de mais. D'un bras, je l'entraîne hors du donjon, CLEMENCE suit sans trop de résistance. Pendant le repas, elle ne dit presque rien, de temps à autre, je rectifie sa position. Un bruit de moteur, à la fin du désert. PHILLIPE arrive, je lui ai demandé de passer pour le café. CLEMENCE est inquiète. Qui es-ce, maître ? C'est PHILLIPE, je t'en ai parlé ce matin, il vient prendre le café. J'accueille PHILLIPE, CLEMENCE est restée assise. Viens que je te présente ! CLEMENCE se lève lentement, une main sur son pubis, le bras en travers des ses seins. Qu'es-ce que c'est que cette pruderie ? Ici en position d'inspection ! CLEMENCE me regarde effarée, elle finit par prendre la position. PHILLIPE me souri. Cette petite vicieuse joue les pucelles, mais à peine on la touche qu'elle jouie. CLEMENCE est rouge de honte, elle se mord une lèvre. PHILLIPE tourne lentement autour d'elle, il la détaille. " C'est vrai ", me dit-il, il s'avance, embrasse CLEMENCE à pleine bouche, pose une main sur sa vulve. Sa caresse ne tarde pas à faire son effet, CLEMENCE ondule, sursaute, se contracte. Tu voies, elle démarre au quart de tour. Et derrière, c'est pareil ? Non, mais en s'y prenant bien ! PHILLIPE oblige CLEMENCE à se pencher, il lui donne deux belles claques sur son cul, il introduit un doigt. Il va être bon à prendre ! Nous laissons CLEMENCE dans cette posture, nous prenons le café, son postérieur bien tendu, nous offre un merveilleux spectacle. Remonte au donjon ! Je raccompagne PHILLIPE. Je retrouve CLEMENCE, elle fait la moue. Qu'es-ce qu'il y a CLEMENCE ? Pas un mot pendant le repas, et maintenant tu fais la gueule. C'est trop, maître, j'ai honte, je suis humiliée. Tu t'attendais à quoi, une partie de baise à la pépère ? Non, mais Je ne lui laisse pas le temps de finir. Je t'ai prévenu ce matin, " Dans les limites, que nous avons fixées ensemble, ton âme, ton corps, devront être toujours prêts à satisfaire mes désirs ", et tu as signé ton contrat en toute connaissance de cause ! Maintenant, si tu veux partir, tu le peux, mais c'est définitif. Après une hésitation : Non, maître, je reste. Ca ne devra plus se reproduire, à l'avenir ! Oui, maître. Tu as déjà jouie trois fois depuis ce matin, tu va me le rendre. A genoux et suce-moi ! CLEMENCE embouche ma queue, je prends sa tête et j'imprime les mouvements. Je ne lui laisse aucune initiative, je me satisfais, elle doit tout avaler. Elle n'est plus qu'un objet de plaisir. Je n'ai pas fini de faire ta connaissance, retourne sur le fauteuil ! Je vais chercher son sac, Je le vide sur la table. Je le fouille sans vergogne, CLEMENCE ne dit rien, résignée. Je trouve son carnet d'adresse, beaucoup de prénoms féminins, entourés de signes. Tu aime l'amour au féminin ? Oui, maître, j'adore. Tu es parfaitement bi ? Oui, maître. Alors tu va pouvoir m'aider. Je veux faire cette révélation à ANGELIQUE, d'accord ? D'accord, maître, je n'ai jamais osé le lui proposer, depuis hier mon envie a décuplé. Ca se passera mardi soir, et pas un mot à ANGELIQUE, c'est une surprise ! Oui, maître. J'en gode CLEMENCE, devant, derrière. Sous mes caresses, elle redémarre aussitôt, elle est beaucoup plus sensible qu'ANGELIQUE. Prépare-toi à souffrir un peut ! Je lui pose un carcan à seins, pas trop serré, afin de faire saillir ses bouts. Mes gestes sont plus doux, je la sens matée. Je m'occupe de ses tétons, ils durcissent vite. J'en suce un, une pince vient le mordre, un cri entre deux gémissements. C'est au tour du deuxième, deuxième cri, une larme perle. Tu es trop sensible, CLEMENCE, Je t'habituerais patiemment. ANGELIQUE supporte beaucoup mieux ces traitements. Ma voie est plus douce, j'essuie la larme qui perle, j'embrasse CLEMENCE. Les pinces restent en place, son vagin se libère. Je déplisse les grandes lèvres, nouvelle pince, nouveau cri. La deuxième lèvre est pincée, nouveau cri, nouveau sanglot. Je n'insiste pas. J'enlève les pinces. CLEMENCE se remet, je lui donne un verre d'eau. JE vais préparer une des tenues d'ANGELIQUE : Porte-jarretelles et bas noir, corset seins nus de cuir noir, talons aiguilles. Vient t'habiller ! CLEMENCE met le porte-jarretelles, elle enfile les bas, elle chausse les escarpins. Je lasse le corset, juste bien serré. Sous l'effet conjugué des talons et du corset, son cul blanc se cambre fièrement. Tu va apprendre à marcher comme une reine ! Le reste de la leçon se passe en l'exécution de différentes démarches, avec ou sans talons, accroupie, à quatre pattes, en godée ou non. CLEMENCE se rhabille, je ferme la maison, je la raccompagne. Arrivée devant chez elle, je gare la voiture. Prends des affaires de rechange pour demain, je te garde ce soir. Si vous voulez, maître. Je ne veux pas la laisser seule, à gamberger, sur sa journée, forte en émotion. Chez moi, je l'installe dans le salon. Fais comme chez toi, CLEMENCE. Je vais à la cuisine, je prépare un KIR royal. Je la retrouve, elle a revêtu un porte-jarretelles et des bas blancs. Elle s'est assise dans le canapé, jambes légèrement écartées, offerte. Nous trinquons, je l'enlace. Nous faisons l'amour, avant et après le dîné. CLEMENCE s'endort dans mes bras, apaisée. Je la couche, je la regarde dormir, un instant, et je m'endors à mon tour. Lundi matin, réveille câlin. Je nous fais un bon café, pendant que CLEMENCE se prépare. Maître, ou sont mes culottes ? Confisquées, tu dois apprendre à t'en passer dorénavant. Même à mon travail, maître ? En toutes circonstances, et puis ta robe descend jusqu'aux genoux. Je la pose non loin de son travail. A demain, 19 heures chez toi, fais-toi belle et ne dit rien à ANGELIQUE. A demain, maître. Me lance t'elle après un langoureux baisé.
Education d'ANGELIQUE
Quatrième partie
Auteur : MasterLyon69@aol.com
Mardi, 17 heures, Je sonne chez ANGELIQUE. Elle vient m'ouvrir en peignoir. Bonjour, maître, j'étais sous la douche. Continue, ne néglige rien, fais-toi belle. Après un baisé, j'ôte ma veste, je la suis dans sa salle de bain. ANGELIQUE fait sa toilette devant moi, sans gène, plus aucune pudeur. Nous serons seuls, maître ? Maintenant oui, tout à l'heure non. Je suis venu pour te préparer à une surprise. Une surprise, maître ? Je laisse planer le suspense, ANGELIQUE est très belle, parfumée. Je l'entraîne dans la chambre Je fixe les bracelets à ses poignets et à ses chevilles. Je l'attache en croix sur son lit, je lui mets un bandeau, place un oreiller sous ses reins. Je l'embrasse. A tout à l'heure, dans une heure environ, soit sage. Je pose le casque de mon lecteur de CD sur ses oreilles, je règle le volume sur une douce musique. 19 heures, CLEMENCE est prête, très belle dans une minijupe moulante, et un tee-shirt de même. Elle porte le même parfum qu'ANGELIQUE. En l'embrassant, je la sens vibrer. JE pose une main sur sa chatte que je découvre trempée. Impatiente de retrouver ANGELIQUE ? Oui, maître. CLEMENCE se colle, me serre. Alors vient ! Sans bruit, nous entrons chez ANGELIQUE, un geste, CLEMENCE se déshabille. Elle me suit dans la chambre. Je caresse la joue d'ANGELIQUE. C'est vous, maître ? Je ne réponds rien, embrasse ANGELIQUE, caresse ses seins. A ce signal, CLEMENCE s'approche, commence à lécher le minou d'ANGELIQUE. Je laisse la place à CLEMENCE qui pose sa vulve sur la bouche d'ANGELIQUE. Celle-ci lui rend sa caresse. Chacune sent le plaisir de l'autre monter, le module. Leurs deux corps ondulent en harmonie. Elles finissent par se laisser emporter par un orgasme commun. CLEMENCE s'abandonne un instant sur ANGELIQUE. Elle se retourne, embrasse ANGELIQUE langoureusement en ôtant son bandeau. Je détache ANGELIQUE, les deux femmes s'enlacent amoureusement. Je les laisse, je vais chercher, dans mon coffre, la mallette d'accessoires préparés pour la soirée. Je la pose sur la table basse du salon, je retourne dans la chambre. Dans les bras, l'une de l'autre, elles rient, elles s'embrassent. La récréation est finie, allez au salon ! J'admire mes deux soumises, placées naturellement en position d'inspection, je m'avance vers ANGEMIQUE. Alors cette surprise ? Merveilleuse, maître, j'en rêvais depuis longtemps. J'avais lu votre complicité dans vos yeux. Dès maintenant, vous serez ensemble pour vos leçons. J'ouvre ma mallette, je sors quatre bracelets identiques à ceux d'ANGELIQUE, que je fixe aux membres de CLEMENCE. Placez-vous dos à dos ! J'attache les quatre bracelets de leurs poignets ensembles, au-dessus de leurs têtes. Une sangle maintient leurs bras. Je déplie une barre d'écartèlement, leurs chevilles sont fixées à chaque extrémité. Elles sont liées comme deux sœurs siamoises, tête contre tête, cul contre cul. C'est, pour moi, le moment de comparer ces deux corps gracieux. Je commence par les cheveux, je teste leur souplesse, leur finesse, leur soyeux. Puis le visage, j'apprécie la douceur du grain de peau. Un baisé à chacune, pour juger de la sensualité de leurs bouches. Mes mains descendent sur leurs coups, leurs gorges. J'empaume un sein de chacune d'elle, un pamplemousse d'un coté, une poire de l'autre. Ils sont aussi fermes, aussi malléables. Les tétons d'ANGELIQUE sont plus ronds, ceux de CLEMENCE plus longs, c'est du à la forme sans doute. Même caresse prodiguée sur les deux poitrines, les tétons durcissent de concert, mes deux soumises réagissent à l'unisson. Etirement des tétons, je les tords, ANGELIQUE grimace, cri pour CLEMENCE. Ensuite caresse du ventre, arrêt sur le nombril. Une pose sur le mont de venus, glabre pour ANGELIQUE, un cœur de poils pour CLEMENCE.Mes mains font le tour de la chatte, sans la toucher, exprès. Les pubis se tendent en avant, appelant la caresse, les culs se décollent. Parcourt des jambes, elles sont plus élancées pour CLEMENCE, aux formes plus galbées pour ANGELIQUE.. Retour sur la vulve, mes mains se plaquent. Le caresse attendue fait sursauter les deux corps. Elles sont excitées, elles mouillent. Deux doigts explorent chaque puits d'amour. Vagin serré pour CLEMENCE, vivant pour ANGELIQUE, il de dilate, se resserre. Les clitoris apparaissent, plus rose pour ANGELIQUE, plus gros pour CLEMENCE. Longue et lente caresse, elles vibrent, ondulent, accompagnent la caresse. Je les laisse sur leur faim. Je les détache, je les retourne, face à face. J'attache leurs chevilles aux quatre coins de la table basse placée entre elles. Mains sur les épaules de l'autre ! Je parcours leurs dos, je compare le galbe des deux chutes de reins. ANGELIQUE a le cul plus rond, pour CLEMENCE il est plus fin et élancé. Le petit trou est plus ouvert pour ANGELIQUE, les plugs ont fait leur travail, mais ils sont aussi accueillent l'un que l'autre. Je termine par une claque gentille sur ces deux beaux culs. ANGELIQUE, CLEMENCE est plus douillette, elle supporte moins bien la douleur que toi. Je compte sur toi pour la réconforter, sinon tu en subiras les conséquences. Oui, maître. CLEMENCE tient toi bien, sinon ANGELIQUE sera punie. Oui, maître. Les deux amies se regardent avec anxiété. Je prends une chaînette, une pince se fixe sur le téton droit d'ANGELIQUE, l'autre sur le téton droit de CLEMENCE. Une deuxième chaînette se pose sur les tétons gauches. Je m'assure de la fixation et, au croisement des chaînettes, je fixe un poids. De cette manière, si l'une bouge elle entraîne l'autre, et si elle se rapproche, le poids tirera de la même façon sur les tétons. ANGELIQUE ne bronche pas, CLEMENCE se mort une lèvre, elles se regardent droit dans les yeux. Le petit plateau, équipé de quatre chaînettes, sort de la mallette. Une pince mord une grande lèvre de CLEMENCE, puis l'autre. CLEMENCE se rapproche d'ANGELIQUE, celle-ci l'embrasse. Les deux autres pinces se fixent sur les lèvres d'ANGELIQUE. Vingt grammes par vingt grammes, les poids s'empilent sur le plateau. A 100 grammes, je fais balancer le plateau entre les jambes des deux filles. ANGELIQUE enlace CLEMENCE, elle la sert très fort, cette dernière sanglote. Je rajoute des poids, j'arrête à 300 grammes. Je m'installe dans un fauteuil, je contemple la scène. La douleur est vive pour CLEMENCE, elle tremble. ANGELIQUE caresse ses cheveux, elle ose une main qui vient masturber doucement CLEMENCE. Je laisse faire, CLEMENCE s'apaise. CLEMENCE rend la caresse à ANGELIQUE. La position ! L'ordre a claqué, mes deux soumises sursautent, le plateau vacille, les poids manquent de tomber, nouvelle douleur. Pour compléter le tableau, deux godes obstruent les petits trous. Elles gardent la position, quelques instants, le temps pour moi de préparer les apéritifs. Je libère les deux femmes, les chaînettes restent sur chaque poitrine, reliant les tétons. Nous prenons l'apéritif. Avant de dîner, je leur place, à chacune, un plug. Le dîné se passe gaiement. Les deux femmes sourient, leurs yeux brillent. Je sens leur envie mutuelle. Allez, dans la chambre, vous gouiner, pendant que je prends le café. Elles ne se font pas prier, elles partent en riant. Je les rejoins, elles sont enlacées, elles se caressent, elles s'embrassent. Je stoppe leur élan. ANGELIQUE, tu as fais une découverte qui, à ce que je voie, te plaie. Oh ! Oui, maître. Tu vas en faire une deuxième, ta première sodomie. Toi, CLEMENCE, je te demande de la faire jouir, je veux qu'ANGELIQUE s'en souvienne. Bien, maître. Je place ANGELIQUE sur le bord du lit, jambes relevés, j'ôte le plug, CLEMENCE l'embrasse, elle commence à la caresser. Je me présente, force un peut, ANGELIQUE se décontracte, J'entre. CLEMENCE suce les seins, branle le clitoris d'ANGELIQUE. Le bassin de cette dernière accompagne mes mouvements. Un orgasme puissant envahi ANGELIQUE, je me réserve pour CLEMENCE.ANGELIQUE se remet. A toi CLEMENCE ! Les deux femmes permutent, CLEMENCE est plus étroite. Même vague de plaisir, le mien en plus. Nous restons quelques instants, mes deux soumises blotties contre moi, inertes. Vous êtes merveilleux, maître, tout se passe comme dans un rêve. Me dit ANGELIQUE. C'est normal, vous avez confiance et vous vous abandonnées au plaisir. Je sais que je peux tout vous demander maintenant. D'ailleurs on va faire un test. Habillé vous ! Minijupe et tee-shirt moulant pour les deux, je les installe à l'arrière de la voiture. JE les conduis dans un lieu réputé pour la présence de voyeurs. En effet, à peine arrivée, des silhouettes s'approchent. Embrassée vous et dévoilée vous lentement ! Elles ne font aucun cas de la situation, les tee-shirts libèrent les seins, les minijupes se retroussent. Quatre voyeurs se masturbent autour de la voiture. Quand je juge le moment opportun, je démarre. Elles ne se sont aperçues de rien. De retour chez ANGELIQUE, je me retourne. Elles sont enlacées, seins nus et jupe retroussée. Eh bien ! J'espère qu'il vous reste quelques forces pour moi Oh ! Oui, maître, lancent-elles dans un grand éclat de rire. A peine entré, elles m'entraînent dans la chambre. Elles me déshabillent, je m'abandonne, à mon tour, sous leurs savantes caresses. Mercredi matin, doux réveil, petit déjeuné copieux, je me prépare. CLEMENCE à prie sa journée. Je vous attends, samedi matin, toutes les deux. CLEMENCE, toi tu viens vendredi midi pour ton épilation, ANGELIQUE te donneras l'adresse. Amusez-vous bien. Elles m'embrassent fougueusement, je les laisse. Vendredi 11 heures 45, j'ai rendez-vous avec ANDRE, à deux pas du salon de MARIE. Dans l'après-midi, nous avons rendez-vous chez l'artisan qui a fabriqué mon fauteuil spécial, réception avant livraison. Mais avant je lui ai préparé une surprise. ANGELIQUE est radieuse, l'expérience avec CLEMENCE a été une révélation. J'étais sur que ça marcherait, nos relations en seront d'autant plus facilitées. Le donjon est prêt, il ne manque plus que le fauteuil. On prévoie toujours l'inauguration pour le week-end prochain ? Oui, tout sera prêt. Ce sera en même temps, leur week-end d'endurance. Aussi, si tu le permets, j'invite pour le dimanche, PHILLIPE dont ANGELIQUE a dû te parler, et MARIE que tu connais par vidéo interposée, et que je vais te présenter. Je suis d'accord sur le principe. Pour toi, ce sera tes débuts de dominateur, deux soirs, dans la semaine, je viendrais te dégrossir. Tu t'occuperas de CLEMENCE, et moi d'ANGELIQUE, je ne veux pas que tu sois trop doux.. Toujours d'accord. Tu vas assister maintenant à l'épilation de CLEMENCE, ensuite pendant le déjeuné, tu auras ta première leçon de comportement vis à vis d'une soumise. Nous arrivons au salon de MARIE. Bonjour MARIE, elle est-la ? Oui, installée et offerte. Dit donc, elle est aussi belle que la première ! MARIE, je te présente ANDRE, le mari d'ANGELIQUE. MARIE me fait un clin d'œil, nous entrons dans son cabinet. CLEMENCE en voyant ANDRE a le réflexe de cacher sa nudité. Ne fait pas ta pucelle, CLEMENCE ! CLEMENCE rougie, elle replace lentement ses bras le long du corps. ANDRE, touche comme c'est râpeux, tu jugeras de la différence après. Il pose sa main sur la vulve, il caresse CLEMENCE, aux regards que j'ai aperçus, je sais qu'ANDRE à envi de CLEMENCE. MARIE, tu peux commencer, soigne particulièrement le petit cœur ! CLEMENCE est très douillette, tu peux claquer si nécessaire ! MARIE prévient CLEMENCE, elle prépare la cire. A la première pose, CLEMENCE cri, sanglote, s'agite. Une forte claque fait rougir sa cuisse. Calme-toi ! J'en ai maté d'autres que toi. Le ton est sec, autoritaire, CLEMENCE ne bougera plus, seulement des sanglots. MARIE se concentre sur le petit cœur de poils, avec l'épilateur électrique. Le résultat est parfait. ANDRE, réconforte CLEMENCE, il faut que je parle à MARIE. ANDRE me souri, je sors avec MARIE. MARIE, je t'invite dimanche prochain, c'est l'inauguration du donjon d'ANDRE, tu les auras toutes les deux, il y aura aussi PHILLIPE. Je viendrais avec plaisir, elles sont si belles et si obéissantes. Et puis ça fait longtemps que je n'ai pas vu PHILLIPE. Je règle MARIE, nous discutons de choses et d'autre, de ses clientes, bourgeoises, pour la plus part, en manque de sensations fortes. ANDRE et CLEMENCE nous rejoignent, CLEMENCE souri, je l'embrasse. Nous partons déjeuner dans un restaurant qui possède de recoins discrets, à l'écart de la grande salle. Je fias asseoir ANDRE a coté de CLEMENCE, elle est près de l'allée. Le serveur nous apporte les apéritifs. Bonjour mademoiselle, messieurs. Il me fait un clin d'œil. Bonjour ERIC, on ne touche pas aujourd'hui, on regarde seulement. CLEMENCE me regarde interloquée, ANDRE est étonné. Je lui explique que je connais bien l'endroit, qu'il me sert de test, que nous reviendront tous les quatre, quand ANGELIQUE et CLEMENCE seront prêtes. CLEMENCE, quand tu seras avec ANDRE et ANGELIQUE, que je sois présent ou non, c'est ANDRE qui sera ton maître, toujours sous ma responsabilité. Tu lui devras le même respect qu'à moi, et tu lui obéiras comme tu m'obéie. Bien, maître. Aujourd'hui, il est spectateur, ensuite il sera ton second maître. Arrange ton décolleté ! CLEMENCE déboutonne son chemisier, elle l'entrouvre. Mieux que ça ! Un autre bouton saute, les deux pans de tissus ne sont plus retenus que par les tétons. ERIC apporte les entrées, son regard se fixe un instant sur la poitrine de CLEMENCE, il sourie. ANDRE et moi, nous discutons sur le comportement du maître, le ton de la voie, l'intensité du regard. Je lui explique la manière de mener une leçon, de laisser planer le suspense, de laisser languir sa soumise. Pendant le supplice, la douleur, s'il y en a, doit toujours laisser la place au plaisir. La relation SM est une relation sexuelle, il y a très peut de sujet complètement masochiste ne recherchant que violence et douleur. Nos entrées avalées, je pose un plug devant CLEMENCE. Place-le ! Ici, maître, à sec ? Suce le pour le lubrifier ! CLEMENCE prend le plug, le mouille de salive, sa main glisse entre ses jambes, sa minijupe se retrousse. Elle se soulève, se contorsionne. ERIC a suivi la scène de loin, il arrive dans son dos pour débarrasser. La chaise est trop dure, mademoiselle veut que je la remplace ? CLEMENCE est surprise, elle s'empale d'un coup, écarlate. Elle referme ses jambes dans un réflexe. Ta position ! Le ton est très autoritaire. CLEMENCE rectifie, écarte les jambes. ERIC s'en va en riant. Tu voies, ANDRE, elles ont parfois de mauvais réflexes, à ce moment la, il faut être encore plus autoritaire. Tu ne dois punir que s'il y a refus. ERIC nous apporte les plats, il lorgne, sans gène sur le sexe de CLEMENCE. Je décris à ANDRE les diverses punitions, leur degré d'intensité, quand et comment les administrer. Je sors alors des boules de geishas. Introduit-les ! ERIC revient, voie l'anneau qui dépasse, il me sourie imaginant la suite. ANDRE, tu peux jouer avec l'anneau. Il ne se fait pas prier, il excite CLEMENCE pendant le temps du dessert. Au café, le restaurant est vide, ROBERT le patron l'a fermé. Il vient à notre table. Une nouvelle ? Oui, je te présente CLEMENCE, et ANDRE, le mari de sa copine. J'ai deux nouvelles serveuses, deux sœurs, ANNIE et SOPHIE, obéissantes et travailleuses. Je vais vous les présenter. ROBERT revient, encadré de deux jolies filles, une brune et une blonde. Elles sont habillées strictement, chemisier blanc boutonné jusqu'au coup, jupe noir classique orné d'un tablier de dentelle blanc, bas couleur chair, soulier noir à talons plats. Ces clients, sont des clients privilégiés, vous devrez être à leurs ordres à chacune de leur visite. Présentez-vous ! ANNIE, 21 ans, pour vous servir. SOPHIE 22 ans, pour vous servir. ROBERT prodigue une éducation à l'ancienne, la politesse y tient une grande part. Les deux filles se dévoilent. Les chemisiers se déboutonnent, s'ouvrent, se rangent sur le dossier d'une chaise. Ils ont découvert deux beaux soutiens-gorge blancs à balconnets. Ceux-ci se dégrafent, libérant deux adorables poitrines blanches aux tétons roses. Les tabliers, les jupes rejoignent les chemisiers. Les deux culottes de dentelles blanches, presque transparentes, glissent le long des jambes. Deux chattes roses, vierges de poils, apparaissent. Seules, deux petites touffes, sur le mont de venus, une blonde et une brune, rappellent la couleur des cheveux. Les deux filles se mettent en position d'inspection et d'une même voie, claironnent. A vos ordres. Je m'adresse à SOPHIE. Approche-toi ! ANDRE fait de même avec ANNIE. SOPHIE s'approche. Tourne-toi ! Un petit cul, bien blanc, bien rond se présente. Recule ! SOPHIE à compris, elle recule, écarte au maximum ses jambes et se penche en avant. Sa chatte s'entrouvre, les lèvres sont petites, ourlées. Je les écarte, le vagin est rose foncé. Le clitoris est tout mignon, tout rouge. Sous ma caresse, SOPHIE mouille abondamment. Deux doigts s'enfoncent, son vagin vit, il se dilate, se contracte. Au touché, sa rosette s'ouvre en corolle. Le petit trou est aussi vivant. Combien de temps d'entraînement, ROBERT ? Deux mois, mais intensif. Contraction à la règle avant le service de midi, dilatation au gode après, la même chose pour le service du soir. Je fais asseoir SOPHIE sur mes genoux, je l'embrasse à pleine bouche, cherchant sa langue, elle me rend le baisé. Ses petits seins tiennent dans la paume de mes mains, les tétons durcissent au touché. Je les tire, je les tords, aucune réaction. Pinces et extension, entre les services, et deux heures le soir. Elles portent un carcan spécial. C'est impressionnant, ROBERT, félicitation. Je regrette une seule chose, elles ne connaissent pas l'amour au féminin. J'échange SOPHIE pour ANNIE, avec ANDRE. ANNIE est la copie conforme, même grain de peau, même formes, même couleurs. Entre temps, ERIC a installé trois chaises, placées en triangle. CLEMENCE ne sait aperçue de rien, subjuguée par le spectacle offert par les deux filles. Tu nous présente CLEMENCE ? Avec plaisir, ROBERT. CLEMENCE lève toi ! Enlève ton chemisier ! Les deux hommes se sont approchés, CLEMENCE cherche de l'aide dans mon regard qui dur, dans celui d'ANDRE, tout aussi dur. Voyant qu'elle ne peut y échapper, elle s'exécute. Ses beaux seins en poire apparaissent. ROBERT et ERIC attrapent chacun un sein, ils les malaxent, ils tirent, tordent les tétons. CLEMENCE grimace, cri. Pas trop fort, elle débute. La torture devient caresse. Ta jupe ! La jupe rejoint le chemisier. Les deux hommes claquent ensemble son cul, CLEMENCE sursaute. Les claques font place aux caresses. Robert enlève le plug lentement, très lentement. Ils observent l'anus se dilater, puis se contracter, pour se refermer. Sur la chaise, les pieds sur le dossier des deux autres ! CLEMENCE est obligée de s'asseoir sur le bord, ses jambes sont très écartées. ERIC prend l'anneau des boules, tire très lentement. La chatte s'entrouvre, la première boule passe, la chatte se referme. Même action avec la deuxième boule. Chacun d'eux introduit un doigt, les pouces encadrent le clitoris, les deux autres mains se posent sur les seins. Allez-y doucement, c'est une rapide. CLEMENCE gémie déjà, son plaisir monte, les deux hommes le sentent, ils s'arrêtent, CLEMENCE retombe, ils recommencent. Trois fois, ils l'amènent aux portes de l'orgasme, à la quatrième elle explose dans un râle. ROBERT entreprend le petit trou, ERIC embrasse CLEMENCE, une main sur la vulve trempée. Ils échangent la position. CLEMENCE est inerte. ROBERT la flatte. C'est très bien, pour une débutante, rhabille-toi ! ROBERT, nous reviendront, samedi soir dans quinze jours, avec ANGELIQUE la femme d'ANDRE, elles sont expertes avec les filles. Je vous préparerais une soirée exceptionnelle, repas et après repas. Nous partons, nous laissons CLEMENCE chez elle. Nous arrivons chez l'artisan. Le fauteuil trône dans le petit atelier de ce très bon menuisier. Les découpent du bois sont parfaites, tous les angles sont adoucis. Les sangles sont réalisées dans un beau cuir solide. Je veux tester la maniabilité pour les retournements. L'assise est lestée avec un sac de 60 kilos, solidement attaché. Je déverrouille le volant, celui peut se manipuler d'une main, le rapport de démultiplication est bon. Les crans de verrouillage se trouvent facilement pour toutes les positions. La réception est signée, le meuble sera livré demain après-midi. ANDRE et moi, nous retournons à nos occupations. Samedi matin, 9 heures 30, mes deux écolières arrivent, très gaies, bras dessus, bras dessous. Nous prenons le café. Avant qu'elles ne montent, je les mets en garde. Pendant vos leçons, ensemble, vous n'êtes pas la pour vous gouiner, je ne tolérerais aucune caresses, sauf sur mon ordre, compris ? Oui, maître. Montez vous préparer. La tenue d'aujourd'hui, petite culotte fendue pour les deux, plaisir de l'accès immédiat, et plaisir du déculottage. Je prends mon temps, avant de monter, je suis sur que ma mise en garde n'a eut aucun effet. J'arrive sans bruit, j'entends des gémissements. J'entre sans prévenir, je les trouve enlacées, s'embrassant, se caressant. Vous l'aurez voulu ! Je les traîne rudement dans le donjon. En position ! J'ai aboyé l'ordre, elles sont dégrisées, le regard implorant. Votre attitude mérite une punition, une bonne fessée. Mais je ne vais pas vous la donner aujourd'hui, elle interviendra quand vous vous en douterez le moins. Je leur fixe les bracelets. J'attache CLEMENCE au portique, en croix. Je tends ses membres au maximum. C'est trop tendu, maître. Tais-toi, vous ne m'avez pas disposé à être gentil ! Je dé serre, quand même, un peut les liens. Je prends les pinces avec des poids de 200 grammes. ANGELIQUE, tu vas mettre ses bijoux à CLEMENCE ! Et pas de caresse, tu pince tout de suite ! J'ai une badine à la main. ANGELIQUE regarde CLEMENCE attristée. Elle prend le sein droit, elle presse le téton que la pince vient mordre, Cri de CLEMENCE. ANGELIQUE relâche le poids doucement. Coup de badine. Tu laisse tomber le poids ! C'est au tour su sein gauche d'être mordu, le poids tombe. CLEMENCE sanglote, ANGELIQUE verse une larme. ANGELIQUE s'agenouille, elle pare les grandes lèvres, celles-ci sont serrées par la fente de la culotte. Je remonte et tends la culotte. Fait balancer les poids ! ANGELIQUE donne un petit coup, CLEMENCE sanglote plus fort. Plus fort le balancement ! ANGELIQUE l'accentue, elle sanglote aussi. A toi, va sur le fauteuil de gynécologie ! Elle se couche, j'attache ses mains. Replie tes jambes ! Mes ordres sont secs, ANGELIQUE obéie rapidement. J'attache ses chevilles aux pieds du fauteuils, son cul bien saillant. Je la déculotte. ANGELIQUE a compris ce qui l'attend, elle serre les dents. Je vais m'occuper de ton cul, mais je suis moins doux que PHILLIPE. Pas ça, maître, ça fait trop mal. Tais-toi ! Accompagné d'une belle claque. En fait, elle va devoir garder un gros lavement, deux seringues un peut plus que tiède. Garde-le ! Et ne perd rien ! Je vais détacher CLEMENCE, la tension à endolorie ses muscles. J'enlève très lentement les pinces du sexe, elle se mord une lèvre, mais elle s'habitue à la douleur. Elle se frotte les bras, le la prends par les épaules. Je vais te décontracter. Je la secoue violemment, les poids de ses tétons s'entrechoquent. Elle cri. Non, maître, aille. J'ôte les pinces. JE la déculotte. Couche-toi sur la table ! Ses bras et ses jambes pendent. Je commence à la caresser. Tu ne jouie pas, seulement sur mon ordre ! Trois fois, elle arrive au bord de l'orgasme, trois fois elle prend sur elle. A la quatrième : Jouie ! Elle se laisse aller. ANGELIQUE se tortille sous l'effet du lavement. Soulagé moi, maître. CLEMENCE prend la cuvette ! CLEMENCE se place, je fais languir encore un peut ANGELIQUE. Vas-y ! Le jet est trop puissant, il arrose CLEMENCE, qui a un mouvement de recul. Reste en place ! ANGELIQUE se vide maintenant par petits jets. Je détache ses jambes, je place ses pieds dans les étriers. CLEMENCE fait-la jouir ! Pendant ce temps, je vais chercher, dans la chambre, deux serviettes de bains. Allez, sous la douche, vous êtes deux chiennes en chaleur dégoûtantes ! La douche est réglée sur l'eau froide. C'est trop froid, maître. Taisez-vous ! Lavez-vous mutuellement ! Elles se sèchent, elles grelottent. Je vais vous réchauffer. Main sur les épaules, sautillées ! Leurs seins, leurs culs, ballottent au même rythme. Plus haut les genoux ! Levez une jambe ! Dix minutes de ce régime, elles n'ont plus froid. Il est midi. J'entrave leurs pieds et leurs mains, elles se mettent à genoux, je relie les barres d'entraves, pour qu'elles ne puissent pas se relever. Un collier autour du coup, j'attache les laisses à un poteau du portique. Je vais préparer votre pâtée de petite chienne. Et attention à ce que je vous ai dit ce matin. ANGELIQUE à déjà vécu cette situation, pas CLEMENCE. Je descends, PHILLIPE arrive. Tu es seul ? Non, elles sont au donjon. PHILLIPE voit que je prépare les écuelles. C'est une journée " Toutou " ? Oui, elles désobéissent, je n'avais pas ça en tête ce matin, je dois les traiter comme il se doit. Elles désobéissent ? C'est leur première leçon ensemble, et elles sont complètement " bi ". Et tu leur interdis de se gouiner ! Exactement, les leçons ne sont pas faites pour ça, elles l'on déjà fait ce matin, je suis sur qu'elles recommencent Nous remontons, nous entrons sans bruit, elles sont en train de s'embrasser. Tu voies PHILLIPE, deux vrais chiennes en chaleur. A ces mots, elles sursautent, regardent dans notre direction. PHILLIPE s'approche, caresse leur dos. Il tire sur les cheveux d'ANGELIQUE, il relève sa tête rudement, il l'embrasse. Il fait de même avec CLEMENCE. Tu as raison, il faut les traiter en chiennes. Il les fait mettre cote à cote, il passe derrière elles. Une volé de claques s'abas sur leur cul. Il attrape violemment les deux chattes, il les pince, il les malaxe rudement. On va améliorer la position pour qu'elles soient plus à portée. Il place deux chaises, pose dessus les barres d'entrave reliant les pieds. Il prend deux martinets, qu'il enfile dans leur chatte. Leur cul est levé très haut, les martinets penchent. La position est obscène et inconfortable Voilà, deux chiennes la queue basse. Je place les écuelles, les bols d'eau fraîche. PHILLIPE prend une badine. ANGELIQUE s'applique, fait attention de ne rien renverser. C'est la première fois pour CLEMENCE, un peut de nourriture s'échappe à terre. Un violent coup de badine tombe. Lèche ! Tu ne vas pas salir mon donjon. Elles finissent sans autres problèmes, Nous descendons déjeuner. Dans cette position, elles ne risquent pas de se gouiner, on est tranquille. Me dit PHILLIPE dans un éclat de rire. Nous décidons d'aller les chercher pour le café. Sans un mot, nous les libérons. Le café bu, PHILLIPE sort d'un tiroir secret, deux tubes munis d'un tout petit trou et d'un piston. Il les remplie avec du lait. ANGELIQUE et CLEMENCE se placent en appui sur la table, jambes écartées. PHILLIPE introduit les tubes, Il les pilonne dix fois, et agit sur le piston, faisant jaillir le lait dans leur vagin. Voilà comment font les chiens, dix coups de queue et ils s'en vont. Le lait dégouline sur leurs jambes. CLEMENCE et ANGELIQUE n'osent pas bouger, humiliées. PHILLIPE s'en va. Voilà ce qui arrive si on désobéie à PHILLIPE. Il peut être encore plus dur, vous le découvrirez quand je vous prêterais à lui. Pas seule avec lui, maître, il est trop brutal. Lance ANGELIQUE en regardant CLEMENCE apeurée. Je ne réponds pas à sa réflexion et ajoute Quant à votre punition, elle s'alourdit un peut plus, deux désobéissances pour le même motif, le tarif est maintenant d'une fessée, plus le martinet. Remontez au donjon, et lavez-vous. Cette fois elles ont compris, je les retrouve sagement en position d'inspection. Je les fais asseoir, sous le portique. J'attache leurs chevilles à une barre d'entrave, les jambes dans un grand écartement. Les mains se lient, elles se courbent complètement, les mains s'accrochent à la barre. Les palans montent les barres doucement. ANGELIQUE et CLEMENCE se redressent, montent. Quant leurs seins se trouvent à la hauteur des yeux, j'arrête. Je rapproche les palans, j'attache les barres entre elles. Elles sont dos à dos, jambes écartées collées au corps. Les deux culs sont bien saillant, les chattes sont ouvertes, les seins sont accessibles. Je lance un lent mouvement de rotation de l'ensemble. Elles m'apparaissent alternativement, offertes. J'allume une bougie, leurs culs se succèdent au-dessus de la flamme. Le mouvement se ralenti, la sensation de chaleur dure plus longtemps. Qui va être la gagnante ? La rotation s'arrête, CLEMENCE est au-dessus de la flamme. Le sort t'a désigné, CLEMENCE. Je place quatre pinces à linges, en étoile, sur chaque sein. Chaque grande lèvre s'orne aussi de quatre pinces. Je rajoute deux poids de 100 grammes. ANGELIQUE à un meilleur sort, JE lui place un carcan à seins, et je l'en gode avec un gode vibrant. La rotation reprend dans l'autre sens. Cette fois, le sort désigne ANGELIQUE. J'inverse les traitements. Je complète en obstruant les petits trous par des godes. Elles font ainsi dix rotations, les traitements varient à ma guise. Elles subissent tout sans un mot. 17 heures, je les détache, elles sont engourdies par la position. C'est fini pour aujourd'hui, il est tôt, allez dans la chambre un moment. Pour toute réponse, un large sourire éclaire leurs visages, elles disparaissent rapidement dans la chambre. Je me suis installé au salon, pour lire un des nombreux romans érotiques rangés dans la bibliothèque de PHILLIPE. Je les entends descendre en riant. Elles me rejoignent, elles m'entourent. Je ne peux résister à leur baisés et caresses. Mardi 20 heures, j'arrive chez ANDRE et ANGELIQUE. ANDRE m'installe dans le salon, Il commande ANGELIQUE. Celle-ci nous sert l'apéritif, change plusieurs fois de tenue, prends des poses. Les ordres d'ANDRE sont brefs clairs, suffisamment autoritaires. Il n'y a rien à redire. Pendant le dîné, je discute avec ANDRE, ANGELIQUE n'a pas droit à la parole, sauf pour répondre à nos questions, car nous parlons de son éducation. Elle mange debout, nue, prête à anticiper et à répondre au moindre de nos désirs. Je l'ai senti tendue en arrivant, l'échéance de la punition sans doute. Plus le temps passe et plus son visage s'éclaire, elle se détend. Après le dîné, j'indique à ANDRE les rudiments de ce qu'il faut faire, et ne pas faire, lorsqu'on attache une soumise. ANGELIQUE se prête à toutes les positions d'entrave. Je ne parle pas de la punition, et lorsque je pars, ANGELIQUE m'embrasse langoureusement. Jeudi 20 heures, deuxième cours de domination pour ANDRE. ANGELIQUE m'accueille tout sourire. Je laisse passer l'apéritif et le dîné. Lorsque nous repassons au salon, ANGELIQUE se place en position, radieuse. ANDRE, samedi ANGELIQUE et CLEMENCE m'ont désobéies. Le visage d'ANGELIQUE se ferme instantanément. Elles ont désobéies deux fois pour le même motif, le tarif est : une fessée, 30 claques appuyées, et 20 coups de martinet, répartis sur le corps, et en particulier sur les seins, le sexe et le cul. Je te laisse l'honneur de la lui infliger. ANDRE est décontenancé, ANGELIQUE le regarde implorante. La première punition est la plus difficile à donner. Il faut trouver le bon compromis entre douceur et dureté. Je vais te guider pour trouver le juste équilibre. ANDRE couche ANGELIQUE en travers de ses genoux. ANGELIQUE tu compte ! La première claque est trop douce. Trop doux ANDRE, plus fort. La deuxième est beaucoup trop forte. La, c'est trop. A partir de la troisième, ANDRE a trouvé la bonne intensité, ANGELIQUE compte, sursaute à chaque claque, son cul rosi puis rougi. A la fin des 30 claques, ANGELIQUE sanglote. Son regard croise le mien qui est dure et insensible. Le martinet maintenant. ANGELIQUE, position d'inspection ! Et tu compte ! ANGELIQUE se place très lentement, ANDRE prend le martinet. Commence sur le dos et le gras des cuisses. ANDRE trouve vite qu'elle force donner au martinet, les lanières laissent de très légères zébrures. Plus doucement sur les parties sensibles. Le martinet s'abat sur les seins, l'entrejambes. Les derniers coups sont pour le cul. ANGELIQUE pleure, mais elle n'a pas crié, la punition a été juste. Je la regarde droit dans les yeux. Ta première vraie punition, tu croyais que j'avais oublié ANGELIQUE. Tu ne sauras jamais ou, quand et comment elles te seront données, Que ça te serve de leçon ? En disant ces mots, je plaque ma main sur sa chatte, elle est toute trempée. Regarde, ANDRE, comme ça l'excite, Je ne serais pas surpris si elle te désobéie. ANDRE constate son état, mais ne continu pas la caresse. Tu dois la réconforter après une punition. ANDRE emmène alors ANGELIQUE jusqu'à la jouissance. Vendredi matin 7 heures 30, nous arrivons ANDRE et moi chez CLEMENCE. Elle vient nous ouvrir encore tout ensommeillée. Maître, ANDRE, quel surprise ! Nous sommes venus prendre le petit déjeuné, nous avons apporté les croissants. Elle les cheveux ébouriffés, elle porte un long déshabillé de satin blanc. Je l'enlève, elle nous apparaît en nuisette transparente. Elle prépare le café, nous déjeunons. CLEMENCE, ANDRE est venu avec moi pour une leçon, car il sera ton maître demain. Bien, maître. ANDRE s'adresse à CLEMENCE. Va au salon ! Enlève ta nuisette ! Son ton est sévère. CLEMENCE, tu as désobéie à ton maître samedi, tu connais le tarif ! CLEMENCE blêmie, c'est la punition. ANDRE l'applique avec méthode, comme pour ANGELIQUE. CLEMENCE cri deux fois pendant la fessée, je rajoute dix coups. A la fin de la punition, CLEMENCE pleure à chaudes larmes. Je lui fais la même remarque qu'à ANGELIQUE. Mes caresses la font bientôt jouir. A l'instant ou nous allions partir, le téléphone sonne. C'est ANGELIQUE qui vient prévenir CLEMENCE. Trop tard, ANGELIQUE, ils sont la, je viens de la recevoir. Dans un grand éclat de rire, je lance à CLEMENCE : Au royaume des soumises, les nouvelles ne vont pas assez vite.

Auteur: MasterLyon69@aol.com